Une menace pour le climat et l’environnement
vibratoire de la planète HAARP, une arme de destruction massive qui fait partie
du programme militaire américain « Joint Vision 2020 » constitue une menace
pour les interactions subtiles entre les écosystèmes de la Terre et
l’ionosphère.
Résonance de Schumann (Fréquences RS) et
biocommunications La résonance de Schumann (RS) constitue peut-être le support
d’un processus de perception extrasensorielle (PES) de type radar pour tous les
êtres vivants. Des fréquences quelconques peuvent être absorbées et réémises
par tout objet selon des schémas d’interférences spécifiques. Ces « ondes
résonnantes » peuvent être modulées intentionnellement en fréquence ou en forme
dans le but de transmettre certaines informations (schémas d’interférence).
Le programme américain HAARP
Décodées par le cerveau, elles reviennent presque
instantanément sur le « dos » de la résonance de Schumann et sont alors
traduites par le cerveau en données conscientes. En outre, la bio information
peut être inscrite intentionnellement à distance sur une cible par une
interface sensorielle primitive de type radar sur une onde porteuse RS. Tout
cela et d’autres mécanismes sont tributaires du fait que les fréquences RS
demeurent dans leur gamme médiane.
A Sedona, en Arizona, Ben Lonetree
(http://sidereal7.org), un ingénieur électricien, observe de manière intensive
les fréquences RS, qu’il nomme la « Voix de la Planète », ainsi que le champ
magnétique terrestre. Son site Internet livre des relevés atmosphériques et
géophysiques en temps réel très fiable. Il a une grande expérience de la
technologie IRM (Imagerie par Résonance magnétique) et des ondes cérébrales. Il
est spécialiste en mesures ELF (très basses fréquences) et en ULF (ultras
basses fréquences).
Rythme et chaos dans l’ionosphère
Le rythme de la vie a évolué de façon continue au
fil des ères. Nous vivons dans une matrice complexe de champs oscillants. La
moindre fluctuation dans un champ imbriqué provoque des perturbations dans les
autres. Des impulsions voyagent tout autour du monde plusieurs fois par seconde
entre la surface de la planète et l’ionosphère, envoyant des signaux de
coordination à tous les organismes. Ces signaux nous relient au champ
électromagnétique global. Du nom de son inventeur, la Résonance de Schumann
(RS) est le pouls qui bât la mesure de la vie sur notre planète. Tout comme le
battant d’une cloche, les coups de foudre réactivent constamment cette onde
stationnaire.
Nous marchons tous à la "cadence de ce tambour
cosmique, notre battement de cœur planétaire, qui fixe le tempo de la santé et
du bien-être. Endommager ce stimulateur équivaudrait à sonner le glas de la vie
telle que nous la connaissons. Or aujourd’hui, sous prétexte de progrès et de
défense, ce stimulateur est menacé et de monstrueuses quantités d’argent public
sont dépensées pour cette exploitation de l’atmosphère. Des taxes toujours
croissantes sont prévues pour financer jusqu’en 2020 cette défense antimissile
aberrante, la "guerre des Etoiles", et le faisceau d’énergie HAARP
(High-frequency Active Auroral Research Program) qui est déjà opérationnel à
Gakona en Alaska.
Le rythme vibratoire de notre environnement, le
moteur fondamental de toute vie sur notre petite planète bleue, est menacé par
les manipulations humaines de l’ionosphère telle la technologie du programme
HAARP. Certains scientifiques sont allés jusqu’à déclarer que la haute
atmosphère était "vivante", transmettant une sorte de conscience à
tous les êtres vivants. Ainsi que l’ont montré les atteintes à la couche
d’ozone et d’autres calamités écologiques, il est dangereux de tripoter Mère
Nature. Toucher ce système pourrait le détruire, et nous avec. Il semble
évident que les avantages présumés ne justifient pas la prise de tels risques
pour notre survie, mais pratiquement aucune recherche sérieuse n’a été menée
dans les domaines où des problèmes pourraient se poser.
Il s’avère qu’une partie de l’argent alloué au
projet de Guerre des Etoiles de Bush sera utilisée pour de la recherche sur des
lasers en orbite... Ce que craignent les Russes... ce sont les intentions
américaines de mener, en 2003, des expériences scientifiques à grande échelle
avec le programme HAARP basé en Alaska. Quatre-vingt-dix députés russes ont
signé une motion contre le programme HAARP, déclarant que ces expériences
déboucheraient sur des armes capables de rompre les communications radio et les
équipements des vaisseaux spatiaux et des fusées, de provoquer de graves
accidents dans les réseaux électriques et dans les oléo- et gazoducs et d’avoir
des effets négatifs sur la santé mentale des populations de régions entières.
(Fitrakis, 2002).
L’ionosphère nous protège des radiations mortelles
du Soleil et de l’espace. Et maintenant, avec des ondes radio à haute fréquence
on perce des trous dans cette couverture protectrice, prenant le risque de
déchirer accidentellement le cocon fragile de l’évolution planétaire et
humaine. Les conséquences pourraient être aussi dévastatrices que la panne d’un
stimulateur cardiaque individuel. Les forces du chaos pourraient se déchaîner,
provoquant des dégâts irréversibles. La Strategic Defense Initiative (SDI)
place cette technologie de modification de l’environnement entre les mains du
commandement militaire, une perspective bien inquiétante. Comme ils bénéficient
d’un mandat pour la sécurité nationale, nous ne savons pas exactement ce qu’ils
en font et le pire est à craindre. Espérons que cela sera révélé avant qu’il ne
soit trop tard pour tout le monde.
Perturbations touchant le climat terrestre
Pour comprendre le fragile équilibre de notre planète,
il faut voir notre région de l’espace du point de vue astrophysique. Il
apparaît alors que la moindre perturbation de notre atmosphère peut provoquer
des ruptures dramatiques dans le cours de notre destinée géophysique. Des
forces nombreuses et complexes affectent déjà la Terre et en particulier le
schéma climatique mondial. À grande échelle, il existe une menace d’ère
glaciaire galactique à cause des supernovas, dont les rayons cosmiques génèrent
des nuages lorsqu’ils touchent l’atmosphère, la refroidissant. En outre, le
système solaire traverse la partie la plus dense de la Galaxie de la Voie lactée
sur un cycle approximatif de 30 millions d’années.
Ce nuage moléculaire dense et les fluctuations des
"marées" galactiques de matière lointaine peuvent déstabiliser des
comètes dans le nuage d’Oort et les précipiter vers les planètes et le Soleil.
Les pluies de petites comètes, appelées "rafales d’impacts" agissent,
au fil des millénaires, sur les mouvements des couches de glace et provoquent
des extinctions massives. Elles affectent aussi le thermosiphon océanique
(apport excessif d’eau douce) qui fonctionne comme un convoyeur océanique
global. [cf. Nexus France n° 26, mai-juin 2003 : Réchauffement climatique et
Glaciation].
Cette pompe à sel déplace l’eau chaude vers les
zones froides du nord, telles que la côte est des États-Unis et l’Europe, et
les rend habitables tandis qu’elle rafraîchit les tropiques. Son effondrement
aurait pour conséquence l’arrêt de la circulation des eaux chaudes salées du
Gulf Stream vers le nord, ouvrant une nouvelle ère glaciaire. Le moteur de
l’évolution n’est pas la sélection naturelle, mais le climat et la glace. Au
cours des 2,5 derniers millions d’années, les masses de glace ont migré 30 fois
depuis la formation de l’isthme de Panama, lequel a bloqué la circulation
tropicale entre le Pacifique et l’Atlantique. Ainsi l’eau chaude a été déviée
vers le nord, où elle est retombée en neige et a formé les glaciers. Les
glaciers avancent ou régressent en fonction des oscillations de la Terre.
Les sécheresses engendrées par ces cycles
glaciaires ont fait régresser les forêts tropicales humides, laissant des
savanes, et nos ancêtres ont quitté les forêts, développant leur intelligence
pour survivre et devenir les humains modernes. L’intelligence et le pouvoir
d’adaptation sont devenus nos caractéristiques parce que nous avons dû survivre
dans des climats instables. Mille générations seulement sont passées depuis la
dernière ère glaciaire en Europe, alors que la population était incroyablement
réduite à cause de la rigueur du climat.
Toutes les recherches montrent que le système
climatique terrestre comporte des seuils sensibles qui, lorsqu’ils sont
franchis, font basculer le système d’un mode de fonctionnement stable à un
autre. Comme on l’a vu avec El Nino, les systèmes océaniques contrôlent les
climats des continents. C’est aussi ce que révèlent les sédiments des fonds
marins, les couches de glace dans les carottages et le recueil des fossiles.
Tous indiquent que le convecteur océanique s’est déjà arrêté dans le passé. On
a dit que c’était le talon d’Achille de notre système climatique. D’après les
chercheurs, la pompe est en ralentissement et pourrait donner le signal d’un
changement brusque et catastrophique.[cf. Nexus France n° 26, idem]. Une étude
parue dans Nature en 2002 indique que les courants marins des profondeurs
refroidis à 20 %, ce qui n’est pas bon signe. La fonte et la fragmentation des
glaciers pourraient accélérer le processus.
L’examen des fossiles prouve qu’un effondrement
peut se produire en l’espace d’une décennie et se maintenir pendant des
siècles. Cette nouvelle notion de modification climatique rapide est
aujourd’hui universellement reconnue. De tels déclenchements peuvent engendrer
des variations d’environ 10°C en une décennie, suivies d’une stabilisation sur
une vingtaine d’années, puis d’un refroidissement d’environ 20°C au cours des
vingt années suivantes.
Les variations ont été moins violentes au cours des
derniers 8000 à 10000 ans, mais l’instabilité solaire, l’inclinaison de l’axe
et le ralentissement des courants pourraient en précipiter le retour. Il en est
de même des manipulations humaines du climat par la technologie et les armes à
rayons énergétiques.
Une hausse de la température de 3 à 4°C seulement
pourrait déclencher une élévation du niveau des mers de l’ordre de 20 m en dix
ans ! La poursuite du réchauffement et de la fonte des glaces créerait un cycle
où les températures connaîtraient des écarts de 8 à 10°C en 30 ans. Ensuite les
courants océaniques se déplaceraient et de nouveaux rythmes chauds/froids
s’installeraient. De nouvelles mers de faible profondeur réduiraient les terres
émergées. Les plaines agricoles seraient noyées, entraînant une diminution des
ressources alimentaires. Environ 30 à 40% des terres seraient perdus et
l’humanité serait chassée des vallées inondées sur tous les continents. Le
commerce et l’industrie seraient noyés. En 2003, l’EPA [ministère AMÉRICAIN de
l’Environnement] prédisait une hausse de 1,7 à 5°C au cours des cent prochaines
années. Les mers tropicales se sont réchauffées de 1 à 1,44°C au cours des cent
dernières années et les glaciers fondent en de nombreux endroits de la Terre.
La recherche indique aussi que le Soleil lui-même
est dans un cycle de réchauffement et pourrait être un facteur significatif du
réchauffement de la planète (0,55°C par an depuis 1880). Les premiers résultats
semblent montrer que le Soleil émet 0,05% de radiations en plus par décade
depuis 1970. Cette augmentation estimée de l’émission solaire implique que des
vents solaires plus puissants balayent la haute atmosphère terrestre,
provoquant son excitation et son ionisation par des particules chargées.
On peut attribuer au Soleil environ la moitié du
réchauffement global de ce dernier siècle. Plus il chauffe, plus il dévie les
rayons cosmiques. Si cela persiste pendant des décennies, des fluctuations
climatiques spectaculaires pourraient s’en suivre, ainsi que cela s’est produit
pendant la "Petite Ère glaciaire" entre le XIIe et le très froid
XVIIe siècle.
L’émission d’énergie par le Soleil varie selon un
cycle de 11 ans et a connu deux pointes en 2000 et 2002. Le minimum aura sans
doute lieu dans trois ans (la période du minimum solaire n’est pas
nécessairement égale à celle du maximum). Ces changements du cycle solaire
produisent sur Terre des changements à court terme. Au-dessus des É.-U., une
augmentation de la couverture nuageuse allant jusqu’à 2% a été observée au
moment du maximum solaire. La température de la haute atmosphère est deux fois
plus élevée lorsqu’elle est bombardée par un maximum d’émission solaire. Durant
ces périodes, l’atmosphère se dilate et s’étend dans l’espace jusqu’à atteindre
et dépasser l’orbite de la Station Spatiale Internationale. Cela va jusqu’à
augmenter la traînée de la station et nécessite de fréquents ajustements
d’orbite utilisant la poussée des navettes.
Il est récemment devenu possible de mesurer
l’activité solaire plus facilement et avec plus de précision en dehors de notre
atmosphère. Nous pouvons maintenant mesurer l’énergie solaire totale à toutes
longueurs d’onde et en déduire une résultante appelée Total Solar Irradiance
(TSI) [éclairement énergétique total de rayonnement solaire]. Il y a un débat
sur la question de savoir si les indications d’augmentations actuelles
constituent une tendance à long terme ou une aberration passagère.
Dans une étude récente, les données de six
satellites en orbite terrestre à diverses périodes durant 24 années ont été
analysées. Richard Willson, un chercheur de la Columbia University qui est affiliée
à la National Academy of Sciences et à la Goddard Institute for Space Studies,
a déniché, dans une série de données, des erreurs qui ont empêché que des
études précédentes fassent apparaître la tendance. La nouvelle étude montre que
le TSI a augmenté d’environ 0,1 % en 24 ans. Cela n’est pas suffisant pour
provoquer des changements climatiques significatifs, affirment Willson et ses associés,
sauf si ce taux de changement était maintenu pendant un siècle ou davantage.
Sur des laps de temps aussi courts que quelques jours, le TSI peut varier de
0,2 % à cause du nombre et de la taille des taches qui traversent la surface du
disque solaire. (Britt, 2003). Cependant les chercheurs estiment que cette
variation, dont on dit qu’elle ne peut influencer le climat, est égale à la
quantité totale d’énergie utilisée globalement pendant un an par l’humanité.
Manipuler l’ionosphère
Perturber davantage, voire, percer des trous dans
l’ionosphère surchauffée peut provoquer des bouleversements météorologiques
catastrophiques. Il y a un risque potentiel que ceux-ci soient déclenchés par
les militaires, sous le couvert de la SDI, pour déstabiliser des régions
entières par des perturbations climatiques sans même avoir recours à la guerre
conventionnelle. Mettre en oeuvre cette arme dans des buts économiques et
stratégiques pourrait provoquer l’effondrement des systèmes écologiques et
perturber gravement la production agricole. Bien entendu, le Département de la
Défense a déjà mis en place le renseignement et des dispositifs de surveillance
météorologique relatifs à ce programme.
Des spéculations récentes ont aussi tenté de faire
le rapprochement entre les mystérieuses chemtrails [Ndt : Traînées de
condensation apparemment chargées de produits chimiques et/ou toxiques ; cf.
Nexus France n° 4] et le développement de la technologie HAARP. Certains
pensent que le pouvoir réfléchissant de ces nuages (chemtrails) pourrait
influencer le réchauffement de l’atmosphère et la météo. Il semble que les
analyses des "cheveux d’ange" récoltés dans l’atmosphère après une
journée de diffusion contiennent certaines toxines. On a identifié des
bactéries virales, des moisissures toxiques, du noir de carbone et du dibromure
d’éthylène. Les questions posées au sujet de ces diffusions concernent aussi un
accroissement du pouvoir réfléchissant de certaines couches de l’atmosphère.
Ces épandages sont la cause d’une réduction massive de la production d’ions
négatifs par les forêts, ce qui pourrait être fatal à toute vie biologique.
En outre, la grande sécheresse qui a affecté de
vastes régions est soupçonnée avoir un rapport avec le sel de baryum, hautement
toxique et absorbant d’humidité jusqu’à sept fois son propre poids), qui a été
détectée en grandes quantités dans l’atmosphère tout de suite après les
chemtrails. Celles-ci pourraient donc être liées à HAARP et ses applications
potentielles au contrôle climatique.
C’est ARCO Petroleum qui détient les brevets de
cette technologie de Tesla. Il semble que le projet HAARP, il y a quelques
années, était financé par ARCO. De nombreux groupes de recherche rapportent que
nous sommes constamment inondés d’ELF (très basses fréquences), comme d’un
"brouillard" électronique. Les ELF peuvent s’avérer mortelles pour
toute vie biologique, car elles modifient les fréquences vibratoires naturelles
des êtres vivants, provoquant de graves dysfonctionnements, comme une pensée
irrationnelle, l’incapacité de se concentrer, la fatigue chronique et/ou la
mort.
Intervenir sur ce système dynamique à l’équilibre
délicat pourrait induire un effondrement catastrophique, comparable à une
avalanche. Les potentialités des "réchauffeurs d’ionosphère" sont
vraiment effrayantes. Nous n’avons pas idée ce qui peut résulter
d’interventions à long terme sur cet équilibre sensible de l’ionosphère et de
la température globale, tout cela étant lié au thermosiphon océanique mondial
dont la source est au large du Groenland. Le climat n’est donc t-il as déjà
suffisamment perturbé par l’activité humaine, faut-il encore aggraver le
problème en jouant avec ces faisceaux d’énergie ? Les Nations Unies organisent
la poursuite de débats sur les changements climatiques, les gaz à effets de
serre et les "armes non mortelles" qu’au moins les Américains et les
Russes pourraient mettre en oeuvre. La "guerre météorologique"
implique le déclenchement de perturbations atmosphériques à l’aide d’ondes radars
ELF. Par le biais de l’armement électronique, les US veulent "posséder le
temps" et les stations spatiales dans un souci d’établir leur domination
militaire, cela en remodelant les schémas naturels et en maîtrisant les
communications mondiales. De récentes informations scientifiques ont déterminé
que HAARP est maintenant entièrement opérationnel et possède la potentialité de
déclencheur des inondations, des sécheresses, des ouragans et des tremblements
de terre. D’un point de vue militaire, HAARP est une arme de destruction
massive. Potentiellement, c’est un instrument de conquête capable de
déstabiliser sélectivement l’agriculture et les systèmes écologiques de régions
entières. Même s’il n’est pas prouvé que cette redoutable technologie ait déjà
été utilisée, néanmoins faudrait-il que les Nations Unies considèrent les
conséquences d’une "guerre de l’environnement" parallèlement au débat
sur les séquelles climatiques des gaz à effets de serre... La Dre Rosalie
Bertell confirme que "les scientifiques militaires américains...
travaillent sur des systèmes météo en tant qu’armes potentielles. La méthode
consiste en une potentialisation des tempêtes et le détournement des courants
de vapeur dans l’atmosphère afin de provoquer des sécheresses ou des
inondations ciblées... " Un ancien officier militaire français, Marc
Filterman, esquisse divers types d’armes "non conventionnelles"
utilisant des radiofréquences. Il fait allusion à une "guerre du
temps", indiquant que les US et l’Union Soviétique avaient déjà
"maîtrisé le savoir-faire nécessaire pour déclencher de brusques
variations climatiques (ouragans, sécheresse) au début des années 1980".
(Chossudovsky, 2000).
Il existe des dispositifs plus modestes à Arecibo
au Puerto Rico, à Fairbanks en Alaska, à Tromso en Norvège, et dans les villes
de Moscou, Nizhny Novgorod et à Apatity en Russie, ainsi qu’à Kharkov en
Ukraine, et Dushhanbe au Tadzhikstan, et peut-être en Israël (en un lieu
inconnu).
HAARP a été présenté à l’opinion publique comme un
programme de recherche scientifique et académique. Cependant des documents
militaires américains semblent bien suggérer que son principal objectif soit
"d’exploiter l’ionosphère pour le compte du Ministère de la Défense".
Sans pour autant citer nommément le programme HAARP, une étude des US Air Force
signale l’utilisation de "modifications ionosphériques induites" en
tant que moyen de modifier les mécanismes climatiques et de brouiller les
radars et communications de l’ennemi. (Chossudovsky, 2000).
HAARP et le programme "Joint Vision 2020"
Cela fait une dizaine d’années qu’au niveau
international on se préoccupe de HAARP et de projets connexes mettant en oeuvre
des faisceaux d’énergies similaires. Les propositions et développements les
plus récents ne sont pas encourageants. La presse étrangère et les alliés
occidentaux des US ont dénoncé le plan de défense antimissile et de lasers
orbitaux "Joint Vision 2020" comme un pas extrêmement dangereux vers
la domination mondiale des É.-U.. Le Représentant des É.-U., Dennis Kucinich,
déclara lors de l’émission Columbia Alive que Joint Vision 2020 était déjà un
programme actif d’expériences sur les énergies dirigées. Le 9 novembre 2002,
Carol R. Schuster, Directeur de Defense Capabilities and Management au General
Accounting Office (GAO), informa les membres de la Democratic Minority de l’House
Armed Services Commitee au sujet de Joint Vision 2020. Schuster expliqua que ce
plan mettait aussi l’accent sur l’importance de l’expérimentation destinée à
cerner les innovations en matière de conflit armé.
Un détachement spécial des commandements AMÉRICAINS
interarmées du DoD (ministère de la Défense) et les Chefs d’État major
poursuivent leurs investigations et recherchent les moyens de déployer un
armement électronique capable de détruire n’importe quelle opposition dans le
monde, d’ici 2020. Schuster confirma les commentaires de Kucinich : En 1998, le
commandement interarmées AMÉRICAIN entreprit un programme conjoint
d’expérimentation de nouveaux concepts de guerre en soutien du plan Joint
Vision 2020.
HAARP est géré conjointement par l’US Navy et l’US
Air forcent et constituent un élément clef de la stratégie de Joint Vision
2020. Un plan de programmation, le HAARP Joint Service élaboré en février 1990
par le laboratoire de géophysique de l’Air force et le Navy’s Office of Naval
Research expose les applications militaires du plan. Ce document indique, entre
autres choses, que HAARP sera utilisé pour générer des ondes de très basses
fréquences pour la communication avec les sous-marins en plongée et
d’éventuelles applications de guerre météorologique, ainsi que dans des
tentatives de tirer parti des processus ionosphériques naturels en utilisant
l’ionosphère comme réflecteur d’un flux énergétique destiné à la surface
terrestre.
Expériences de rebond lunaire avec HAARP
Les Russes et certains alliés européens s’inquiètent
de ce que les expériences militaires AMÉRICAINES, qui consistent à concentrer
de fortes doses d’énergie à haute fréquence dans des buts militaires,
pourraient déclencher des séismes. En avril 1992, "Defense News"
rapporta que les US avaient utilisé une arme à pulsion électromagnétique durant
l’opération Tempête du Désert. (Fitrakis. 2002).
Le chercheur Guy Cramer fit entendre que le
dispositif HAARP pourrait être utilisé pour réfléchir des signaux mortels à
partir de l’ionosphère et aussi de la Lune vers des cibles à terre, provoquant
des explosions assez fortes pour rendre inutiles les armes nucléaires
tactiques. Le signal de 3000000.000 watts émis depuis l’Alaska peut rebondir
sur la Lune pour revenir sur pratiquement n’importe quel point de la planète,
en surface ou sous le sol, avec irradiation calorifique. Comme cela n’entraîne
aucune contamination, on peut ainsi détruire des cibles secrètement, en
attribuant les effets à des causes conventionnelles ou à l’action des Forces spéciales.
Le dispositif peut aussi être utilisé pour détecter les installations
souterraines par pénétration photographique ou radar de profondeur, autant que
pour l’usage conventionnel de radar transhorizon. Pour neutraliser ou pénétrer
une cible, la haute atmosphère est chauffée de manière à créer un réflecteur
virtuel pour le signal. Cramer suspecte que des expériences de rebond lunaire
ont été menées depuis 1998, en utilisant une technique pratiquée depuis 1950
par les radioamateurs. Un dispositif similaire installé au centre de
l’Australie permettrait d’atteindre des cibles inaccessibles depuis l’Alaska,
aussi bien dans les hautes que dans les basses fréquences.
Vers la fin de 1998 et au début de 1999, le groupe
ELFRAD a détecté une fréquence quotidienne de 9 à 95 hertz (pulsations/sec.).
La longueur d’onde de cette fréquence était d’environ 319877 km. La distance de
la Lune est assez proche de ce chiffre. Le signal semblait être cohérent, émis
à partir d’une source inconnue environ à la même heure tous les jours, sauf les
week-ends. Le signal était assez puissant pour générer sa troisième harmonique
de 2,81235 Hz...
Un signal d’ultra basse fréquence (ULF), fin 1998 à
début 1999, d’une source inconnue, ne se produisant que les jours ouvrés, assez
puissant pour engendrer une onde de troisième harmonique, à montée rapide et
désintégration lente, plus facilement repérable par les magnétomètres situés
dans le nord et d’une longueur d’onde correspondant à peu près à la distance de
la Lune ? Qu’elle peut bien en être la cause, sinon HAARP ou un dispositif
similaire, situé au nord et envoyant des signaux se réfléchir sur la Lune pour
revenir sur Terre ? (Cramer 2001).
La voix de la planète : la résonance de Schumann et
ses rapports avec l’être humain
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