Les acteurs du complot mondial
Auteur: C.R.O.M.
Extrait d’une conférence donnée au printemps 2005
Y a-t-il pas un espoir de redressement de la civilisation terrestre ?
Pourquoi le cycle de décadence s’infléchirait-il ? Si vous sortez
vous promener dans la campagne, observez bien le paysage. De jour en
jour, on constate que ceux qui s’intitulent humains coupent les arbres
autour d’eux, dans leurs jardins - et souvent les plus beaux individus
du règne végétal - comme obéissant à un signal collectif de destruction.
Ils ne font qu’obéir à une impulsion. Ils vous affirment avec un aplomb
diabolique que l’arbre qui était là depuis des dizaines d’années,
subitement, fait trop d’ombre à la maison, ses branches menacent de
tomber sur le toit, ses feuilles mortes encombrent la gouttière, ou bien
tombent dans la piscine, etc. Sur le bord des routes, c’est pour la
sécurité, et dans les forêts, c’est pour le profit.
En rentrant chez elle, une dame voit avec ahurissement que son mari a
abattu le grand saule devant leur maison, comme s’il avait été pris
d’une envie de meurtre. Il ne pouvait trouver une raison justifiant son
acte. Ce sont là des gens qui aiment leur jardin et qui sont pour la
protection de l’environnement. Le destructeur de la nature est partout à
l’œuvre, acharné avec sa tronçonneuse, qui, une fois en marche, dévore
tout sur son passage. Plusieurs hectares sont rasés chaque minute.
Faites le calcul pour une année.
De quelle amélioration du monde parlez-vous ? Croyez-vous que les
bureaucrates des forêts éprouvent votre compassion pour la nature ?
Allez-vous les convaincre de l’utilité de protéger le peuple des gnomes,
les ondines et les sylphes ? Allez-vous leur tirer une larme sur la
disparition des papillons ? Vous risquerez-vous à leur expliquer qu’un
papillon est un être spirituel qui danse dans l’extase de ses couleurs,
illuminant ainsi la dimension subtile autour de la terre ? Irez-vous
vous faire ridiculiser aux réunions écologiques avec votre magie de la
nature et la fonction spirituelle des papillons ? Plusieurs hectares de
forêts sont détruits chaque minute sur la terre. Faites le calcul.
Quand l’Inde n’aura plus un seul fagot pour brûler ses morts de
manière rituelle, ce sont les forêts vierges d’Asie ou d’Amérique du sud
qui partiront en sacrifice d’agréable odeur aux naseaux de Shiva.
Partout le béton avance. Avant de construire une maison, aujourd’hui
on rase toute la végétation alentour. C’est une tendance générale qui
est inspirée à l’homme par un certain type de démons du matérialisme que
Rudolf Steiner a nommé « ahrimaniens » en référence à Ahriman, le démon
de la désertification dans la mythologie perse. Ces démons de la
matière jubilent lorsque les arbres tombent, car l’arbre constitue un
ancrage spirituel pour l’être humain. Les arbres ont été longtemps un
rempart pour l’humanité car ils sont une émanation de l’âme collective.
La nature entière est une extériorisation de la vie intérieure. On
assiste donc à un mouvement de retrait des espèces en voie d’extinction.
En perdant son environnement végétal, l’homme perd aussi sa conscience.
Par exemple, on sait que les gnomes qui travaillent dans les racines,
nous procurent un esprit de vigilance et stimulent l’éveil intérieur. Eh
oui, le gourou de l’éveil n’est pas dans l’Himalaya, il est dans votre
jardin !
S’il existe une stratégie démoniaque pour affaiblir l’être humain
et le robotiser, et si le résultat ultime est la destruction de la
planète, quelle est la finalité de ce plan ? Que leur restera-t-il
lorsque la terre sera devenue un désert ?
Il ne faut pas se tromper d’adversaire. Les autorités terrestres ne
sont que les représentants des hiérarchies occultes qui vivent sur
d’autres dimensions, comme par exemple les entités spirituelles de Mars
qui, toujours selon Steiner, auraient débarquées en masse sur les
couches subtiles de notre planète – et jusque dans notre subconscient –
depuis le 19ème siècle.
Voyez l’état physique de leur planète, Mars. Les entités de cette
zone ne vivent pas dans un environnement biologique comme le nôtre.
Elles peuvent désirer posséder des corps organiques comme on utilise une
voiture, mais leur monde est différent. Pour mieux s’infiltrer dans nos
corps, ces esprits détruisent d’abord notre environnement naturel
protecteur. Ils ont hypertrophié le mental analytique pour établir la
civilisation matérialiste qui a envahi la Terre depuis deux siècles. Ce
sont des créatures mentales hyper intelligentes dont les savants
matérialistes, les techniciens et les mathématiciens sont les médiums
inconscients. La science et la technologie servent leur plan de
conquête. La nature organique n’a aucune utilité pour eux, et au
contraire, elle doit être rasée comme un virus détruit la barrière
immunitaire pour s’installer dans l’organisme.
Ces « martiens » sont les esprits serpents qui sont à l’origine du
mythe de la chute de l’homme hors de l’Eden. C’est à partir de la sphère
spirituelle de Mars que l’attaque a commencé. L’homme terrestre
adamique a transité par la dimension de Mars (au plan spirituel), avant
sa déportation sur la Terre. Le nom ADM (
Adam, DAM signifiant «
sang » en hébreux) est le même que M-ADM (nom ésotérique de Mars, la
planète rouge). Le sang rouge est polarisé par le fer de mars. Nous
sommes des cousins de ces envahisseurs spirituels. Notre sang est un
élixir qui doit leur procurer une énergie vitale directement
assimilable. C’est pourquoi, mus par leur farouche instinct guerrier,
ils ont envahi notre sphère psychique, d’abord en s’introduisant dans le
subconscient humain, puis en mettant en place la civilisation
matérialiste scientifique. Enfin, ils prendront possession des corps en
expulsant l’individualité humaine qu’ils ne peuvent pas anéantir, mais
seulement domestiquer et robotiser.
N’y a-t-il pas une résistance instinctive de la part des castes
dirigeantes qui prospéraient dans l’ancien système en s’appuyant sur la
religion et non sur le matérialisme ?
Les esprits de Mars les ont d’abord réduit à l’impuissance. Ils ont
attaqué les élites aristocratiques qui maintenaient le peuple dans un
enracinement traditionnel. Le premier acte fut de prendre le contrôle
des religions, puis des trônes, et enfin des masses. C’est un puissant
génie de Mars, incarné dans le médium Ignace de Loyola – fondateur de
l’Ordre des Jésuites – qui a lancé cette opération gigantesque.
Ayant pris possession de l’Église catholique, les envahisseurs
jésuites se répandirent sur toute la Terre, infiltrant les palais et les
temples. Puis ils lancèrent l’assaut révolutionnaire, d’abord en
France, grâce à l’argent de leurs alliés incarnés dans les banquiers
juifs qui constituent la nouvelle aristocratie planétaire.
Au final, les démons de Mars élimineront les argentiers juifs
lorsqu’ils pourront se passer de leurs loyaux services. Le complot juif
international n’est pas qu’un mythe, mais il ne fonctionne pas comme les
antisémites l’imaginent. Les maîtres du jeu exploitent le messianisme
judaïque pour canaliser les juifs dans leur rêve atavique de domination
sur la Terre promise. Les juifs amusent la galerie dans les médias et la
société du spectacle, mais la haute politique leur demeure fermée.
Quoiqu’il en soit, il y a une alliance entre les lobbies occultes
pour établir l’Ordre Mondial. Après, ils recommenceront à se combattre
pour la suprématie sur les dimensions invisibles. Tout cela est
finalement réjouissant. Les titans se détruiront les uns les autres dans
le
Ragnarök final.
À propos du complot jésuite, certains spécialistes de la
conspiration prennent cela plutôt à la légère. On ne voit pas comment un
ordre ecclésiastique pourrait dominer le monde et tenir l’égrégore
judaïque et les puissants Rothschild sous contrôle ?
Il ne faut pas juger selon les apparences. Ceux qui analysent la
situation planétaire d’après les effets visibles et médiatiques de la
politique mondiale sont des ignorants. La logique ordinaire est
incapable de remonter jusqu’aux causes. Il faut une conscience
ésotérique affinée. Il faut connaître la structure du monde invisible où
se tiennent les hauts conseils décisionnels des maîtres de la Terre. Il
faut également connaître l’histoire occulte du monde.
Les « reptilomaniaques » à la suite de David Icke qui font remonter
le début de l’invasion à Sumer, semblent ignorer que plusieurs
civilisations archaïques ont précédé cette époque. Chaque civilisation a
généré des hiérarchies d’entités rétrogrades qui parasitent la sphère
invisible de l’au-delà. Leurs égrégores se partagent le pouvoir. Il
existe trois centres de pouvoir principaux, en correspondance avec les
trois centres énergétiques intérieurs de l’homme desquels ces égrégores
extraient leur alimentation spirituelle. Tant qu’on ne comprend pas ce
système de vampirisation énergétique de l’humain à partir des plans
invisibles, on ne comprend rien à la politique. La politique mondiale ne
s’explique que pour ces raisons énergétiques et par la guerre
spirituelle entre les lobbies vampiriques. De haut en bas de la grande
Babylone visible et invisible, il règne une exploitation des ressources
énergétiques et principalement de la précieuse essence extraite de l’âme
humaine. Cette essence spéciale permet aux égrégores invisibles de se
maintenir anormalement dans l’au-delà grâce aux relais des centrales
d’alimentation énergétique qui pompent l’émotion et la pensée collective
de l’humanité. Jadis, les religions magiques, et aujourd’hui la
religion cathodique et médiatique. Tant qu’un amateur de conspiration ne
peut admettre ce processus, il ne comprend rien à la politique.
L’énigme des Jésuites, c’est-à-dire l’influence démesurée d’un
groupe ecclésiastique discret et numériquement faible, qu’on croit
occupés à des bondieuseries, est trop profonde pour être comprise par
des quidams.
Ignace de Loyola raconte dans ses mémoires qu’il a été investi par
un serpent lumineux qui « lui donnait beaucoup de consolation car cette
forme était extrêmement belle, et avait toutes sortes de choses qui
brillaient comme des yeux ». C’est lui qui l’avoue par le truchement de
ses biographes officiels. Ce n’est pas une rumeur de conspirationiste
halluciné (voir le
Testament d’Ignace de Loyola raconté par lui-même du père Louis Gonzalés de Camara, chapitre III).
Par clairvoyance, Steiner a identifié cet esprit serpent comme étant
un « puissant génie de Mars » ayant pris possession d’Ignace de Loyola
(voir Rudolf Steiner,
Le Karma, tome VI). Un indice allant dans
cette direction : avant de se lancer à la conquête de Rome, Ignace
initia ses premiers disciples à Paris dans une grotte de Montmartre – la
montagne de Mars. Quant à Teilhard de Chardin, un des Jésuites les plus
influents de l’histoire, il dit avoir érigé dans son enfance un autel à
« son dieu du fer. »
On peut se demander pourquoi les biographes officielles ne
dissimulent pas ces détails scabreux qui semble avoir échappé depuis
quatre siècles aux pires ennemis de la Compagnie de Jésus ? En tout cas,
une fois installé à Rome, et ses premiers disciples lancés à la
conquête de l’Asie, Ignace déclara à un diplomate français que « sans
avoir besoin de quitter son bureau, il contrôlait le monde. »
Comment les Jésuites ont-ils pu s’installer en Inde, au Japon, en
Chine et dans tous les pays d’Orient où les missionnaires chrétiens
n’étaient pas les bienvenus ?
La Compagnie de Jésus a étendu sa toile sur un réseau international déjà existant.
Quel était ce réseau mondial capable de se croiser avec les
Jésuites? Ce sont les juifs de la diaspora internationale, installés
dans les pays d’Asie depuis plusieurs générations. Ignace était un
Marrane d’une famille juive convertie au christianisme et son secrétaire
le père Lainez était juif de naissance. On suppose que les
recommandations des rabbins d’Occident auprès des communautés juives
d’Orient ont favorisé le contact et la collaboration.
Le commerce et les opérations bancaires ont été le vecteur de
pénétration dans tous les pays du monde, d’abord pour la diaspora juive,
et ensuite pour leurs cousins jésuites qui ont profité de ces relations
d’affaires pour s’enrichir dans le commerce international – denrées
rares et esclaves – mais également par le pillage des trésors des Incas
et des Mayas.
La relation entre le judaïsme et la Compagnie de Jésus est pleine
d’ambiguïtés. C’est une sorte d’union contre nature entre Israël et le
Vatican, avec l’antisémitisme comme une épée de Damoclès sur la tête des
juifs. Quel est ce grand secret politique ?
Nous savons, si nous exerçons notre perspicacité, que la politique
occulte est un jeu entre trois pouvoirs au plan cosmique : la classe
possédante (les élites politiques), les hiérarchies sacerdotales (les
religions) et le pouvoir passif des masses qui est une force d’inertie
considérable. Les deux castes dirigeantes disposent du pouvoir temporel
et du pouvoir spirituel par lesquels elles contrôlent les masses.
L’humanité en tant que troisième force, sert de réservoir énergétique
aux deux castes dominantes. L’humanité est la pile qui alimente les
égrégores sacerdotaux de l’au-delà, et elle fournit la richesse
matérielle des classes possédantes ici-bas. La caste des grands prêtres
de l’invisible organise l’activité religieuse et magique, tandis que la
caste politique dynamise l’activité industrielle et économique.
Or, depuis plusieurs siècles, la banque internationale impose sa loi
à la religion et aux élites politiques. Le pouvoir est l’otage de la
finance. L’argent est devenu l’enjeu de la politique. La finance
internationale contrôle le jeu, mais il semble qu’un pouvoir politique
supérieur la manipule. L’ordre occulte des Jésuites agit sur les hauts
grades maçonniques, et influence ainsi la société civile. Il y a donc un
équilibre pour préserver les intérêts des trois titans du monde. Ils se
déchirent, mais doivent respecter un statu quo pour maintenir la
cohérence de l’empire mondial. Comment concilier les appétits voraces
des démons du matérialisme avec les intérêts supérieurs des hiérarchies
sacerdotales qui règnent sur la dimension astrale ? C’est la grande
question de la politique mondiale.
L’Ordre Mondial est donc fondé sur un contrat entre les trois
titans. Aux masses humaines, on donnera une société socialiste, couverte
par une élite défendant ses privilèges matériels, et l’ensemble sera
coiffé par un régime théocratique représenté par une religion mondiale,
chargée de transférer l’énergie vers les formations astrales de
l’invisible. Si les titans ne parviennent pas à s’entendre durablement,
chacun voulant une plus grosse part du gateau, ce sera la guerre totale,
symbolisé par l’effondrement de la Grande Babylone. Nous en sommes
encore loin, et il faut donc espérer que les processus de la crise vont
s’accélérer plutôt que de vouloir les ralentir par des jérémiades
idéalistes et pacifistes pour un soi disant « monde meilleur. »
Dans ce jeu, le puissant ordre politico-occulte jésuite – dont la
Compagnie de Jésus n’est qu’un masque – a pour mission de s’emparer du
pouvoir mondial au profit de la caste sacerdotale afin de prolonger le
règne des grands prêtres de l’invisible, menacé depuis que l’athéisme
s’est répandu sur la Terre. Toutefois, l’Ordre Jésuite, tout en
défendant l’ordre sacerdotal ancien, doit s’opposer à un renouvellement
spirituel propre à l’entrée dans l’ère du Verseau. C’est pourquoi le
jésuitisme collabore avec la science matérialiste pour maintenir le
dogme d’un univers matériel créé par Dieu.
C’est le dogme catholique romain.
Les Jésuites sont particulièrement jaloux de leur monopole sur les
secteurs de l’astronomie, la cartographie sous-marine, la paléontologie,
l’archéologie, etc. Ils s’opposent à toute révélation spirituelle qui
réduirait à néant la vision matérielle de l’univers.
Vous savez pourquoi ? Parce qu’ils envisagent d’organiser le système
solaire d’une manière rationnelle et technocratique, pour mieux s’en
assurer un contrôle bureaucratique.
On reconnaît ici la puissante volonté guerrière du génie de Mars qui
inspira Ignace : réduire le système solaire à une forme de socialisme
théocratique.
Qu’avons-nous à voir dans cette histoire ?
Ceux qui désirent une libération n’ont qu’une chose à faire : tourner radicalement le dos à ce monde étranger.
Par sentimentalité, de nombreux idéalistes se sont identifiés à la
masse sans voir qu’ils se livrent ainsi inconsciemment au jeu des titans
du monde. Prendre parti, c’est abdiquer. Il faut sortir du jeu.
L’examen sérieux de la politique occulte ne peut que convaincre un
être intelligent de la nécessité de se dégager définitivement du circuit
terrestre – le camp de la mort.
Lorsque de nombreux êtres auront emprunté cette voie, les
contrôleurs occultes, dévitalisés par manque d’énergie, se dissoudront
pour toujours. C’est pourquoi ils résistent et mènent un combat
impitoyable contre les transfuges qui s’organisent pour s’échapper de la
zone de l’internement planétaire.
Pour revenir au point de départ, nous comprenons pourquoi la culture
humaine avec sa philosophie, sa religion et sa science, constitue un
système de lavage de cerveau. On veut empêcher que les êtres incarnés
découvrent que la porte de leur cage est grande ouverte.
Cette porte, c’est celle du cœur. C’est le désir de liberté absolue.
Celui qui la cherche sincèrement la trouve nécessairement.
vu ici