Un jour, j’irai vivre en Théorie parce qu’il paraît qu’en Théorie, tout va bien. (Les mots surpendus)
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vendredi 23 mai 2014

Décryptage - Les historiens, le 11-Septembre et les armées secrètes de Gladio



© Collection Résistances
Les historiens d'aujourd'hui et de demain font face à un énorme défi : relater les événements du 11 septembre 2001. Ce qu'ils écriront sera enseigné dans les livres d'histoire. Mais que raconteront-ils ? Est-ce Ben Laden qui a envoyé 19 musulmans attaquer par surprise les USA ? Ou bien écriront-ils que l'administration du Président George W. Bush est responsable de l'attaque, soit en la concevant elle-même, soit en la laissant délibérément se produire de façon à générer un choc au sein de la population américaine et à créer un prétexte pour augmenter drastiquement les dépenses militaires et pour attaquer l'Afghanistan et l'Irak ?
J'ai étudié la plupart des données relatives aux événements du 11-Septembre, et je suis convaincu qu'une nouvelle enquête est nécessaire. Mais lorsque j'ai remis en cause la narrative officielle du 11/9 dans mon pays natal, la Suisse, j'ai dû faire face à de vigoureux reproches de la part de nombreuses personnes. On m'a par exemple demandé pourquoi un gouvernement, quel qu'il soit, devrait attaquer sa propre population ou, chose un peu moins criminelle, laisser délibérément un groupe étranger mener une telle attaque ? Tandis que les dictatures brutales comme le régime de Pol Pot au Cambodge, sont connus pour le peu de considération qu'ils portent à la vie et à la dignité de leurs concitoyens, on est amené à penser qu'une démocratie occidentale ne se permettrait jamais un tel abus de pouvoir. Et si des éléments criminels au sein d'une démocratie occidentale, en Amérique du Nord ou en Europe, avaient perpétré un tel crime, les élus ou les médias ne s'en rendraient-ils pas compte et ne le dénonceraient-ils pas ? Est-il concevable que des criminels à l'intérieur d'un gouvernement puissent mener des opérations terroristes contre des citoyens innocents, lesquels soutiennent ce même gouvernement au travers des impôts qu'ils paient tous les ans ?

Est-il possible que personne ne le remarque ? Voilà des questions difficiles, même pour des chercheurs spécialisés dans l'histoire des guerres secrètes. En fait, il existe des exemples historiques de telles opérations menées par des démocraties occidentales. Dans cet article, je ne traiterai pas directement du 11-Septembre, mais plutôt de ce que l'Histoire peut nous apprendre. Je vous propose d'examiner certaines des informations les plus récentes concernant les guerres secrètes durant la Guerre froide. Il existe bel et bien une stratégie militaire secrète qui utilise le terrorisme contre les populations civiles. Cela s'appelle la « stratégie de la tension. » Et une telle stratégie a effectivement été mise en oeuvre par des démocraties occidentales.

samedi 21 décembre 2013

Les Georgia Guidestones sont un monument mystérieux sur lequel sont gravés dix « commandements » pour un « nouvel âge de la Raison ».

Le premier commandement ?  

Le maintien de la population mondiale à moins de 500 millions de personnes.    

Un autre fait sinistre: les auteurs de ce que nous appelons maintenant le Stonehenge américain sont toujours un « mystère »… sauf pour ceux qui savent.

Nous allons examiner les nombreuses caractéristiques de ce monument, son message appelant à un Nouvel Ordre Mondial, et expliquer comment il est l’œuvre d’une société secrète occulte.  
 Note: Un des premiers articles que j’ai jamais écrit sur ce site, à la fin de 2008, portait sur les Georgia Guidestones. J’ai retiré l’article il y a un an, cependant, lorsque je suis tombé sur des informations essentielles: l’explication des règles écrites par les auteurs cachés eux-mêmes ainsi que d’autres documents. Par conséquent, si vous êtes un lecteur de longue date de ce site, je vous prie de continuer à lire car j’ai ré-écrit l’article dans son intégralité.  

Les Georgia Guidestones sont un monument de granit énigmatique situé à Elbert County, en Géorgie. Aussi connu comme le Stonehedge américain, la gigantesque structure a près de 20 pieds de haut et est composée de six dalles de granit, d’un poids total de 240.000 livres. Le détail le plus étonnant du monument n’est cependant pas sa taille, mais le message qui est gravé dessus: Dix commandements pour un « Age de la Raison ». Ces commandements portent sur des sujets qui sont en rapport avec le « Nouvel Ordre Mondial », comme le dépeuplement massif, un gouvernement mondial unique, l’introduction d’un nouveau type de spiritualité, etc. Les auteurs de ces commandements ont demandé à rester anonymes et, jusqu’à maintenant, leur anonymat a été dûment préservé. Cependant, ce mystérieux groupe a laissé un texte expliquant le raisonnement derrière les commandements, un texte qui n’a pas été discuté en ligne jusqu’ici. Avec cette nouvelle information, l’objectif derrière les Guidestones est devenu très clair, laissant peu de place aux hypothèses. Les Guidestones décrivent un monde idéal, tel qu’envisagé par les sociétés secrètes occultes. Le monument est donc la preuve d’un lien existant entre les sociétés secrètes, l’élite mondiale, et la pression pour un Nouvel Ordre Mondial.

Le Monument  
 
Posées tranquillement dans le comté d’Elberton, les Guidestones vont probablement gagner en signification dans les années qui viennent.

Constituées de granit de pyramide bleu, les Georgia Guidestones sont censées résister à l’épreuve du temps et communiquer des connaissances à plusieurs niveaux: philosophique, politique, astronomique, etc. Elles se composent de quatre grands blocs de pierre, qui contiennent dix principes de vie en huit langues : anglais, espagnol, swahili, hindi, hébreu, arabe, chinois et russe. Un court message est inscrit au sommet de la structure dans le script de quatres langues : babylonien, grec classique, sanskrit, et hiéroglyphes égyptiens. Il est important de noter que ces quatre dernières langues anciennes sont d’une grande importance dans les enseignements des écoles de mystère occultes, comme les francs-maçons et les Rose-Croix, organisations que j’aborderai plus loin.

Les quatre grandes pierres sont disposées en une configuration géante de « roue à aubes », sont orientées vers les limites de la migration du soleil au cours de l’année, et montrent également les positions extrêmes du lever et du coucher du soleil dans son cycle de 18,6 années. La pierre centrale a deux particularités: d’abord, l’étoile du Nord est toujours visible à travers un trou spécial foré à partir du Sud vers le côté nord de la pierre centrale, d’autre part, un autre trou s’aligne avec les positions du soleil levant au moment des solstices d’été et d’hiver et à l’équinoxe.  

Source: Wired  

A la base des Guidestones se trouve une tablette explicative énumérant certains des détails de la structure. Elle mentionne également une capsule temporelle enfouie sous elles. Le contenu de cette capsule temporelle (si elle existe) est un complet mystère.  
 
La tablette explicative détaille certaines des caractéristiques du monument et de ses auteurs (je vous en dirais plus sur eux plus loin). La date d’ouverture de la capsule temporelle n’a pas été précisée.

Les caractéristiques astronomiques sont d’une grande importance dans la conception des Guidestones. Dans une nation relativement « neuve » comme les États-Unis, les monuments qui sont alignés avec les corps célestes sont souvent l’œuvre des sociétés secrètes, telles que les francs-maçons. Dérivant leurs enseignements des écoles de mystère de l’Egypte antique, de la Grèce, ou des Celtes druidiques, ils sont connus pour incorporer dans des monuments certaines de leurs « connaissances sacrées ».

Les 10 Commandements  


 
Les dix commandements pour un nouvel âge de raison sont :

1. Maintenir l’humanité en dessous de 500 000 000 individus en perpétuel équilibre avec la nature.

2. Guider la reproduction intelligemment en améliorant la forme physique et la diversité.

3. Unir l’humanité avec une nouvelle langue mondiale.

4. Traiter de la passion, la foi, la tradition et toutes les autres choses avec modération.

5. Protéger les personnes et les nations avec des lois et des tribunaux équitables.

6. Laisser toutes les nations régler leurs problèmes externes et internes devant un tribunal mondial.

7. Éviter les lois et les fonctionnaires inutiles.

8. Équilibrer les droits personnels et les devoirs sociaux.

9. Faire primer la vérité, la beauté, l’amour en recherchant l’harmonie avec l’infini.

10. Ne pas être un cancer sur la terre, laisser une place à la nature.

Comme vous pouvez le voir, les lignes directrices appellent à une réduction drastique de la population mondiale, l’adoption d’une nouvelle langue mondiale, la création d’un tribunal international et de vagues allusions à l’eugénisme. En d’autres termes, un plan pour un Nouvel Ordre Mondial.  

Après le « mariage pour tous », la « mort pour tous » ?


Toujours à propos de "l’aide à mourir" et de la volonté de l’Élysée de légiférer sur l’euthanasie et le suicide assisté, quelques éléments de réflexion.

Dans mes précédents articles, j’avais plus évoqué la forme, en particulier la méthode particulièrement contestable de la volonté présidentielle, à savoir, contourner l’avis négatif du 1er juillet 2013 en bouleversant et politisant la composition du Comité d’éthique et en instrumentalisant un groupe de 18 citoyens, triés on ne sait comment, qui, s’ils sont évidemment de bonne foi, ne représentent qu’eux-mêmes et n’ont publié qu’un avis à peine motivé sans avoir nourri leur réflexion d’éléments factuels ou statistiques. Je me penche aujourd’hui sur le cœur du sujet.

J’avais longuement évoqué ce sujet très délicat de la fin de vie, l’accompagnement des mourants, l’euthanasie et le suicide assisté dans une série d’articles en janvier 2011 ainsi que lors de la parution de divers rapports sur le sujet, mais il me paraît utile de revenir sur le fond dans ce nouveau contexte où le gouvernement souhaite absolument légiférer dans un domaine, la mort, qui me paraît bien trop intime et essentiel pour que cela se fasse à l’arraché comme pour le mariage gay (où les enjeux humains sont bien moindres).

Ce qui fait débat aujourd’hui

J’évacue un sujet qui est essentiel mais dont la quasi-unanimité est établie : la nécessité de renforcer les structures pour permettre l’accès à tous des soins palliatifs. Je rappelle ce qu’ils recouvrent : ils recouvrent des soins qui n’ont pas pour objet le traitement d’une maladie (en général parce qu’elle est incurable) mais qui accompagne le patient pour lui éviter au mieux la douleur. La douleur est une sensation très diversement ressentie par les personnes et il est très difficile de la définir et surtout, d’en identifier l’amplitude auprès des malades, surtout s’ils ne sont plus en état de la décrire. Mieux on traitera la douleur, moins on cherchera à mourir.

Il y a trois voies actuellement en débat sur ce sujet de la fin de vie, en dehors des soins palliatifs (qui, eux, ne font pas débat, sauf sur le point budgétaire, puisqu’il faudra bien les financer).

La sédation terminale : certains peuvent aussi évoquer l’euthanasie passive. Il s’agit d’administrer au malade des substances qui soulagent la douleur au maximum et qui, sans l’intention de tuer, peuvent précipiter la mort. Cette possibilité est déjà "offerte" par la loi Leonetti du 22 avril 2005. Peu de monde semble la connaître, y compris les médecins et autres personnels soignants, mais elle permet justement une "fin apaisée". C’est d’ailleurs la révolution de cette loi, unanimement approuvée par la classe politique. Les soins n’ont pas pour objet de faire mourir mais peuvent accélérer le processus.

L’euthanasie active : active pour la différencier de la sédation terminale. Au contraire de la précédente voie, il s’agit d’administrer au malade des substances mortelles, dans l’intention donc de tuer. C’est réalisé selon la conscience des médecins sur demande éventuelle du malade (s’il est en état) ou de la famille. Elle se pratique probablement en France malgré son illégalité.

Certains pourraient voir dans la différenciation de l’euthanasie active et de la sédation terminale une hypocrisie, puisque les deux aboutissent à une mort accélérée. Mais ce n’est pas de l’hypocrisie, c’est de la responsabilité.

Le professeur Didier Sicard avait expliqué la différence ainsi le 18 décembre 2012 : « La sédation, dès le début, est un geste d'accompagnement, de soin, qui est porteur de sa propre évidence, qui n'est pas programmé dans le temps, et qui va entraîner la mort dans un ou deux jours. C'est radicalement différent de l'euthanasie, qui relève d'un processus bureaucratique, d'une date programmatoire et même cérémonielle. ».

Aucun cas soumis à la justice n’a entraîné de condamnation et même si les personnes impliquées ont subi un éprouvant parcours judiciaire, cette interdiction oblige la responsabilisation d’un acte très grave, celui d’abréger la vie (et pas la souffrance). De plus, le travail des médecins n’est pas d’abréger la vie.

Le suicide assisté : dans le cas où le malade est encore en assez bonne condition, c’est de lui permettre de se tuer lui-même (de se suicider) en lui donnant les moyens de se suicider (substances létales etc.).

Le débat aujourd’hui se déroule autour de l’idée de légiférer sur l’euthanasie active et le suicide assisté. Ceux qui sont favorables à l’un, l’autre ou les deux voies extrêmes se basent sur deux arguments, la dignité et la volonté personnelle.

La dignité humaine

Le premier argument est de vouloir mourir "dignement". J’avoue être profondément heurté par cet argument car être malade, être en état très fragile, ce n’est pas être sorti de la dignité. Tout être humain est digne par sa propre existence, pas par son état. C’est refuser de voir la dignité humaine a priori dans chaque homme.

Le seul apport valable qu’a apporté le panel des 18 citoyens de leurs quelques week-ends de réflexion, c’est de formuler de manière très concise et excellente cette idée : « Ce n’est pas la pathologie qui fait l’identité. La dégradation du corps n’enlève rien à l’identité humaine ni à la dignité. ».

Pour moi, cette idée de dignité est un fondement essentiel du vivre ensemble. Considérer qu’on perdra sa dignité humaine parce qu’on sera malade, c’est la refuser à ceux qui, malades, essaient de vivre quand même. C’est dénier aux autres malades leur propre dignité. Pour tout dire, cela me fait frémir… car je n’ose en imaginer les conséquences quand les digues de l’euthanasie seront ouvertes.

La volonté personnelle

L’argument est bien plus solide que la dignité : il paraît logique de laisser à chacun la solution qu’il souhaite. La volonté personnelle, dans un contexte si intime, paraît en effet une raison qui devrait l’emporter sur toutes.

C’est d’ailleurs l’idée des "directives anticipées" prévues par la loi Leonetti du 22 avril 2005 : permettre à chacun, pendant qu’il est encore capable de le faire, de dire ce qu’on "fera de lui" en cas d’extrêmes souffrances et de la maladie incurable.

Le problème, c’est que c’est justement quand on est bien portant qu’on serait le plus susceptible d’exprimer cette volonté pour la fin de sa vie. Mais avez-vous remarqué que ce n’est pas aussi simple que cela quand on est gravement malade ?

La personne gravement malade va subir un certain nombre d’étapes psychologiques très différentes, des périodes d’indifférence et de déni peut-être, mais surtout, des périodes de combat et d’espoir, puis, des périodes de désespoir et d’abandon.

L’argument de permettre l’euthanasie active et le suicide assisté sur la seule volonté individuelle, considérant en plus que cette volonté est clairement et sincèrement exprimée (ce qui pose un vrai problème pratique par ailleurs), c’est considérer que la volonté ne varie pas, reste un invariant, tant durant la maladie que même, plus largement, durant l’existence. C’est considérer qu’on est dans le même état d’esprit bien portant que mourant. C’est refuser une évolution, c’est refuser des changements rapides d’humeur, de vision sur soi-même et sur les autres.

L’argument basé sur la volonté personnelle n’est donc qu’un argument très théorique qui ne prend pas en compte les soubresauts de l’humain en situation. La réalité humaine est un petit plus subtile. Le rapport de Jean Leonetti du 28 novembre 2008 a montré en effet que le désarroi dans lequel se trouve la personne en fin de vie renforce les fluctuations de sa volonté et rend dépassée toute déclaration d’intention antérieure.

De plus, rappelons quand même que lorsque les sondages sont réalisés, environ 100% des sondés sont bien portants et ne sont confrontés, au "mieux" (pour la pertinence du sondage) qu’aux cas de leur environnement proche mais certainement pas à leur propre cas.

Et si les conditions…

Si le législateur envisageait de légiférer sur l’euthanasie active ou le suicide assisté, il devrait y définir un certain nombre de définitions contraignantes pour éviter les abus. Car il faudrait bien distinguer cette "aide à mourir" du meurtre (voire assassinat, puisqu’il y aurait préméditation) ou de l’incitation au suicide (là aussi punie heureusement par la loi, jusqu’à cinq ans d’emprisonnement et 75 000 euros d’amende, art. 223-13 du Code pénal).

Je passe rapidement sur le fait qu’il est tout de même étrange de vouloir d’un côté essayer de lutter contre le suicide (dont l’ampleur, notamment chez les jeunes et chez les sexagénaires, est affolante) et autoriser l’assistance au suicide dans des conditions qui, de toutes façons, seraient contournées.

Car c’est là le problème : quelles que soient les conditions que le législateur imposerait, elles seraient contournées. L’expérience des législations étrangères en la matière le montre largement.

Rappelons quelques faits.

Les abus avec l’euthanasie active

J’expliquais cet été (le 2 juillet 2013) que le nombre d’euthanasies pratiquées en Belgique (loi du 28 mai 2002) a triplé entre 2006 et 2011. En 2012, elles représentent 2% des décès. Aux Pays-Bas (loi du 12 avril 2001), le nombre d’euthanasies est en train de progresser chaque année de près de 20% (18% entre 2010 et 2011), un rythme qui était de 13% en 2009. Une douzaine de cas de démences avaient été signalés en 2009 (alors que le consentement éclairé devait être acquis). Le Luxembourg a suivi la législation de ses deux voisins du Benelux le 16 mars 2009.

Le consensus aux Pays-Bas est rompu depuis plusieurs années. En effet, de nombreux médecins allemands évoquent l’installation de personnes âgées néerlandaises sur territoire allemand (notamment en Rhénanie du Nord Westphalie) « qui craignent que leur entourage ne profite de leur vulnérabilité pour abréger leur vie ». Cette rupture de confiance montre qu’il y a crainte de dérapage.

Par ailleurs, les malades réclament nettement moins l’euthanasie s’ils sont soignés dans des centres de soins palliatifs (seulement 10% de demandes en Belgique en 2010-2011, au lieu de 50% auprès de médecins généralistes ou 40% auprès de médecins spécialistes).

Toujours en Belgique, même si ce sont des cas très exceptionnels, il faut aussi savoir que les prélèvements d’organes sont possibles sur des personnes décédées par euthanasie. On peut imaginer les abus que cela pourrait entraîner ultérieurement.

Accroissant le domaine d’application de la loi antérieure, le Sénat belge vient de voter le 12 décembre 2013 une proposition de loi étendant aux enfants (sans condition d’âge !) la dépénalisation de l’euthanasie sous réserve d’un accord parental. Le texte doit ensuite être discuté par la Chambre des représentants mais peut-être après les élections législatives qui auront lieu le 25 mai 2014. L’association Euthanasie Stop n’a pas hésité à dire : « Une nouvelle forme de barbarie est en marche, et à grande vitesse. ». L’euthanasie des enfants de 12 ans et plus est déjà légale aux Pays-Bas (et cinq cas y ont été officiellement recensés).

Les abus avec le suicide assisté

La Suisse ne punit l’aide au suicide qu’en cas de motif "égoïste", ce qui a conduit certaines associations à prospérer sur le marché très juteux de la mort autorisée. Chaque aide au suicide est facturée 6 600 euros. Un ancien dirigeant d’une de ces associations a même reconnu qu’il avait pratiqué des euthanasies actives (interdite en Suisse) en guise de suicide assisté pour un couple malade de diabète et d’épilepsie et pour un frère et une sœur atteints de schizophrénie et orphelins. Beaucoup de malades psychiques ont également été "suicidés avec assistance" de cette manière. Le suicide est très rapide : il se déroule moins de quatre heures entre la première démarche du malade et sa mort effective, parfois dans des conditions terribles (étouffé dans un parking public). 20% des suicides en Suisse proviennent du suicide assisté et les statistiques ne cessent de grimper.

Auditionnée le 7 octobre 2008, la Ministre de la Justice de l’époque, Rachida Dati, expliquait ainsi la complexité du sujet : « Y a-t-il si loin du "tu me demandes des médicaments pour t’aider à en finir, je vais te les donner" au "tu souffres tellement ! Si tu veux, je peux te fournir des médicaments…" ? Les dérives seront donc inévitables si on légalise ce droit au suicide, d’autant que de plus en plus de personnes meurent seules : ne faut-il pas les protéger contre les incitations déguisées de "proches" qui n’arrivent souvent qu’à la toute fin de vie ? Le Ministère de la Justice est bien placé pour savoir que l’assistance peut tourner à la provocation, à l’incitation déguisée. C’est en revanche compliqué à démontrer. ».

L’an dernier (le 19 décembre 2012), j’avais également cité le rapport Leonetti à propos du suicide assisté : « À [la] fragilisation de la volonté de la personne risque de s’ajouter une fragilisation de la détermination de son entourage. En effet, une telle obligation "morale" peut également gagner insidieusement le corps social. Selon Marie-Hélène Boucand [coordinatrice médicale de l’Association française des syndromes d’Ehlers-Danlos], lorsque la souffrance éprouvée par le malade en vient à désespérer son entourage ou l’institution qui le prend en charge, (…) le "je n’en peux plus" devient (…) pour le malade et pour ceux qui l’entourent, le "c’est insupportable", la seule issue logique pour la personne souffrante étant alors de disparaître. C’est même un choix qui pourrait progressivement s’imposer à l’entourage et à la société qui, sous couvert de l’argument ambigu de la compassion, en viendraient ainsi à accepter ou à proposer de supprimer la personne pour supprimer sa souffrance, tentation qui permettrait à tous de ne plus avoir affaire avec la souffrance et le souffrant. ».


La sagesse, seul critère pour évoquer la mort

Le 25 juin 1999 (lors de sa 24e séance), par sa recommandation 1418, l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe avait vivement critiqué cette évolution en faveur de la légalisation de l’euthanasie et du suicide assisté en encourageant ses membres « à respecter et à protéger la dignité des malades incurables et des mourants (…) en maintenant l’interdiction absolue de mettre intentionnellement fin à la vie des malades incurables et des mourants ».

Plus récemment, le 25 janvier 2012 (lors de sa 6e séance), par sa recommandation 1858, cette même instance proclamait avec force : « L’euthanasie, dans le sens de l’usage de procédés par action ou par omission permettant de provoquer intentionnellement la mort d’une personne dépendante dans l’intérêt alléguée de celle-ci, doit toujours être interdite. ».

Par ailleurs, l’Association médicale mondiale (WMA, fondée le 17 septembre 1947, regroupant 102 associations médicales nationales et plus de dix millions de membres et dont le siège est à Ferney-Voltaire) avait adopté en octobre 1987, lors de sa 39e assemblée générale à Madrid, une déclaration sur l’euthanasie réaffirmée en mai 2005 lors de la 170e session du conseil à Divonne-les-Bains : « L’euthanasie, c’est-à-dire mettre fin à la vie d’un patient par un acte délibéré, même à sa demande ou à celle de ses proches, est contraire à l’éthique. Cela n’interdit pas au médecin de respecter la volonté du patient, de laisser le processus naturel de la mort suivre son cours dans la phase terminale de la maladie. ».

Cette même instance avait aussi adopté en septembre 1992, lors de sa 44e assemblée générale à Marbella, une résolution sur le suicide assisté : « Le suicide médicalement assisté est, comme l’euthanasie, contraire à l’éthique et doit être condamné par la profession médicale. Le médecin qui, de manière intentionnelle et délibérée, aide un individu à mettre fin à sa propre vie, agit contrairement à l’éthique. Cependant, le droit de rejeter un traitement médical est un droit fondamental pour le patient et le médecin n’agit pas contrairement à l’éthique même si le respect e ce souhait entraîne la mort du patient. ».

La même résolution avait aussi réaffirmé l’opposition à l’euthanasie : « L’Association médicale mondiale réaffirme sa conviction profonde selon laquelle l’euthanasie est contraire aux principes éthiques fondamentaux de la pratique médicale. [Elle] exhorte les associations médicales et les médecins à s’abstenir de participer à la pratique de l’euthanasie, même lorsque la législation nationale l’autorise ou la dépénalise dans certaines conditions. ».

L’avis formulé le 16 décembre 2013 par le panel de 18 citoyens choisis par l’IFOP va cependant servir de matière pour que le Comité d’éthique puisse formuler un nouvel avis (pourtant déjà émis cet été mais avec une nouvelle composition de ses membres, plus proche du Parti socialiste).

Dans l’avis n°121, le Comité d’éthique avait affirmé : « Déplacer la frontière de l’interdit ne supprimerait pas cette frontière : quelle que soit la limite, il existera toujours des situations limites qui la rencontreront et qui l’interrogeront ».

Le président du Comité d’éthique Jean-Claude Ameisen (immunologue de renom) avait eu ces mots très sages le 1er juillet 2013, lors de la remise de cet avis : « Le maintien de l’interdiction faite aux médecins de provoquer délibérément la mort protège les personnes en fin de vie (…). Il serait dangereux pour la société que les médecins puissent participer à donner la mort. ».

Espérons que ses nouveaux collègues du Comité d’éthique le suivent dans ce qui est une évidence de la vie : la mort ne se décrète pas.

Sylvain Rakotoarison (18 décembre 2013)
http://www.rakotoarison.eu
Vu ici

jeudi 10 octobre 2013

La Fin de la Femme

 Une façon de penser comme une autre.

Lolo
 

A cause du féminisme, la féminité est en voie de disparition. Ce génocide psychologique s’appelle : « la libération de la femme ».

Lorsque la culture est contrôlée par des Satanistes, le « progrès » repose sur l’avancement de leurs critères.

J’ai participé à un cours de cuisine végétarienne. Le professeur est une femme de 70 ans qui en parait 55. Une autre des participantes, une québécoise à la retraite d’une soixantaine d’année, est aussi très enjouée.

D’habitude je ne remarque pas les femmes de mon âge (presque 64 ans) mais il y avait quelque chose d’étrangement différent chez ces femmes. Je me suis senti si à l’aise en leur présence que je me suis presque endormi. Puis j’ai fini par réaliser de quoi il s’agissait : ces femmes sont féminines. Je venais de tomber sur des membres appartenant à une espèce en voie d’extinction : la « femme ».

Tout comme moi, ces femmes appartiennent à la génération de transition des années 1960. Mais en ce temps-là, au lycée, les femmes choisissaient des options traitant de l’économie au foyer, tandis que les garçons s’orientaient vers le commerce. Les garçons invitaient les filles à « sortir », les emmenaient danser ou voir un film au cinéma. Les relations sexuelles avant le mariage étaient mal vues et les enfants illégitimes étaient considérés comme des « bâtards ». Une chanson populaire avait pour refrain : « L’amour et le mariage, vont ensemble comme un cheval et son attelage ». On nous disait de remettre en question l’autorité, pas notre genre sexuel.

Qu’est-ce qui fait que ces deux femmes assistant à ce cours de cuisine sont « féminines » ? Si j’avais à choisir un seul terme, ce serait leur « vulnérabilité ». Ce sont des femmes qui ne tueraient pas elle-même un serpent. Elles s’en remettent à un homme, leur mari, pour les protéger et les diriger. Elles ne rentrent jamais en compétition avec les hommes.

Une autre notion clef est celle de sacrifice. Elles se vouent à leur famille et sont chéries en retour pour cela. Elles sont aimées non pour leur apparence leur accomplissement ou leur répartie, mais pour leur contribution envers leur famille.

Un autre terme est l’abandon. Vous sentez qu’un homme loyal doté de vision et de détermination pourrait mériter la dévotion de ces femmes pour la vie. C’est de cette manière que deux personnes ne font plus qu’une.

L’abandon et le sacrifice, basés sur la confiance, constituent la manière dont une femme véritable accorde son amour. Bien sûr, un homme doit gagner et mériter cette confiance. Le sacrifice d’une épouse inspire un homme pour qu’il se sacrifie à son tour, c’est-à-dire qu’il pourvoie au bien être de sa famille.

Hommes et femmes ont été gravement blessés par les ingénieurs sociaux Illuminati ayant miné le genre sexuel et le mariage avec la complicité de notre gouvernement, des médias et du système éducatif. Les femmes ont acquis du « pouvoir » et les hommes ont été ainsi émasculés. Le but est de neutraliser et de reprogrammer l’humanité pour la changer en une race d’esclave.

Les femmes sont faites par nature pour le sacrifice et l’abandon d’elle-même au profit de leur famille. Mais le féminisme a enjoint les jeunes femmes à être « fortes et indépendantes » et de considérer les hommes, le mariage et la famille avec suspicion. En conséquence, les femmes ont été privées de l’accomplissement dont elles ont instinctivement besoin et qui ne peut être trouvé qu’à travers leur dévouement désintéressé envers un mari aimant et ses enfants. Cela concerne aussi leur épanouissement sexuel.

Les femmes étaient autrefois essentiellement différentes des hommes. Elles étaient concentrées sur leur foyer. Leur esprit était un refuge et un havre de paix pour un homme. Leur énergie équilibrait son énergie.

Les jeunes femmes d’aujourd’hui sont tellement occupées à poursuivre une carrière qu’elles sont à peine distinguable des hommes. Le féminisme a doté la plupart d’un pénis psychologique.

Beaucoup d’entre elles souffrent de ce que j’appelle un « désordre déficient de la personnalité. » Elles sont peut-être agréables à regarder mais elles ont peu de personnalité, de style ou de charme. Elles ne peuvent pas être des hommes, et elles ne savent plus comment être des femmes. Ce sont des mutants.

Par contraste, il y a un charme lumineux chez les femmes féminines de ma génération. Elles ne se prennent pas trop au sérieux. Un homme peut se détendre en leur présence. Elles ont encore de la fraicheur et restent attirante même à 60 ans.
Sous le prétexte des « droits » des gays et des femmes, les Illuminati ont mené une guerre sur le genre sexuel qui a eu pour effet de paralyser psychologiquement les hétérosexuels. Seuls des Satanistes songeraient à s’attaquer à l’amour entre mari et femme, ou entre mère et enfant. Les hommes sont aujourd’hui toujours dépeint comme féminins et faibles. Les femmes ne peuvent pas aimer ces hommes.

L’essence de la masculinité est le pouvoir. Mon conseil aux jeunes hommes : engagez-vous dans une carrière profitable et qui vous plait. Soyez animés d’une vision de la vie et de la place qu’une femme doit y occuper. Ensuite, aidez une jeune femme à trouver sa nature féminine fondamentale en vous acceptant comme son mari. Vous devez être le patron, autrement une femme ne vous respectera pas. Vous serez considéré au mieux comme son frère ou son fils.

source

samedi 7 septembre 2013

LES SOCIÉTÉS SECRÈTES ET LEUR POUVOIR AU 20ème SIÈCLE (Le livre Jaune)

Je suis tombée sur ce texte tout à fait par hasard sur internet.
Plusieurs centaines de pages, en effet c’est un livre.
À ceux qui veulent connaître ce que dit l’auteur à vous de me suivre.
Lolo

Un fil conducteur à travers l'enchevêtrement des loges, de la haute finance et de la politique.
Livre jaune #01 - JAN VAN HELSING
 Commission trilatérale, Bilderberger, CFR, ONU
"Rien de ce qui touche à la politique ne relève du hasard ! Soyons sûrs que ce qui se passe en politique a été bel et bien programmé !"
F.D.Roosevelt

Croyez-vous vraiment savoir ce qui se passe sur notre planète ?
Beaucoup d'auteurs ont déjà affirmé que seuls puissants personnages exercent un contrôle absolu sur tous les événements mondiaux. Jan van Helsing nous confronte à cette affirmation ; il nous montre l'enchevêtrement des loges et de l'occultisme avec la haute finance et la politique. Il nous fait grâce, cependant, d'en faire retomber la faute, comme c'est si souvent le cas, sur les francs-macons, les sionistes ou Satan. Il va aussitôt au cœur du problème, Il s'exprime sans ambages, comme les jeunes de son époque, qui ne craignent point d'affronter les systèmes criminels basés sur le contrôle, la puissance et la manipulation. Ce livre n'est pas seulement le résultat d'années de recherche et de compilation de lectures, il est étayé aussi de rapports d'ex-agents secrets de différents pays. L'auteur ne se contente pas de dévoiler les dessous de la politique, il nous apprend qu'on nous cache l'existence d'une technologie qui pourrait très vite sortir l'humanité de l'état pitoyable - et voulu - où elle se trouve. Une nouvelle façon de considérer le monde où nous vivons ! Ce livre va ébranler le lecteur et va l'inciter à aller de l'avant !

Résumé

Le titre vous surprend ? S'agit-il d'une subtile stratégie de marketing pour susciter la curiosité ? Pas vraiment. Apprenez que deux livres de Jan van Helsing ont été interdits, pour cause de contenu explosif. Il n'y a pas une semaine qui passe sans que les médias allemands mettent les gens en garde contre les idées de l'auteur « le plus dangereux d'Allemagne ». Dangereux pourquoi ?

Jan van Helsing s'en prend à nouveau à la vision du monde, la vôtre ! Livre jaune No1 (Ne touchez pas à ce livre !) est donc un sérieux avertissement. Après avoir lu cet ouvrage, votre perception du monde ne sera plus jamais la même. Vous ne pourrez plus poursuivre
tranquillement votre vie comme auparavant. Vous ne pourrez dire : Personne ne m'avait informé, où aurais-je pu puiser ces informations ? Vous croyez qu'en tant qu'individu, vous n'avez pas voix au chapitre et qu'aucun pouvoir ne vous est attribué ? La lecture de ce livre fera basculer votre perception des choses !

Si les secrets éhontés de nos gouvernements ne vous troublent pas, si la richesse tant intérieure qu'extérieure vous est étrangère, si votre santé est si peu importante qu'on peut la confier à des mains inconnues et peu fiables, si vous êtes convaincus que le succès n'arrive qu'aux autres, alors suivez mon conseil, et ne touchez pas à ce livre !

Par contre, si vous avez la conviction qu'il y a « de l'eau dans le gaz », que la planète flotte à la dérive, que les agissements des hautes instances de ce monde « éclairé » ne rencontrent pas vos idéaux et que vous voulez « casser la baraque », vous tenez le livre qu'il vous faut.

Soyez d'ores et déjà avertis, ce ne sera pas de tout repos !

Jan van Helsing décode des événements et approfondit des théories qui vous soutiendront dans la maîtrise de votre existence en toute connaissance de cause.

Désormais, vous saurez que celui qui tient le pouvoir et la puissance de sa vie porte une grande responsabilité de partage.

A vous de choisir. Maintenant ou jamais !


Bonne lecture, voici le lien du livre:
 

mercredi 7 août 2013

Les chiens de l’enfer mordillent nos talons


Isabelle du blog Conscience du peuple a pointé ce billet. Malheureusement, le show radio de 3 heures qui est indiqué dans ce billet est en anglais. Mais nous pensons que le billet en lui-même est déjà intéressant, aussi voici sa traduction. Je vous rappelle que Thom Horn est un des auteurs de la série Exo-Vaticana, aussi comme il a pointé dans l'article les autres billets de cette série, je les traduirai avec le temps...

Par : Devvy
28 juillet 2013
NewsWithViews.com


« La Commission trilatérale est le Président des États-Unis. Je représente la Commission trilatérale. » Henry Kissinger.
Voyez la vraie histoire du groupe de Bilderberg, Daniel Estulin

Ceux qui doutent de la puissance impressionnante, mais mauvaise, des sociétés secrètes sont dans le déni, parce que le déni est un endroit beaucoup plus confortable pour vivre. Il est beaucoup plus facile d'accepter tous les mensonges, tout le temps. Reconnaître le niveau de la tromperie et de la trahison, par presque chaque président pendant plus d'un siècle, aussi bien que « vénéré » des magnats d'affaires et des membres du congrès hors la loi, est simplement trop pour des Américains confiants. Tant de millions, qui ne comprennent vraiment pas combien brutal et laid est « le jeu », et comment cela affecte leurs vies.

Le peuple américain a été dirigé, maœuvré et conduit dans la direction désirée pendant plus d'un siècle. Entre les centres d'endoctrinement du gouvernement appelés les écoles d'Etat, une fidélité aveugle conditionnée aux deux partis politiques principaux dans ce pays, le ministère de la propagande (des médias et des réseaux câblés de courant principal), la plupart de la majorité restera dans le déni, continuant à blâmer l'autre partie. Ils sont de la classe du bétail ; ils passent simplement leurs jours à paître jusqu'à ce qu'ils soient menés à l'abattoir. Seulement à la fin, la puanteur de la mort réveille leurs narines ; mais là il est trop tard.

Quelques sociétés secrètes ont une base « religieuse », d'autres sont occultes, et certaines sataniques. La plupart n'ont plus aucune fidélité politique, seulement un ordre du jour. Elles sont simplement constituées de personnes individuelles, totalement folles, qui convoitent pour la puissance à chaque moment de réveil. Ignorer les mordillements par dessous de ces organismes laisse une personne sans savoir la vérité, quant aux factions qui détruisent ce pays, aussi bien que le reste du monde.

Des millions d’entre nous veulent pleurer pendant que nous combattons les chiens de l'enfer mordillant littéralement nos talons, dans leur quête pour souiller ce qui était par le passé, et pour établir leur cauchemar atroce de la grande vision de ce que le monde devrait être sous leur contrôle.
Les anciens directeurs de l'état comme Benjamin Disraeli ont averti :

« Il y a en Italie une puissance que nous mentionnons rarement dans cette Chambre… Ce que je veux dire, c’est qu'il est inutile de nier les sociétés secrètes… Parce qu’il est impossible de cacher qu'une grande partie de l'Europe - la totalité de l'Italie et de la France et une grande partie de l'Allemagne, pour ne rien dire des autres pays - est couverte de réseaux de ces sociétés secrètes, juste comme la superficie de la terre est maintenant couverte de chemins de fer. » - Benjamin Disraeli, à la Chambre des communes britannique, le 14 juillet 1856. Benjamin Disraeli, le 1er comte de Beaconsfield, était le Premier ministre britannique de 1874 à 1880.

Il n'est pas possible d'énumérer toutes les publications, colonnes et livres fins écrits pendant des décennies, essayant d'informer les personnes américaines (et le monde, vraiment) au sujet des forces mauvaises tourbillonnant autour d’elles, car elles vivent leurs vies quotidiennes dans une colonne. Cependant, je vous dirigerai vers Thomas Horn. Dans une de ses colonnes incroyablement détaillées : «
Lisez-la avant qu'elle ne soit interdite par le gouvernement des États-Unis. » Tom écrit :

« Conformément à cette série d'articles, basée sur mon nouveau prochain livre, L'Ange de l'Abîme ressuscitant 2012 : Le mystère final du grand sceau révélé - Un chiffre terrifiant et prophétique, caché du monde par le gouvernement des États-Unis pendant plus de 200 années est ici. Les vérités effrayantes derrière la société clandestine qui ont aidé à faire le châssis des Etats-Unis et à placer dans le grand sceau une doctrine secrète prophétique, peuvent finalement être comprises. Ce que même les meilleurs chercheurs dans le domaine des Illuminati et des fraternités voilées tels que les francs-maçons ne pouvaient jamais déchiffrer entièrement, est défini ci-dessous pour la première fois. La puissance au travail derrière les affaires globales, et pourquoi les puissances planétaires actuelles s’alignent à la hâte pour un nouvel ordre de chaos, est exposée. Peut-être le plus incroyablement, on apprend comment les prophètes antiques ont prévu et ont prévenu réellement de ce temps.

« Une précaution : si vous êtes une personne qui mène une vie heureuse dans la « Matrice » bercée dans l'étreinte chaude des illusions, je vous recommande de mettre cette étude de côté, et d’appréciez vos jours restants en étant non informés. »

Les colonnes de Tom sont prolongées et il écrit habituellement une série, c.-à-d.,
Petrus Romanus : Le faux prophète et l'antéchrist sont ici, Exo-Vaticana et ZÉNITH 2016 : Est-ce que quelque chose a commencé en 2012 ? Son dévouement au détail et aux sources rend sa recherche inestimable. Si je ne peux pas lire sa colonne pendant le matin, je laisse la fenêtre ouverte et je la lis pendant le déjeuner. J'ai aussi faim de vérité que vous. Cela prend du temps de suivre les nombreux fils qui peuvent être primordiaux, mais nous ne pouvons plus hésiter maintenant.

Voir c’est croire, et William P. Litynski a réalisé un travail fin dans son boulot,
le gouvernement du monde exposé. Une image vaut mille mots, qui je suis sûr dérangerait ceux qui ont pensé qu'un politicien ou une personne publique particulière était l'un des « bons garçons », quand en fait, c’était juste l'opposé en vrai.

La technocratie est quelque chose qui reste intouchée par Hannity O'Reilly, et tous les réseaux de « nouvelles », de câbles, et les « grands » trois menteurs qui se louent ABC, CBS, NBC. Ils mentent tous. Tout le temps. Les mauvaises personnes ont travaillé ce cauchemar pendant des siècles. Si nous ne connaissons pas et ne comprenons pas nos ennemis, nous ne pouvons pas les battre. Je sais que le temps est un problème, et à quel point je le sais. Mais c’est notre heure ou notre destruction.

Je peux seulement soumettre avec insistance dans les termes les plus forts possibles, que les Américains apprennent ce qui a été en cours pendant longtemps ; nous vivons vraiment dans le temps emprunté. Patrick Wood, l'un des meilleurs chercheurs dans ce pays, définit ce qu'est la technocratie et qui est derrière elle.
Transhumanisme, technocratie, société totale de surveillance

« Le transhumanisme, la technocratie et la société totale de surveillance sont présentés dans ce show radio de 3 heures avec Patrick Wood, Karl Teichrib et Kaye Beach. C’est une bonne amorce qui est utile pour amener l'auditeur à une compréhension de base solide de ce que tout cela signifie. Le 25 juillet 2013, Patrick Wood a hébergé, en tant qu’hôte, une présentation de trois heures sur le show nationalement syndiqué de Roth. Les archives audio ont été éditées et condensées, et peuvent être écoutées ci-dessous. »
Introduction - « Si vous voulez vous renseigner sur la Commission trilatérale, la technocratie et comment le système financier généralisé fonctionne, alors vous êtes au bon endroit ! Voici quelques rapports fondamentaux pour vous mettre en route, mais explorez le système avec les menus, et vous trouverez beaucoup plus. »

Si vous ne pouvez pas écouter la présentation entière, écoutez une heure à la fois. Mettez les haut-parleurs sur votre ordinateur et écoutez tout en nettoyant votre arme à feu, votre maison ou en faisant cuire le dîner. Devenez multitâche et obtenez la vérité, parce que nous sommes dans le combat pour notre survie même en temps réel.
La technocratie et la fabrication de la Chine

« À cet égard, l'influence de la Commission trilatérale, ses membres et politiques sur la scène mondiale peuvent à peine être mesurés. La Commission, fondée par David Rockefeller et Zbigniew Brzezinski en 1973, a tiré l'adhésion de l'Amérique du Nord, de l'Europe et du Japon. Avec approximativement 300 membres, dont seulement 86 étaient d'origine des Etats-Unis, mais ils ont conçu et ils ont poussé les politiques corporatistes, qu’ils ont adapté de façon à avoir l'adhésion entière, et ils l’ont fait ainsi sous un manteau virtuel d'invisibilité qui dure encore en 2013.

« Aujourd'hui, nous récoltons les « bénéfices » de la manipulation trilatérale. L'économie européenne est saccagée, l'économie du Japon couve toujours depuis mi-1990, et l’économie des États-Unis est beaucoup plus mauvaise aujourd'hui que vers la fin des années 1960. Mais, les régimes politiques de ces pays ne sont pas beaucoup plus aisés que leurs économies. Le fruit du délabrement aux Etats-Unis est péniblement évident, avec une politique rompue et controversée qui défie la réconciliation même sur les questions les plus mineures.

« Mes amis, en coalition pour une Amérique prospère et une économie dans la crise notamment, travaillent dur pour compenser les politiques commerciales en pagaille - qui ont mis l'industrie américaine dans les toilettes au cours des 30 dernières années. Tant que nous avons une certaine liberté d'expression, des organismes comme ceux-là sont une voix bienvenue, même s’ils sont vilipendés par le cartel global de libre échange.

« Cependant, les gens doivent savoir comment et où tout cela a commencé, et qui en était responsable. Mais les sciences économiques modernes, la politique et les tendances sociales ne peuvent être compris que par la genèse de la mondialisation. Est-ce que n'importe qui peut indiquer : « Épingle la queue sur l'âne ? »

Il y a « trente-cinq ans, en novembre 1978 et avril 1979, les publications des observateurs de la Trilatérale, Antony C. Sutton et moi-même, avons écrit l'analyse suivante sur la Chine. Nous avons averti des effets désastreux qui résulteraient si ces politiques avançaient, et nous avons complètement exposé les membres de la Commission Trilatérale, qui étaient seuls presque responsables de la hausse ascendante de la Chine comme puissance mondiale. Le fait que personne n'ait écouté à l’époque est évident en soi, parce que rien n'a changé et personne n'a résisté (pour la clarification, les noms des membres de la Commission trilatérale sont en caractères gras.) » Reportez-vous au lien ci-dessus.

Les plans diaboliques des sociétés secrètes et de ce qui n’est plus très secret (
Conseil des Affaires Étrangères, Commission Trilatérale, Club de Rome, pour en nommer juste trois) sont désormais aussi visibles que le nez sur votre visage. Finalement, c'est vraiment la bataille entre le bien et le mal. Tristement, les dizaines de millions d'Américains ne prêtent plus guère d’attention à n'importe quoi d’autre que leurs drogues (légales et illégales), boissons alcoolisées, le porno, le sport 24/7, les achats stupides en surfant sur Internet, et leur obsession de la culture pop, les bruits horribles qui passent pour de la musique et du « rap », et les déchets produits rapidement par Hollywood. Tous s'y étaient adonnés, à des millions innombrables.

La poussée fortement réussie pour faire de l'Amérique un pays laïque, et la défaite complète des églises à avertir leurs troupeaux, ont conduit les Américains à s’éloigner de Dieu dans des nombres records. Ils pensent que le mal est juste quelque chose que l’on voit dans les salles de cinéma, au lieu de comprendre que Lucifer, prince de l'obscurité, qui a capturé les gens spirituellement faibles, et les a attachés juste avec ceux appartenant aux sociétés secrètes et pas aussi secrètes, est réellement quelque chose de plus concret qu’un chiffre de bande dessinée.

Ceux qui travaillent tranquillement dans les sociétés secrètes, les réunions secrètes du Bilderberg et les milliers de membres discrets de think tank, des politiciens aux niveaux les plus élevés et les médias commandés, travaillent pour détruire la plus grande forme de gouvernement dans l'histoire du monde. Leur puissance peut seulement être cassée en les rejetant,
en faisant mourir de faim leur sociétés servant à faire de l’argent, et en arrêtant de les élire et les réélire au bureau.

Embrassez vos enfants, votre mari ou votre épouse chaque jour. Dites-leur au quotidien combien vous les aimez. Mettez-vous à genoux et demandez-lui, au Créateur du ciel et de la terre, de nous aider à lutter contre les vraies forces du mal. Sans Dieu de notre côté, nous ne survivrons pas comme nation libre. Ceux qui ont saigné sur les champs de bataille, pendant la guerre révolutionnaire, se sont humiliés et ont prié Dieu tout-puissant, lui demandant de les guider et de leur donner la force. Ils ont su contre qui ils se battaient. Je sais contre quoi nous sommes. Nous ne pouvons pas gagner sans lui de notre côté.

George Washington
 
source
Source(s) : Newswithviews.com, Conscience du peuple

dimanche 9 juin 2013

Chuuut ! 2000 personnes manifestent contre Bilderberg devant leur hotel!

Cela devait rester secret...    

       Après quelques dizaines de personnes les deux premiers jours, ce sont prés de 2000 qui ont manifestés aujourd’hui contre l’organisation de Bilderberg à Watford en Angleterre !

A cette occasion, et devant tant de personnes,
David Icke et Alex Jones ont donné chacun un discours pour fédérer et rassembler les gens, y compris les policiers qui les surveillent, autour du même combat et de la même vision. David Icke dit par exemple que les oligarchies « diabolisent les musulmans, diabolisent les pauvres, pour éloigner l’attention des gens de leurs conspirations« . Il dit également, en pointant du doigt l’hotel dans lequel se trouvent les élites réunies : « Regardez ! Les gens qui sont devant moi aujourd’hui sont de loin plus nombreux que les 114 qui sont la bas et qui décident du sort de la Terre. Que puis-je dire ? Le monde est fou …«

 

Alex Jones quant à lui est monté sur l’estrade alors que les manifestants chantaient la musique de Stars Wars sur le thème de Dark Vador ! Il a alors commencé son discours en s’attaquant aux médias traditionnels comme la BBC (qu’il cite) car, selon lui, non seulement ils ne couvrent pas l’organisation Bilderberg, mais ils font aussi l’impossible pour que les gens ne s’y intéressent pas allant même jusqu’à se moquer et insulter l’intelligence de leurs spectateurs.

Il enchaine ensuite sur les objectifs à termes de l’organisation qui sont le monopole des richesses, l’appauvrissement du monde dans le but de mieux le contrôler, et la diminution de la population mondiale. Il les accuse également de voler les inventions et la créativité des citoyens pour les utiliser contre eux. Il conseille donc ses auditeurs à combattre ces élites par l’information, la vérité, les arts, et d’être conscient que nous sommes en guerre.  
  
Source

samedi 8 juin 2013

Vous ne connaissez pas le Bilderberg ? Vous avez tort !

 

bilderberg          
Qui connaît en France le Bilderberg, dont la réunion a lieu du 6 au 9 juin 2013 en Grande-Bretagne à Hertfordshire ? Ce n’est pas la presse française qui risque de s’y intéresser, même si un site officiel existe. Bien entendu, des esprits chagrins vont tout de suite sortir l’arsenal des formules habituelles comme « théorie du complot », « conspirationnistes », « fanatiques », etc., à l’égard de ceux qui s’intéressent aux réunions de ses membres. Il est légitime de s’interroger sur le rôle du Bilderberg où se presse chaque année le gratin financier, journalistique et politique. Une telle concentration de puissance a obligatoirement des répercussions sur la vie du citoyen.
 
Comme le rappelle David Rockefeller dans ses Mémoires, le Bilderberg fut fondé en 1954 sous son égide en relation avec le très influent Joseph Retinger, très lié aux cercles mondialistes de son époque. C’est ce dernier qui joua un rôle primordial dans l’organisation du Congrès de la Haye (1948) qui permis de poser les jalons de la construction européenne. Tout en connaissant les types de sujets abordés (politique, économique, militaire…), il n’est pas possible de connaître la teneur des débats et des échanges qui animent ces réunions. Les mesures régissant ces interventions obéissent au principe de la « règle de Chatham House ». Ce think tank, équivalent anglais du Council on Foreign Relations (CFR) américain, fut fondé en 1919 par Lionel Curtis, bras droit de personnages éminents comme Cecil Rhodes et Alfred Milner, figures de proue du mondialisme anglo-saxon au tournant des XIXe et XXe siècles. C’est ce même Lionel Curtis qui prônait une organisation planétaire unifiée dans le cadre d’un « Commonwealth fédératif ». Le Bilderberg a donc repris les traditions de discrétion de Chatham House concernant les débats entre les intervenants et les décisions prises. Le peuple dit souverain peut « aller se faire voir ».

C’est le prince Bernhard des Pays-Bas (grand-père du roi Willem-Alexander) qui fut le premier dirigeant du Bilderberg. Cet homme avait un curriculum vitae qui ne semblait pas déranger outre mesure Retinger, Rockefeller et consorts. En effet, Bernhard fut un des membres actifs de l’empire IG Farben (complexe pétro-chimique) qui, dans les années 1920, comptait dans son comité de surveillance le grand banquier Max Warburg (financier de la Paneurope). Son frère, Paul Warburg, a été le fondateur de la FED (Banque fédérale américaine), le premier président du CFR, mais aussi membre de la branche américaine d’IG Farben. C’est cet empire industriel qui joua un rôle décisif dans l’arrivée d’Hitler au pouvoir puis, par la suite, dans la guerre. Comme l’a dit le sénateur américain Homer Truett Bone, le 4 juin 1943 : « Farben était Hitler et Hitler était Farben. » C’est donc dans ce milieu glauque que le prince Bernhard pataugeait. Précisons qu’il fut aussi pendant 18 mois membre de la SS (Schutzstaffel), comme l’a expliqué l’extraordinaire historien Antony Sutton 1. Complétons le CV du personnage en rappelant qu’il fut le premier président du World Wildlife Fund (WWF, institut promouvant dans sa finalité le panthéisme), fondé par Julian Huxley (premier président de l’UNESCO et eugéniste), frère de sang et en esprit d’Aldous Huxley, auteur du « Meilleur des mondes » (1931), véritable évangile du mondialisme largement mis en pratique depuis la chute du mur de Berlin.<

L’action du Bilderberg est immense. Outre l’action de ses membres occupant des postes politico-financiers et journalistiques, il faut rappeler l’action décisive de l’ancien président du Bilderberg et ancien vice-président de la Commission européenne, Étienne Davignon, à l’origine du choix, en liaison avec Henry Kissinger, d’Hermann Van Rompuy comme président permanent du Conseil européen. Ce sont ces réunions qui influent sur notre quotidien et qui sont très rarement relatées par la presse officielle, à l’exception notable du journal télévisé de RTL Belgique en 2000 (voir video ci-dessous). Par conséquent, il est capital de connaître l’action de ce groupe dirigé par Henri de Castries (patron du groupe AXA) qui, pour l’année 2013, accueille des « huiles » comme Thomas Enders (patron d’EADS), Jean-Claude Trichet (patron de la Trilatérale Europe [PDF] et du Groupe des Trente), José Barroso (président de la Commission européenne), François Fillon (ancien Premier ministre), Mario Monti (ancien Premier ministre italien et ancien président de la Trilatérale Europe) ou encore Valérie Pécresse (député UMP) (Liste complète). Soyons conscients que ce sont ces instituts discrets qui agissent et martyrisent les peuples qui sont à des années-lumière de l’existence de tels groupes d’influence.




Interwiew d’Alex Jones au sommet du Bilderberg 2013 :


Interview de Max Keiser :

source

dimanche 25 décembre 2011

Les Neuf Inconnus Histoire de la plus puissante société secrète de la Terre.





Les Neuf Inconnus Histoire de la plus puissante société secrète de la Terre.
La tradition des Neuf inconnus remonte à l'empereur Asoka qui régna sur les Indes à partir de 273 avant J-C. Il était le petit-fils de Chandragupta, premier unificateur de l'Inde. Plein d'ambition comme son ancêtre, il entreprit la conquête du pays de Kalinga qui s'étendait de l'actuelle Calcutta à Madras. Les kalinganais résistèrent et perdirent cent mille hommes dans la bataille. La vue de cette multitude massacrée bouleversa Asoka.

On dit qu'instruit des horreurs de la guerre, l'empereur Asoka voulut pour toujours interdire aux hommes l'usage méchant de l'intelligence.

Sous son règne entre dans le secret la science de la nature, passée et à venir. Des recherches vont se dissimuler désormais, et pendant vingt-deux siècles, derrière le visage mystique d'un peuple que le monde ne croit plus occupé que d'extase et de surnaturel, Asoka fonde la plus puissante société secrète de la Terre : celle des Neuf Inconnus.

On dit encore que les grands responsables du destin moderne de l'Inde, et des savants comme Bose et Ram, croient en l'existence des Neuf Inconnus, en recevraient même conseils et messages.

Les manifestations extérieures des Neuf inconnus sont rares. La première vulgarisation de l'histoire des Neuf Inconnus eut lieu en 1927 avec la publication du livre de Talbot Mundy qui fit partie, durant vingt-cinq ans, de la police anglaise aux Indes. Son livre est à mi-chemin entre le roman et l'enquête. Les Neuf Inconnus feraient usage d'un langage synthétique. Chacun d'eux serait en possession d'un livre constamment récrit et contenant l'exposé détaillé d'une science.

Le premier de ces livres serait consacré aux techniques de propagande et de guerre psychologique. " De toutes les sciences, dit Mundy, la plus dangereuse serait celle du contrôle de la pensée des foules, car elle permettrait de gouverner le monde entier. " Il est à noter qu'il faut attendre l'expérience de la dernière guerre mondiale pour que commencent à se cristalliser en Occident les techniques de psychologie du langage, c'est-à-dire de propagande.

Le deuxième livre serait consacré à la physiologie. Il donnerait notamment le moyen de tuer un homme en le touchant, la mort survenant par inversion de l'influx nerveux.

Le troisième étudierait la microbiologie, et notamment les colloïdes de protection.

Le quatrième traiterait de la transmutation des métaux.

Le cinquième renfermerait l'étude de tous les moyens de communication.

Le sixième contiendrait les secrets de la gravitation.

Le septième serait la plus vaste cosmogonie conçue par notre humanité.

Le huitième traiterait de la lumière.

Le neuvième serait consacré à la sociologie, donnerait les règles de l'évolution des sociétés et permettrait de prévoir leur chute.
SOURCE

vendredi 23 décembre 2011

Un monstre de pouvoir occulte

Terre d’âmes-nations dans la Nuit de ce Temps
Dr Steven M.Greer, Révélations, Vérités cachées Connaissances interdites, Disclosure Project : «Les théoriciens de la conspiration se trompent complètement sur la façon dont les choses sont contrôlées…La vérité se cache d’elle-même.Si vous êtres en mesure de raconter une version de la vérité qui soit concevable,celle-ci pourra être acceptée, mais,si vous dites vraiment la vérité,toute la vérité et que vous souleviez le voile,celle-ci se cache d’elle-même, car elle ne parait pas crédible.Ce sont cependant les choses les plus étranges qui sont réellement vraies »
Regard sur un monde
Pouvoir absolu
mymatedave-winter-sun-in-trees
Dr Steven M.Greer, auteur de Révélations, Vérités cachées Conaissances interdites, créateur du Disclosureproject :
«Supposons que vous ayez découvert l’existence d’un organisme transnational redevable envers aucun gouvernement, mais ayant infiltré les plus importants qui, par des actions criminelles et un comportement impitoyable (y compris l’assassinat) se serait attribué le contrôle illégal des technologies les plus puissantes jamais découvertes, y compris le voyage dans l’espace,des technologies qui pourraient supprimer le besoin en combustibles, fossiles, préserver l’environnement, mettre fin à la pauvreté dans le monde,et que cet organisme n’ait pas le moindre souci des lois,de la démocratie,de la liberté et du bien-être des peuples ni de l’avenir de la planète :qu’auriez-vous fait ?...Parce que si vous aviez su et que telle eu été votre réaction,vous auriez fini comme John Kennedy,ou Lord Mountbatten,qui a sauté sur une prétendue bombe de l’IRA,qui était en fait posé par cet organisme.Ou vous auriez subi le sort de Marilyn Monroe,de Mary Meyer et de toutes ces personnes qui n’ont pas voulu rentrer dans la combine d’un certain secret.Et malheureusement aussi comme certains membres de mon propre groupe, comme l’ancien directeur de la CIA,Bill Colby…

Au début des années 60, Ben Rich,ancien directeur de Lockheed Skunk Works,aujourd’hui décédé, déclarait que nous avions désormais les moyens de voyager dans les étoiles. Sous l’administration Eisenhower,ces projets commencèrent à échapper à toute légalité et conformité constitutionnelle, l’on perdit tout contrôle sur eux. Ainsi qu’en témoigne le brigadier général Lovekin (retraité) : «Eisenhower a été poignardé dans le dos par le gouvernement de l’ombre, il se rendit compte que,selon ses propres termes « c’était très préoccupant  et la suite lui a donné raison ».Comme me le confirma Catherine Austin Fitts,ancienne aide-secrétaire de l’Habitat et du Développement urbain sous l’administration Bush père,les projets « noirs » sont alimentés par d’énormes quantités d’argent soutirées clandestinement de toutes les agences sous couvert de programmes bidon. Lorsqu’elle en fit la découverte,elle fut écartée et on essaya même de la ruiner financièrement et professionnellement…Le groupe planificateur,celui qui contrôle tout cela représente entre 200 et 300 personnes et il est transnational. Les États-Unis ne sont pas le seul axe de cette activité. Le groupe a des antennes importantes en Chine,en Amérique latine,en Europe,en Russie,dans diverses institutions. Les frontières n’ont rien à y voir et les enjeux nationaux sont sans importance.Il ne s’agit même pas d’un gouvernement dans le sens où vous et moi l’entendons, cela se situe dans le domaine des entreprises, de la finance, des intérêts transnationaux et religieux. Si l’on veut désigner l’entité isolée la plus puissante au sein de ce groupe,ce serait l’empire mormon.

La hiérarchie mormone possède des holdings et des sociétés énormes impliquées dans ces programmes secrets, mais les membres ordinaires sont soigneusement tenus dans l’ignorance.Je dis toujours aux gens : « la CIA ? Ce sont des enfants de choeur ».Ceux qu’il faut craindre, ce sont les hommes de main sous contrat de Lockheed ou E- Systems, ou ceux que le groupe recrute parmi les Devil’s Disciples, branche des Hell’s Angels qui pratiquent couramment, de génération en génération la torture, les sacrifices humains...Sur le plan de l’information complète et de l’autorité opérationnelle, cela n’a rien à voir avec le président des États-Unis, ni avec le Congrès. Je tiens d’un cadre de E-Systems que cette firme est largement engagée dans ces affaires, mais il a ajouté : «Très peu d’employés de la firme sont au courant de cela.»  Les fonds qui parviennent à ces sociétés proviennent de plusieurs agences passent par des commandes globales et aboutissent dans des projets noirs ultra-secrets. Des entités industrielles, institutionnelles, financières et religieuses forment une structure qui ne fonctionne selon aucune loi ou constitution, ni des États-Unis, ni d’aucun autre pays .au sein de cet univers de l’ombre,des éléments dissidents se détachent qui conservent des liens obscurs avec le groupe principal, mais agissent indépendamment et parfois en désaccord avec ce dernier.