Présentation générale des faits les plus accablants
La vague d’attentats qui s’est abattue sur Paris pose quelques interrogations. Nous allons énumérer ici les faits qui nous font dire que la thèse officielle de ces attentats de Paris ne tient pas la route. Il est courant de qualifier de « complotiste » les articles qui dérangent et qui sont reproduits par des sites internet de toutes obédiences, y compris par d’authentiques extrémistes. Nous n’y sommes pour rien, nous ne faisons que relever des faits. Que le lecteur se fasse sa propre idée mais franchement, il faut vraiment être de mauvaise foi pour ne pas voir la supercherie de ces attentats…
Déjà pour commencer, une chose simple qu’aucun média n’a osé relever, rappelons quand même que l’Etat français a remis les frontières le jour des attentats, déployant ainsi trente mille policiers, lesquels ont été mobilisés pour cette opération de contrôle aux frontières devant durer un mois dans le cadre de la conférence de Paris sur le climat (COP21). Comme c’est bizarre… Après les attentats le même jour, cette fermeture des frontières se trouve prolongée avec l’Etat d’urgence décrété…
Le jour même des attentats, vendredi 13 novembre 2015, toujours le même, non vous ne rêvez pas, est présenté le matin même le nouveau "Plan Armes" du gouvernement visant à renforcer le contrôle des armes et des identités aux frontières sur le territoire national et européen. Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur, tiendra un discours pour présenter ce nouveau « Plan armes » à Nanterre le matin du vendredi 13 novembre 2015, quelques heures avant les attentats. Ces nouvelles mesures étaient critiquées car jugées trop fascisantes, mais avec les attentats du même jour, hop, celles-ci seront bientôt votées comme une lettre à la poste. Comme c’est bizarre… (source : http://www.interieur.gouv.fr/Le-ministre/Interventions-du-ministre/13.11.2015-Presentation-du-Plan-Armes )
Un jour avant les attentats, Le 12 novembre, l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales —rattaché au ministère de l’Intérieur— ( tiens encore Cazeneuve…)publiait un rapport selon lequel le terrorisme était devenu la seconde préoccupation des Français après le chômage…( source : « La grande peur du terrorisme », Timothée Boutry, Le Parisien-Aujourd’hui en France, 13 novembre 2015.)
Et pour finir, un exercice simulant des attentats a été conduit le matin même de l’attaque par les services d’urgence hospitaliers, sous le contrôle des ministères de l’Intérieur ( tiens encore Cazeneuve…) et de la Défense. Une coïncidence que l’on avait déjà relevée lors des attentats du 11 septembre 2001 à New York et Washington, de ceux du 11 mars 2004 à Madrid, ou encore de ceux du 7 juillet 2005 à Londres. (source : Cf. Intervention du Dr Patrice Pelloux, président de l’Association des médecins urgentistes de France, sur France Info à 10h26 et au journal du soir de France2, le 14 novembre 2015. « Comment le Samu s’est préparé aux attentats simultanés de Paris », Kira Mitrofanoff, Challenges, 15 novembre 2015.)
Ainsi, quand on fait déjà un premier scan des événements, c’est-à-dire juste une petite analyse globale, on se rend compte à quel point la thèse officielle des attentats vole en éclats, cédant sous la pression simple et logique des faits. Les faits sont accablants, et tout cela démontre que les attentats de Paris ont bien été planifiés par les hauts services de l’Etat français.
Mais il y a encore plus fort, nous allons maintenant nous intéresser à la personne de Brahim Abdeslam.
Le cas Brahim Abdeslam
Brahim Abdeslam, 31 ans, commando kamikaze impliqué dans les attentats du vendredi 13 novembre 2015, était propriétaire du café Les Béguines situé dans une petite rue tranquille du quartier de Karreveld, à Molenbeek en Belgique. Ce bar faisait également office de coffee shop. Les autorités communales ont ordonné le 2 novembre la « fermeture au public de l’établissement », pour une « durée de 5 mois prenant cours le 5 novembre 2015 pour se terminer le 4 avril 2016 ».
(Source : le Parisien http://www.leparisien.fr/faits-divers/belgique-le-bar-des-freres-abdeslam-a-molenbeek-un-repaire-de-petits-voyous-16-11-2015-5280961.php#xtref=https%3A%2F%2Fwww.google.fr )
Brahim Abdeslam s’est fait exploser, seul, à 21h41 à la terrasse du bistrot Comptoir Voltaire, au 253 boulevard Voltaire, à deux pas de la place de la Nation, vendredi soir, blessant grièvement une quinzaine de personnes. Selon le récit du responsable du café à L'Express, le terroriste s'est installé tranquillement dans le café. C'est lorsqu'il a passé la commande qu'il s'est fait sauter. La serveuse, Catherine, a été blessée à l'abdomen et au thorax. Hospitalisée, ses jours ne seraient plus en danger, selon ses collègues, sous le choc.
Il avait loué une voiture Seat noire, immatriculée en Belgique, et retrouvée à Montreuil, près de Paris, au lendemain des attaques. A son bord, trois fusils d’assaut kalachnikov, onze chargeurs vides et cinq pleins…
Comme par hasard, les autorités ordonnent la fermeture de son bar quelques jours avant les attentats de Paris, que lui a-t-on promis en échange ? De l’argent probablement, ce n’était donc pas son but de se faire exploser…
De plus, Brahim Abdeslam buvait de l’alcool et fumait du cannabis à outrance, c’était un délinquant de droit commun, il n’avait pas le profil d’un fanatique religieux prêt à mourir en martyr. Continuons, il s’installe tranquillement à la terrasse d’un café et se fait sauter, sans crier« Allah akbar », isolé des autres personnes sauf de la serveuse… Et ne tuant personne… Même pas la serveuse qui est à moins d’un mètre de lui ! Incroyable cette ceinture d’explosifs !... Ce n’est pas très logique, un vrai kamikaze ne s’assoit pas à la terrasse d’un café pour passer une commande, secondement, il revendique son acte, troisièmement, il ne laisse pas une voiture rempli d’affaires personnelles, d’armes et de munitions prêtes à servir. Et quatrièmement, s’il avait porté une vraie ceinture d’explosifs il y aurait eu des morts car l’explosion aurait été bien plus puissante.
Hors l’explosion a été vraiment peu puissante. La preuve : la serveuse à côté de lui n’est même pas morte, mais seulement blessée et on veut nous faire croire qu’il est rentré pour se faire exploser avec une ceinture d’explosifs. Franchement, cela ne tient pas la route. S’il avait eu une vraie ceinture d’explosifs, il y aurait eu un tas de cadavres, et la serveuse à moins d’un mètre de lui aurait volé en éclats !
Il n’a jamais voulu se faire sauter, il devait attendre et aller chercher les autres en voiture après leur fusillade. Les services secrets ont déclenché à distance des micro-explosifs qu’ils ont dissimulés dans son blouson ou dans la ceinture de son pantalon, assez puissant pour le tuer lui et blesser des gens alentour sans grande gravité. Tout cela dans le but de faire croire à un attentat suicide. Non seulement il n’y a aucun mort sauf celui qui travaille pour les services secrets et dont il faut se débarrasser, comme dans l’affaire Merah, mais cela passe pour un attentat suicide et provoque quand même une peur terrible. D’une pierre on fait deux coups. On fait naitre une peur terroriste en faisant zéro mort, à qui profite le crime ? Personne n’a relevé l’incohérence de cet acte car les morts du Bataclan aveuglent tout le monde
La vague d’attentats qui s’est abattue sur Paris pose quelques interrogations. Nous allons énumérer ici les faits qui nous font dire que la thèse officielle de ces attentats de Paris ne tient pas la route. Il est courant de qualifier de « complotiste » les articles qui dérangent et qui sont reproduits par des sites internet de toutes obédiences, y compris par d’authentiques extrémistes. Nous n’y sommes pour rien, nous ne faisons que relever des faits. Que le lecteur se fasse sa propre idée mais franchement, il faut vraiment être de mauvaise foi pour ne pas voir la supercherie de ces attentats…
Déjà pour commencer, une chose simple qu’aucun média n’a osé relever, rappelons quand même que l’Etat français a remis les frontières le jour des attentats, déployant ainsi trente mille policiers, lesquels ont été mobilisés pour cette opération de contrôle aux frontières devant durer un mois dans le cadre de la conférence de Paris sur le climat (COP21). Comme c’est bizarre… Après les attentats le même jour, cette fermeture des frontières se trouve prolongée avec l’Etat d’urgence décrété…
Le jour même des attentats, vendredi 13 novembre 2015, toujours le même, non vous ne rêvez pas, est présenté le matin même le nouveau "Plan Armes" du gouvernement visant à renforcer le contrôle des armes et des identités aux frontières sur le territoire national et européen. Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur, tiendra un discours pour présenter ce nouveau « Plan armes » à Nanterre le matin du vendredi 13 novembre 2015, quelques heures avant les attentats. Ces nouvelles mesures étaient critiquées car jugées trop fascisantes, mais avec les attentats du même jour, hop, celles-ci seront bientôt votées comme une lettre à la poste. Comme c’est bizarre… (source : http://www.interieur.gouv.fr/Le-ministre/Interventions-du-ministre/13.11.2015-Presentation-du-Plan-Armes )
Un jour avant les attentats, Le 12 novembre, l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales —rattaché au ministère de l’Intérieur— ( tiens encore Cazeneuve…)publiait un rapport selon lequel le terrorisme était devenu la seconde préoccupation des Français après le chômage…( source : « La grande peur du terrorisme », Timothée Boutry, Le Parisien-Aujourd’hui en France, 13 novembre 2015.)
Et pour finir, un exercice simulant des attentats a été conduit le matin même de l’attaque par les services d’urgence hospitaliers, sous le contrôle des ministères de l’Intérieur ( tiens encore Cazeneuve…) et de la Défense. Une coïncidence que l’on avait déjà relevée lors des attentats du 11 septembre 2001 à New York et Washington, de ceux du 11 mars 2004 à Madrid, ou encore de ceux du 7 juillet 2005 à Londres. (source : Cf. Intervention du Dr Patrice Pelloux, président de l’Association des médecins urgentistes de France, sur France Info à 10h26 et au journal du soir de France2, le 14 novembre 2015. « Comment le Samu s’est préparé aux attentats simultanés de Paris », Kira Mitrofanoff, Challenges, 15 novembre 2015.)
Ainsi, quand on fait déjà un premier scan des événements, c’est-à-dire juste une petite analyse globale, on se rend compte à quel point la thèse officielle des attentats vole en éclats, cédant sous la pression simple et logique des faits. Les faits sont accablants, et tout cela démontre que les attentats de Paris ont bien été planifiés par les hauts services de l’Etat français.
Mais il y a encore plus fort, nous allons maintenant nous intéresser à la personne de Brahim Abdeslam.
Le cas Brahim Abdeslam
Brahim Abdeslam, 31 ans, commando kamikaze impliqué dans les attentats du vendredi 13 novembre 2015, était propriétaire du café Les Béguines situé dans une petite rue tranquille du quartier de Karreveld, à Molenbeek en Belgique. Ce bar faisait également office de coffee shop. Les autorités communales ont ordonné le 2 novembre la « fermeture au public de l’établissement », pour une « durée de 5 mois prenant cours le 5 novembre 2015 pour se terminer le 4 avril 2016 ».
(Source : le Parisien http://www.leparisien.fr/faits-divers/belgique-le-bar-des-freres-abdeslam-a-molenbeek-un-repaire-de-petits-voyous-16-11-2015-5280961.php#xtref=https%3A%2F%2Fwww.google.fr )
Brahim Abdeslam s’est fait exploser, seul, à 21h41 à la terrasse du bistrot Comptoir Voltaire, au 253 boulevard Voltaire, à deux pas de la place de la Nation, vendredi soir, blessant grièvement une quinzaine de personnes. Selon le récit du responsable du café à L'Express, le terroriste s'est installé tranquillement dans le café. C'est lorsqu'il a passé la commande qu'il s'est fait sauter. La serveuse, Catherine, a été blessée à l'abdomen et au thorax. Hospitalisée, ses jours ne seraient plus en danger, selon ses collègues, sous le choc.
Il avait loué une voiture Seat noire, immatriculée en Belgique, et retrouvée à Montreuil, près de Paris, au lendemain des attaques. A son bord, trois fusils d’assaut kalachnikov, onze chargeurs vides et cinq pleins…
Comme par hasard, les autorités ordonnent la fermeture de son bar quelques jours avant les attentats de Paris, que lui a-t-on promis en échange ? De l’argent probablement, ce n’était donc pas son but de se faire exploser…
De plus, Brahim Abdeslam buvait de l’alcool et fumait du cannabis à outrance, c’était un délinquant de droit commun, il n’avait pas le profil d’un fanatique religieux prêt à mourir en martyr. Continuons, il s’installe tranquillement à la terrasse d’un café et se fait sauter, sans crier« Allah akbar », isolé des autres personnes sauf de la serveuse… Et ne tuant personne… Même pas la serveuse qui est à moins d’un mètre de lui ! Incroyable cette ceinture d’explosifs !... Ce n’est pas très logique, un vrai kamikaze ne s’assoit pas à la terrasse d’un café pour passer une commande, secondement, il revendique son acte, troisièmement, il ne laisse pas une voiture rempli d’affaires personnelles, d’armes et de munitions prêtes à servir. Et quatrièmement, s’il avait porté une vraie ceinture d’explosifs il y aurait eu des morts car l’explosion aurait été bien plus puissante.
Hors l’explosion a été vraiment peu puissante. La preuve : la serveuse à côté de lui n’est même pas morte, mais seulement blessée et on veut nous faire croire qu’il est rentré pour se faire exploser avec une ceinture d’explosifs. Franchement, cela ne tient pas la route. S’il avait eu une vraie ceinture d’explosifs, il y aurait eu un tas de cadavres, et la serveuse à moins d’un mètre de lui aurait volé en éclats !
Il n’a jamais voulu se faire sauter, il devait attendre et aller chercher les autres en voiture après leur fusillade. Les services secrets ont déclenché à distance des micro-explosifs qu’ils ont dissimulés dans son blouson ou dans la ceinture de son pantalon, assez puissant pour le tuer lui et blesser des gens alentour sans grande gravité. Tout cela dans le but de faire croire à un attentat suicide. Non seulement il n’y a aucun mort sauf celui qui travaille pour les services secrets et dont il faut se débarrasser, comme dans l’affaire Merah, mais cela passe pour un attentat suicide et provoque quand même une peur terrible. D’une pierre on fait deux coups. On fait naitre une peur terroriste en faisant zéro mort, à qui profite le crime ? Personne n’a relevé l’incohérence de cet acte car les morts du Bataclan aveuglent tout le monde
Le mystère des 3 kamikazes du Stade de France
Pourquoi
se sont-ils fait sauter à ces endroits-là ? Tout le monde s’interroge.
Personne ne comprend. Enquêteurs et experts tentent de savoir pourquoi,
alors qu'ils auraient pu provoquer un carnage et une panique mortelle, les trois kamikazes du Stade de France se
sont fait sauter vendredi 13 novembre dans des lieux isolés, ne tuant
qu'une personne, et encore probablement par accident, là où ils auraient
pu faire beaucoup plus de victimes. Rappelons ici la chronologie des
faits :
21h20 Au
niveau de la porte D, le premier djihadiste actionne le détonateur de
sa ceinture explosive remplie de TATP (explosif artisanal) et de
boulons. Un passant, proche de lui, est tué.
21h30. Nouvelle
détonation. Seule victime : le djihadiste, dont le corps coupé en deux
gît sur le bitume. La vitrine du restaurant voisin est à peine fendue.
22h. Dans
une rue voisine, une dernière explosion ne tue que le porteur de la
ceinture piégée, dans l'entrée d'une impasse, comme s'il s'était isolé
avant d'appuyer sur le bouton mortel.
A la fin de la rencontre. S'ils
avaient attendu le coup de sifflet final, quand des milliers de
personnes se pressent vers le métro, ils auraient là aussi fait de
terribles dégâts, d'autant que Paris aurait déjà été sous le coup des
attaques contre les restaurants et le Bataclan.
"C'est incompréhensible", confie dimanche à l'AFP, sous le sceau de l'anonymat, une source policière. "Il
est miraculeux qu'il y ait eu si peu de victimes. Concrètement, ce
qu'ils ont fait, à part se suicider, ça n'a aucun sens." "Ce n'est pas
la bonne heure : si vous voulez faire un carnage, vous faites ça au
moment de l'entrée ou de la sortie des spectateurs, ajoute le même policier. Autant ce qui s'est passé dans Paris intra-muros a du sens, autant là ce sont juste des mecs qui se sont suicidés."
Wikistrike
va maintenant résoudre en direct l’énigme. La clé de compréhension
résidait dans le cas Brahim Abdselam que personne n’a vu… à part nous.
Et que nous venons d’élucider quelques lignes plus haut.
Le
premier djihadiste se surprend lui-même à exploser, c’est pourquoi il y
aura un mort… Car ce n’est pas lui qui déclenche le minuteur,
secondement, les services secrets ne le préviennent pas, donc ces
derniers ne pouvaient pas savoir qu’au moment même ou ils actionnaient
le minuteur, le djihadiste frôlait une personne.
C’est
pourquoi 10 minutes après, pour éviter un autre mort accidentel, ils
arrivent à isoler l’autre djihadiste en le guidant, en lui parlant,
lequel comme les deux autres devait porter une oreillette.
Et
30 minutes après ils ont dû trouver un vice, raconter n’importe quoi,
une histoire à dormie debout au troisième afin que celui-ci s’isole dans
une impasse, seul, pour qu’ils le fassent sauter à son tour sans faire
de victimes. Les services secrets voulaient les faire sauter sans causer
de victimes, voilà pourquoi personne ne comprend leurs actes. Si les
terroristes avaient été de vrais kamikazes, ils auraient fait de
nombreux morts. Car ils se seraient fait explosés au bon moment et avec
bien plus d’explosifs.
Ce
qui prouve de manière certaine qu’ils étaient manipulés par les
services secrets, c’est déjà le fait qu’ils aient explosés isolés sans
faire de mal à personne, et que secondement, leurs ceintures d’explosifs
était de qualité très faible. De plus, quand un kamikaze veut faire un
gros coup, il n’utilise jamais une ceinture mais un gilet d’explosifs,
bien plus puissant.
La
preuve irréfutable est le second djihadiste, dont le corps n’a même pas
explosé, mais s’est seulement retrouvé coupé en deux. La vitre à
proximité de lui se retrouve fendue, même pas brisée. Preuve que tout
était calculé pour faire le moins de victimes possible. C’est un false
flag absolu. C’est la preuve que l’Etat français est bien derrière :
vouloir créer la terreur avec le moins de victimes possibles pour faire
passer le changement de constitution tant désiré. C’est tellement gros
qu’il est à peine croyable que personne n’ait deviné la supercherie.
C’est pourtant d’une simplicité déconcertante.
3
apprentis kamikazes sans cervelle munis de ceintures d’explosifs moyens
faites pour tuer un ou deux pigeons, 3 débiles avec des oreillettes
d’où ils reçoivent leur ordre, 3 abrutis munis de GPS incrustés dans
leur ceinture d’explosifs qu’on promène et qu’on file, voilà nos 3
marionnettes avec lesquelles les services secrets français ont joué aux
jeux vidéo. Le Djihad international est devenu la PlayStation des
services secrets français.
Le cas Salah Abdeslam
Soupçonné d'être l'un des huit auteurs des attentats de Paris vendredi,
Salah Abdeslam, frère de Brahim Abdeslam, le soi-disant kamikaze du
boulevard Voltaire, pour une raison indéterminée, recul ou raté, Salah
Abdeslam n'a pas déclenché de ceinture explosive à l'inverse de son
frère et des six kamikazes qui ont agi au Stade de France et au
Bataclan. Les enquêteurs pensent que Salah et son frère Brahim ont pu
former l'équipe qui a tiré à la kalachnikov sur des terrasses et des
restaurants, y semant la mort et se déplaçant en Seat.
Salah
Abdeslam a été exfiltré en Belgique par ses deux amis Hamza Attou et
Mohamed Amri. Ils ont fait en voiture le trajet
Molenbeek-Paris-Molenbeek - plus de 600 km et 6 heures de route – dans
la nuit du vendredi au samedi matin.
Les
enquêteurs ont trouvé du nitrate d'ammonium aux domiciles de ces deux
complices ainsi que des munitions de calibre 5.56 et de 7.62, adapté aux
kalachnikovs. Le nitrate d'ammonium est un composant utilisé pour la
fabrication d'engrais, mais est hautement dangereux. C'est ce composant
chimique qui avait entrainé l'explosion accidentelle de l'usine AZF de
Toulouse en 2001, faisant 31 morts.
Le
commanditaire des attentats est l'ami d'enfance de Salah Abdeslam, le
célèbre Abdelhamid Abaaout, qui a pour kounia (nom de guerre) Abou Omar.
Ce dernier travaille pour l’EMNI, il s’agit de la sécurité intérieure
de l’Etat Islamique (Daesh). L’EMNI est également chargé d’envoyer des
espions et des kamikazes en Europe. Chaque espion touche 50 000 € par
l’EMNI pour faire une attaque en Europe. Et beaucoup plus s’il est prêt à
se faire exploser (dans ce cas précis c’est la famille du martyr qui
touche l’argent). C’est Abou Omar en personne qui gère les dossiers.
Ainsi,
il faut comprendre que Salah Abdeslam est protégé par les plus hautes
autorités de Daesh. Mais lui et son frère Brahim qui organisaient les
attentats de Paris ne devaient pas mourir, mais accompagner et gérer les
martyrs. Ils se sont fait doubler par les services secrets français de
peur qu’ils ne parlent. Car il est au courant des accords secrets entre
la France et Daesh (voir la conclusion). Pour Brahim cela a fonctionné,
mais Salah, lui, sentant le coup fourré, a changé de vêtement, s’est
débarrassé du dispositif GPS ainsi que de la ceinture explosive. Et
ensuite s’est enfui vers la Belgique pour rejoindre plus tard la Syrie.
Conclusion
Tous
ces faits démontrent sans équivoque que l’Etat français a tout
coordonné avec les services secrets, manipulant des islamistes comme des
marionnettes, et ce dans leur propre intérêt : changer la constitution,
pour faire et imposer un Patriot Act à la française, comme les
américains après les attentats du World trade Center. Ils se sont servis
de Daesh et de ses agents, comme ils l’ont fait au début pour tenter de
renverser Bachar al Assad en Syrie.
N’oublions
pas que Daesh est une création artificielle. Ce n’est que l’instrument
de la politique de plusieurs États et multinationales. En Syrie, la
présence d’officiers français encadrant des groupes armés extrémistes
lorsqu’ils perpétraient des crimes contre l’humanité est largement
attestée.
En
effet, la France n’a pas toujours bombardé Daesh, mais lui a largué des
armes durant plus d’un an. Ce point est ignoré de la presse
occidentale, mais a été largement discuté un an durant par la presse
arabe et perse. La vérité a éclaté au grand jour lorsque cinquante
analystes du CentCom ont dénoncé les mensonges des rapports sur la
Coalition, qu’une enquête interne a été déclenchée et que, finalement,
le général John Allen a été contraint à la démission. Voir notamment :
« Stewart, Brennan et Cardillo dénoncent les manipulations du Renseignement au Pentagone » et « Le général Allen présente sa démission (Bloomberg) », Réseau Voltaire, 12 et 23 septembre 2015.
David J. Feldmann pour Wikistrike
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire