Honnêtement, je n’ai pas lu ce long...long...long.. texte au complet, alors, je vous
laisse le loisir de le lire ou de le rejeter. J'y reviendrai.
Aujourd’hui, la quincaillerie spirituelle de toutes les sectes modernes
ou passées ne me gratte plus le cerveau et le nombril.
J’ai découvert mon mantra personnel, qui se dit <cuisses de grenouille, cacaouettes c'est chouette, la..la..la..lala et pis après>
juste ces quelques mots prononcés à répétition dans mon
cerveau arrêtent le flux de mes pensées comme un chien à qui l’on donne un os pour
arrêter de japper.
Les spiritualités se disant modernes, sont souvent les plus anciennes avec tous
leurs Dieux et leurs dogmes me donnent de l'urticaire intensif.
L’égo spirituel ne s’efface pas avec le temps, celui qui se dit MAÎTRE
et surtout ceux qui les suivent devraient apprendre qu’ils seront toujours les
seuls maitres de leur vie.
Les fous de Dieu…seront
toujours présents jusqu’à la fin des temps et pourront mourir dans l’enfer des
sectes et des religions au nom de leur croyance.
Pour moi, les grandes
religions de ce monde à savoir que ton Dieu est moins Dieu que le mien engendrons
toujours les plus grandes souffrances de l'humanité.
Quand une croyance devient dangereuse ! http://www.ccmm.asso.fr/spip.php?article4602
Des milliards de personnes à travers le monde sont croyantes.
Croire peut apporter le soutien dont certaines personnes ont besoin, mais si
elles atterrissent dans un mauvais groupe, cela peut aussi leur coûter leur
vie. Nous avons découvert que certains groupes religieux constituent une grande
menace pour leurs membres, et ce, soit à cause de l’influence qu’ils exercent
sur eux, soit parce qu’ils les poussent au meurtre et/ou au suicide.
Ho-no-Hana/Yorokobi Kazoku no
Wa
La Scientologie
Tree of Life
Hare Krishna
La secte de Baghwan /Osho
Children of God/Family of
Love
La secte de Moon/L’Eglise de
l’Unification
La famille Manson
Aum Shinrikyo
La porte du Paradis
Branch Davidians
L’Ordre du Temple Solaire
People’s Temple
Le bouddhisme à l’occidentale :
une sagesse de notre temps ?
Le grand appartement monégasque donne sur la mer. Il y règne une intrigante atmosphère de voyage. La propriétaire, qui dirige l’association, est constamment entre deux avions, suivant autant que possible son maître dans ses tournées internationales. Elle porte des jupes longues et des chemises en soie colorée rapportées d’Inde et du Népal, se nourrit essentiellement de riz aux lentilles, fait brûler des bâtonnets d’encens dans toutes les pièces. Une volubile servante indonésienne vient faire le ménage chaque jour. Aux murs de l’entrée, des photographies en noir et blanc représentent un vieillard tibétain en robe de lama. Ses longues moustaches blanches et son crâne chauve lui donnent un air stéréotypé de « sage asiatique ». Le salon, transformé en « salle de pratique », est pourvu d’un autel chargé d’offrandes et de photos de maîtres, de statuettes de bouddhas, d’images peintes et d’objets rituels que je ne connais pas encore. On se déchausse en entrant, avant de venir s’asseoir sur un petit coussin rond. En pénétrant dans cette pièce, certains se prosternent devant la grande photographie du maître, qui fait face à l’entrée. Une petite chambre adjacente sert de bibliothèque : il est possible d’y emprunter des livres et des revues traitant du bouddhisme tibétain et d’ésotérisme, de yoga et de végétarisme. J’y découvre les ouvrages de Kalou Rinpoché et de Mme Blavastky, de Dilgo Rinpoché et d’Annie Besant, des livres sur les extraterrestres, les « grands maîtres » hindous et Arnaud Desjardins. On me parle de « pratiques », on m’offre un livre relatant l’histoire de la lignée, on me fait regarder des vidéos sur la vie du maître et les couvents qu’il a fondés dans les régions himalayennes, on m’invite à participer à des liturgies en tibétain, dont le sens ne m’est enseigné que progressivement, au fil de discussions avec d’autres étudiants, échangeant ouvrages théologiques et conseils pratiques sur la manière d’effectuer les rituels. On me parle bien sûr de la « méditation », qui consiste à se tenir assis sur un coussin, les yeux fermés, et à « observer ses pensées ». Cependant, je constate que peu la pratiquent.
Les membres de cette association appartiennent à toutes les catégories sociales et à tous les âges, la proportion des hommes étant aussi élevée que celle des femmes. Tous sont liés par une même « connexion » avec le maître, qu’ils disent devoir entretenir quotidiennement et qu’ils appellent également « dévotion ». Tous, un jour, ont été « touchés » par sa personne, son image, sa simple évocation. À certains, il apparaît en rêve, s’impose à la pensée ou même se matérialise sous forme d’animal pour leur communiquer un message important au moment le plus opportun.