Un jour, j’irai vivre en Théorie parce qu’il paraît qu’en Théorie, tout va bien. (Les mots surpendus)

mardi 12 juillet 2011

Révélations sur les banques suisses et les Bilderberg

Si cet article est véridique, cela montre la puissance du groupe Bilderberg.

Rien d’étonnant à tout cela.

Lolo

Publié le 8 juin 2011 par Le Passeur
Cette interview d’un ancien banquer Suisse, réalisée à Moscou le 30 Mai dernier et traduite pour LaPresseGalactique.com, risque d’en surprendre plus d’un. Je ne peux pour ma part affirmer que tout ce que dit cet homme est juste, mais pour avoir fait des recherches sur les Bilderberg par le passé, j’ai la certitude pour nombre des informations contenues dans cette interview qu’elles sont vraies. Je laisse donc tout cela à votre discernement. Je pense moi aussi, comme il est dit dans cette interview, que la vérité mise au grand jour peut largement contribuer à arrêter ces gens dans leur folie.
Les Bilderberg, c’est comme les chemtrails, une majorité n’en a jamais entendu parler alors même que c’est du domaine public. Pour ceux qui ne connaîtraient donc pas, il s’agit d’un groupe qui s’est formé en 1952 et réuni pour la première fois en 1954 à l’hôtel Bilderberg (d’où son nom), à Oosterrbeek aux Pays-Bas.  Il est composé des gens les plus riches de la planète qui  se retrouvent chaque année à grand renfort d’argent et de protection policière, et convient les personnages les plus utiles à leurs plans, venant du monde de la politique, des banques, de l’industrie et des médias, à la condition que rien ne sorte jamais de leurs réunions. Un égo flatté étant souvent prêt à toutes les bassesses, on ne sait officiellement rien du contenu de ces sauteries si ce n’est que l’ordre mondial en est l’étendard. Qu’on s’interroge au moins sur ce que peuvent avoir de démocratique de telles messes qui décident dans le secret des nantis des orientations du monde.

Cette année, quelques jours après les gesticulations médiatiques du G8 à Deauville, la réunion des Bilderberg se déroule du 9 au 12 juin au Grand Hôtel des Bains à Saint-Moritz en Suisse. Pour ce qui est des Français, seront vraisemblablement présents Jean-Claude Trichet (BCE), Pascal Lamy (OMC), Henri de Castries (AXA) et Thierry de Montbrial (IFRI), qui sont des habitués du genre. L’omerta comme toujours sera de rigueur et les médias traditionnels n’en parleront pas.
A ceux qui en lisant ces lignes vont crier au conspirationnisme, je n’ai qu’une chose à dire. Renseignez-vous, ne demeurez pas ignorants de tout, juste parce que vous avez trop peur au fond de vous d’envisager l’idée que vous ayez vécu dans un monde qui n’est pas du tout celui auquel vous croyez. Il est très inconfortable de penser que l’on puisse avoir été manipulé, mais il est libérateur de pouvoir regarder les choses en face et de reprendre le pouvoir de dire non. Informez-vous, cherchez par vous même, et quoi qu’il advienne, ne nourrissez pas la colère, mais contribuez à diffuser la vérité et à dissoudre ainsi l’Ancien Monde.


 
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Le Passeur. 8 juin 2011


Révélations stupéfiantes d’un banquier suisse « initié » – Interview réalisée à Moscou le 30 mai 2011.
Q : Pouvez-vous nous dire quelque chose à propos de votre implication dans le business des banques suisses ?
A : J’ai travaillé pour les banques suisses durant plusieurs années. J’étais l’un des tops directeurs de l’une des plus grandes banques suisses. Durant mon travail j’étais impliqué dans les paiements, les paiements directs en argent à une personne qui a tué le président d’un pays étranger. J’étais présent lors de la rencontre durant laquelle il a été décidé de fournir l’argent comptant à l’assassin. Cela m’a donné des maux de tête terribles et a troublé ma conscience. Ce n’était pas le seul cas qui était vraiment mauvais, mais c’était le pire. C’était une instruction de paiement sur ordre d’un service secret étranger écrit à la main et donnant l’ordre de payer un certain montant à la personne qui avait tué le top leader d’un pays étranger. Et ce n’était pas le seul cas. Nous avons reçu plusieurs de ces lettres écrites à la main venant de services secrets étrangers donnant l’ordre de payer comptant à partir de comptes secrets pour alimenter des révolutions et les assassinats de personnes. Je peux confirmer que ce que John Perkins a écrit dans son livre « Confessions of an Economic Hit Man ». Il y a réellement un système qui existe là et les banques suisses sont impliquées dans de tels cas.
Q : Le livre de Perkins est aussi traduit et existe en Russe. Pouvez-vous nous dire de quelle banque il s’agit et qui en était responsable ?
A : C’était l’une des trois plus grandes banques suisses à cette époque et il s’agissait du président d’un pays du Tiers-Monde. Mais je ne veux pas révéler trop de détails parce qu’ils me trouveront très facilement si je dis le nom du président et de la banque. Je risquerais ma vie.
Q : Vous ne pouvez nommer aucune personne dans la banque non plus ?
A : Non je ne le peux pas, mais je peux vous assurer que cela est arrivé. Nous étions plusieurs personnes dans la salle de conférences. La personne responsable du paiement physique de l’argent est venu vers nous et nous a demandés s’il était en droit de payer un montant si élevé en argent à cette personne, et l’un des directeurs a expliqué le cas et tous les autres ont dit OK, vous pouvez le faire.
Q : Est-ce que cela est souvent arrivé ? Est-ce qu’il s’agissait d’une sorte de «Slash fund» (fond cassé) ?
A : Oui. Il s’agissait d’un fonds spécial arrangé dans un endroit spécial dans la banque, d’où toutes les lettres codées arrivaient de l’étranger. Les lettres les plus importantes étaient écrites à la main. Nous devions les déchiffrer et elles contenaient l’ordre de payer un certain montant d’argent depuis des comptes pour l’assassinat de personnes, de fonds pour les révolutions, les grèves, les fonds pour toutes sortes de partis. Je sais que certaines personnes qui sont les Bilderberg étaient impliquées dans de tels ordres. Je veux dire qu’ils donnaient des ordres pour tuer.
Q : Pouvez-vous nous dire en quelles année ou décade cela s’est produit ?
A : Je préfère ne pas vous dire l’année précise, mais c’était dans les années 80.
Q : Aviez-vous des problèmes dans ce travail ?
A : Oui, un très gros problème. Je ne pouvais pas dormir durant plusieurs jours et après un moment j’ai quitté la banque. Si je vous donne trop de détails ils me traceront. Plusieurs services secrets de l’étranger, pour la plupart parlant anglais, ont donné des ordres de fournir des fonds pour des actes illégaux, même l’assassinat de gens à travers les banques suisses. Nous devions payer sur les instructions de pouvoirs étrangers pour l’assassinat de personnes qui n’avaient pas suivi les ordres des Bildeberg ou du FMI ou de la Banque Mondiale par exemple.
Q : Ce sont des révélations stupéfiantes que vous êtes en train de faire. Pourquoi ressentez-vous l’urgence de dire cela maintenant ?
A : Parce que les Bildeberg vont se rencontrer en Suisse. Parce que la situation du monde empire de plus en plus. Et parce que les plus grandes banques en Suisse sont impliquées dans des activités sans la moindre éthique. La plupart de ces opérations sont en dehors des bilans comptables (balance sheets). C’est au multiple de ce qui est déclaré officiellement. Il n’y a pas de vérification et tout arrive sans taxes. Les figures impliquées ont un tas de zéros. Il s’agit de montants énormes.
Q : Alors il s’agit de billions ?
A : Il s’agit de beaucoup plus, il s’agit de trillions, complètement non vérifiés, illégaux et au-delà du système de taxe. Grossièrement on vole tout le monde. Je veux dire que la plupart des personnes normales payent des taxes et se soumettent aux lois. Ce qui se produit ici est complètement à l’opposé de nos valeurs suisses, telles que la neutralité, l’honnêteté et la bonne foi. Durant les rencontres où j’étais impliqué, les discussions allaient complètement à l’encontre de nos principes démocratiques.

Vous voyez, la plupart des directeurs des banques suisses ne sont plus des locaux, ils sont étrangers, la plupart anglo-saxons, soit américains ou anglais, ils n’ont aucun respect pour notre neutralité, ils ne respectent pas nos valeurs, ils sont opposés à notre démocratie directe, ils se servent seulement des banques suisses pour leurs opérations illégales. Ils utilisent d’énormes montants d’argent créés à partir de rien et détruisent notre société et les peuples du monde uniquement par avidité. Ils cherchent le pouvoir et détruisent des pays entiers tels que la Grèce, l’Espagne, le Portugal ou l’Irlande, et la Suisse sera l’un des derniers en ligne. Et ils utilisent la Chine comme travailleurs esclaves. Et une personne telle que Josef Ackermann, qui est un citoyen suisse et le « top man » d’une banque allemande, utilise son pouvoir par avidité et ne respecte pas les gens comme vous et moi. Il a quelques problèmes juridiques en Allemagne et maintenant aussi aux USA. Il est un Bildeberg et s’en fiche de la Suisse ou d’un autre pays.
Q : Est-ce que vous êtes en train de dire, que quelques-unes des personnes que vous mentionnez seront présentes pour la réunion des Bildeberg à Saint-Moritz en juin ?
A : Oui.
Q : Donc ils occupent effectivement dans une position de pouvoir ?
A : Oui. Ils possèdent d’énormes quantités d’argent à leur disposition et l’utilisent pour détruire des pays entiers. Ils détruisent notre industrie et la construisent en Chine. D’un autre côté, ils ouvrent les portes en Europe pour tous les produits chinois. La population européenne gagne de moins de moins sa vie. Le but réel est de détruire l’Europe.
Q : Pensez-vous que la rencontre des Bildeberg à Saint-Moritz a une valeur symbolique ? Parce qu’en 2009 ils étaient en Grèce, en 2010 en Espagne et regardez ce qui leur est arrivé. Est-ce que cela signifie que la Suisse doit s’attendre à quelque chose de mauvais ?
A : Oui. La Suisse est l’un des pays le plus importants pour eux, parce qu’il y a tant de capitaux ici. Ils se rencontrent là parce que, à part d’autres choses, ils veulent détruire toutes les valeurs défendues par la Suisse. Vous voyez, c’est un obstacle pour eux, la Suisse ne faisant pas partie de la communauté européenne ou de l’Euro n’est pas totalement contrôlée par Bruxelles et ainsi de suite. Concernant les valeurs, je ne parle pas de grosses banques suisses, parce qu’elles ne sont plus suisses, la plupart d’entre elles sont dirigées par les Américains. Je parle du vrai esprit suisse que les gens chérissent et maintiennent haut. C’est certain que cela a une valeur symbolique, comme vous le disiez, concernant la Grèce et l’Espagne. Leur but est de constituer une sorte d’élite exclusive qui a tout le pouvoir et d’appauvrir tout le reste des gens.
Q : Pensez-vous que le but des Bildeberg soit de créer une sorte de dictature mondiale, contrôlée par les institutions mondiales (global corporations), dans lesquelles il n’existera plus du tout d’États souverains ?
A : Oui et la Suisse est le seul endroit qui reste avec une démocratie directe et se trouve en travers de leur route. Ils utilisent le chantage du « too big to fail » (trop grand pour tomber), comme dans le cas de l’UBS (Union de Banques suisses) pour placer notre pays dans un état de grande dette, de la même manière qu’ils l’ont fait pour d’autres pays. A la fin peut-être qu’ils veulent faire à la Suisse ce qu’ils ont fait à l’Islande, avec toutes les banques et le pays en banqueroute.
Q : Et ainsi l’étendre à la communauté européenne ?
A : Bien sûr. La communauté européenne est sous le joug des Bildeberg.
Q : Que pensez-vous qui pourrait stopper ce plan ?
A : Eh bien, c’est la raison pour laquelle je vous parle. C’est la vérité. La vérité est le seul moyen. Mettre la lumière sur cette situation, les exposer. Ils n’aiment pas être sous le feu des projecteurs. Nous devons créer la transparence dans l’industrie banquière et à tous les niveaux de la société.
Q : Ce que vous êtes en train de dire c’est qu’il existe un côté correct du business des banques suisses et quelques grosses banques qui utilisent dans le mauvais sens le système financier pour leurs activités illégales.
A : Oui. Les grandes banques entraînent leurs équipes avec des valeurs anglo-saxonnes. Ils les entraînent à devenir avides et sans pitié. Et l’avidité est en train de détruire la Suisse et tout le monde. En tant que pays nous avons une majorité de banques opérant à travers le monde, si vous regardez les petites et moyennes banques. C’est seulement les grandes banques qui opèrent au niveau mondial qui posent problème. Elles ne sont plus suisses du tout et ne se considèrent pas comme telles.
Q : Pensez-vous que ce soit une bonne chose que les gens exposent les Bildeberg et montrent ce qu’ils sont en réalité ?

A : Je pense que le cas de Strauss-Khan constitue une bonne chance pour nous, parce qu’il montre que ces gens sont corrompus, malades dans leur esprit, tellement malade qu’ils sont remplis de vices et ces vices sont gardés secrets sous leurs ordres. Certains d’entre eux comme Strauss-Khan violent des femmes, d’autres sont sado-maso, ou pédophiles et beaucoup pratiquent le satanisme. Lorsque vous allez dans certaines banques, vous voyez ces symboles sataniques, comme à la Banque Rothschild à Zurich. Ces gens sont contrôlés par le chantage à cause des faiblesses qu’ils ont. Ils doivent suivre les ordres ou ils seront exposés, seront détruits ou même tués. La réputation de Strauss-Khan n’est pas seulement tuée dans les médias, il pourrait littéralement être tué également.
Q : Puisque Ackermann fait partie du comité dirigeant des Bildeberg, pensez-vous qu’il y est un preneur de décisions important ?

A : Oui. Mais il y en a beaucoup d’autres, comme Lagarde, qui sera probablement prochainement à la tête du FMI, alors ils sont capables de choses terribles. S’ils ont le sentiment de perdre le contrôle, comme les manifestations en Grèce et en Italie maintenant et l’Italie sera la prochaine, alors ils peuvent faire un autre Gladio. J’étais proche du réseau Gladio. Comme vous le savez, ils ont été les instigateurs du terrorisme payé par l’argent américain afin de contrôler le système politique en Italie et d’autres pays européens. Concernant le meurtre d’Aldo Moro, le paiement s’est effectué au moyen du même système dont j’ai parlé.
Q : Ackermann prenait-il part à ce système de paiement d’une banque suisse ?
A : (Sourire)…. Vous êtes le journaliste. Examinez sa carrière et la rapidité avec laquelle il est parvenu au top.
Q : Que pensez-vous qui peut être fait pour les entraver ?
A : Eh bien, il y a beaucoup de bons livres qui sont sortis et expliquent le background et relient les points entre eux, comme celui que j’ai mentionné de Perkins. Ces gens ont réellement engagé des gens qui se font payer pour tuer. Certains d’entre eux ont eu leur argent de banques suisses. Mais pas uniquement, ils disposent d’un système bien établi dans le monde entier. Il faut exposer au public ces gens qui sont prêts à tout pour garder le contrôle. Et je veux dire « tout ».
Q : Nous pourrions les stopper en les exposant ?
A : Oui, dire la vérité. Nous sommes confrontés à des criminels réellement sans pitié, aussi de grands criminels de guerre. C’est pire que les génocides. Ils sont prêts et capables de tuer des millions de gens juste pour demeurer au pouvoir et garder le contrôle.
Q : Pouvez-vous expliquer de votre point de vue, pourquoi les médias occidentaux sont plus ou moins silencieux concernant Bildeberg ?
A : Parce qu’il y a un accord entre eux et les propriétaires des mass media. Vous ne parlez pas de ça. Ils les ont achetés. Certains des personnages clés des médias sont également invités aux réunions, mais on leur demande de ne pas faire de rapport sur ce qu’ils ont vu et entendu.
Q : Dans la structure Bildeberg, existe-t-il un cercle interne qui connait les plans et puis, il y a une majorité qui suit seulement les ordres ?
A : Oui. Vous avez le cercle intérieur qui pratique le satanisme et puis il y les naïfs ou les gens plus ou moins informés. Quelques personnes pensent même qu’ils font quelque chose de bien, le cercle extérieur.
Q : Selon les documents exposés et leurs propres déclarations, les Bildeberg ont décidé en 1995 de créer la communauté européenne et l’Euro, alors ils ont pris des décisions extrêmement importantes.
A : Oui et vous savez que le cercle des Bildeberg a été fondé par le Prince Bernard, un ancien membre des SS et du parti nazi et qu’il a aussi travaillé pour IG Farben, qui a subsidiairement produit Zyclon B. L’autre gars était à la tête de l’Occidental Petroleum qui entretenait des relations étroites avec les communistes en Union soviétique. Ils ont travaillé des deux côtés, mais vraiment, ces gens sont des fascistes qui veulent contrôler tout et tout le monde et celui qui se met en travers de leur plan est éliminé.
Q : Le système de paiement dont vous parlez hors opérations normales est-il compartimentalisé et se fait-il en secret ?
A : Dans ces banques suisses, les employés normaux ne savent pas que cela se passe. C’est comme un département secret à l’intérieur de la banque. Comme je l’ai dit, ces opérations se font hors de la balance commerciale, sans aucune supervision. Certaines sont situées dans le même bâtiment, d’autres sont au-dehors. Ils possèdent leur propre sécurité et des zones spéciales dans lesquelles seules des personnes autorisées peuvent pénétrer.
Q : Comment gardez-vous ces transactions hors du système international Swift ?
A : Eh bien, quelques-uns des listings de Clearstream étaient vrais au début. Ils ont juste inclus des faux noms pour faire croire aux gens que toute la liste était fausse. Vous voyez, eux aussi commettent des erreurs. La première liste était vraie et vous pouvez tracer beaucoup de choses. Vous voyez, il y a des gens, autour qui découvrent des irrégularités et la vérité et la disent. Après cela, bien sûr il y a des procédures légales et ces gens sont forcés de la fermer. La meilleure façon de les arrêter est de dire la vérité, de les mettre sous le feu des projecteurs. Si nous ne les stoppons pas, nous finirons par devenir leurs esclaves.
Q : Merci pour cette interview.
Peter Odintsov – Moscou, le 30 mai 2011.
Source originale. – Traduit par Nicole pour LaPresseGalactique.com
Source : http://www.urantia-gaia.info (en cas de copie, merci de respecter l’intégralité du texte et de citer la source)

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