L'analyse de 191 éruptions solaires depuis mai 2010 par l'Observatoire solaire de dynamique de la NASA (Odd) a récemment montré une nouvelle pièce du puzzle:
Environ 15 p. 100 des éruptions ont une éjection de masse coronale tardive soit de quelques minutes à quelques heures après, ce qui n'a jamais été pleinement pris en compte.
Cette phase tardive de la torche absorbe beaucoup plus d'énergie au sortir de l'espace que précédemment réalisé.
« Nous commençons à voir toutes sortes de nouvelles choses, », explique Phil Chamberlin, adjoint scientifique du projet pour SDO au Goddard Space Flight Center de la NASA MD.
"Nous voyons une forte augmentation des émissions une demi-heure à plusieurs heures plus tard, c'est parfois même plus important que les phases originales, traditionnelles de l'éruption.
Dans un cas sur 3 en novembre 2010, en mesurant seulement les effets des éruptions principales, la quantité d'énergie pénétrant l'atmosphère terrestre a été sous-estimée de 70 %. »
Traduction libre David Jarry ©2011 "2012 un nouveau paradigme"
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