Un jour, j’irai vivre en Théorie parce qu’il paraît qu’en Théorie, tout va bien. (Les mots surpendus)

mercredi 1 février 2012

Le projet MK ULTRA/MONARCH


Derrière ces deux noms obscurs, se trouve l'un des crimes les plus diaboliques commit sur une partie de la population humaine, une forme de contrôle de l'esprit systématique qui a imprégné tous les aspects de la société sur près de cinquante ans.
Les origines de la recherche "psychologique" et "psychiatrique".
Au 19ème siècle, la Grande-Bretagne et l'Allemagne ont été reconnus comme les principaux secteurs géographiques de travaux sur le "contrôle mental". Les premiers travaux de recherche ont commencé avec le Behavioral Science, qui a été fondée en Angleterre en 1882, tandis que la plupart des premières techniques médicales et psychiatriques impliqués dans le contrôle mental ont été initiées à l'Institut Kaiser Wilhelm en Allemagne.
L'institut Kaiser Wilhelm en 1930

L'institut Tavistock des relations humaines a été créé à Londres en 1921 pour étudier le "point de rupture" des humains. Kurt Lewin, un psychologue allemand, est devenu le directeur de l'Institut Tavistock en 1932, à la même époque l'Allemagne nazie avait augmenté ses recherches sur la neuropsychologie, la parapsychologie, l'occultisme et le multiple-générationnel.
Fait intéressant, un échange progressif des idées scientifiques qui se passait entre l'Angleterre et l'Allemagne, notamment dans le domaine de l'eugénisme: le mouvement consacré à "améliorer" l'espèce humaine à travers le contrôle des facteurs héréditaires dans l'accouplement. Les échanges énigmatiques entre les deux pays étaient liés, en partie par l'Ordre de la Golden Dawn, une société secrète qui se composait de beaucoup de fonctionnaires de haut rang au sein du parti nazi et de l'aristocratie britannique.
"The Hermetic Order Of The Golden Dawn"
Lien ICI
L'officier nazi SS Heinrich Himmler, était en charge d'un projet scientifique intitulé Lebersborn, qui comprenait un élevage sélectif et l'adoption d'enfants, avec un grand nombre de jumeaux parmi eux. L'objectif du programme était de créer une race supérieure (Aryens) qui ferait partie intégrante et ferait allégeance totale à la cause du IIIème Reich.

Une grande partie de l'expérimentation préliminaire concernant le génie génétique et la modification du comportement a été menée par le Dr Josef Mengele à Auschwitz, où il a froidement analysé les effets du trauma-collage, de coloriage de l'oeil et de "jumelage", sur ses victimes. Outre l'expérimentation chirurgicale insidieuse effectuée au camp de concentration, certains des enfants ont été soumis à des quantités massives d'électrochocs.
Dr Josef Mengele et Heinrich Himmler
Malheureusement, nombre d'entre eux ne survivront pas à la torture. Parallèlement, le "lavage de cerveau" a été réalisée sur des détenus à Dachau, qui ont été placés en état d'hypnose et à qui ont a donné de la mescaline, une drogue hallucinogène. Pendant la guerre, la recherche comportementale parallèle a été dirigée par le Dr George Estabrooks de la Colgate University. Son implication avec l'armée, le CID, le FBI et d'autres organismes demeure inconnu. Toutefois, Estabrooks serait sujet à des "lapsus" et il parla quelques fois de son travail impliquant la création de personnalité hypno-programmés et de "l'hypnose induite" par "dédoublement de la personnalité".

Après la Seconde Guerre Mondiale, le Département Américain de la Défense a secrètement emmené un grand nombre des plus éminents scientifiques Allemand et d'agents des services de renseignements nazi aux Etats-Unis via l'Amérique du Sud et le Vatican. Le nom de code de cette opération était le projet PAPERCLIP. Un des plus éminents employé pour les Etats-Unis a été général allemand Reinhard Gehlen, ancien chef du Renseignement Allemand en URSS.
En arrivant à Washington DC en 1945, Gehlen s'est longuement entretenus avec le président Truman, le général William "Wild Bill" Donovan, directeur de l'Office of Strategic Services (OSS) et Allen Dulles, qui allait devenir plus tard le chef de la CIA. L'objectif de leurs rencontres répétées fût de réorganiser le fonctionnement du système de renseignement Américain, le transformant en une organisation clandestine hautement efficace. L'aboutissement de leurs efforts a produit le Central Intelligence Group en 1946, rebaptisé Central Intelligence Agency (CIA) en 1947.
Reinhard Gehlen a également eu une influence profonde en aidant à créer le Conseil national de sécurité, dont le National Security Act de 1947 a découlé.

Reinhard Gehlen
A partir de cette nouvelle organisation, la législation a été mise en œuvre pour protéger un nombre inimaginable d'activités illégales du gouvernement, y compris les programmes clandestins de "contrôle de l'esprit" ("Mind Kontrol").


L'évolution du programme, avec le projet MK ULTRA.

Avec la CIA et le Conseil national de sécurité solidement établit, le premier d'une série de programmes secrets de "lavage de cerveau" a été lancé par la Navy à l'automne 1947. Ce "projet écran" nommé "CHATTER", avait été développé en réponse aux succès Soviétiques à travers l'utilisation de "sérum de vérité." Cette stratégie, était simplement une histoire de couverture si le programme réel se trouvait exposé. La recherche a porté sur l'identification et l'essai de ces "sérums" pour un usage dans les interrogatoires et le recrutement d'agents. Ce projet a été officiellement achevé en 1953.
La CIA a décidé d'intensifier les efforts dans le domaine de la modification du comportement, avec l'avènement du Projet BLUEBIRD, approuvé par le directeur Allen Dulles en 1950. Ses objectifs étaient les suivants:
1) découvrir un moyen de conditionnement personnel pour empêcher la divulgation de renseignements non autorisés par les agents, que l'on aurait tenté de faire parler par des moyens connus;
2) étudier la possibilité d'un contrôle d'un individu par l'application de techniques d'interrogatoire spéciales;
3) enquêter sur l'amélioration de la mémoire;
4) établir des moyens de défense pour empêcher le contrôle par l'ennemi du personnel de l'agence.

En août 1951, le Projet BLUEBIRD a été rebaptisé Projet ARTICHOKE, qui a évalué les utilisations des techniques d'interrogatoire, dont l'hypnose et les drogues.
Le programme ARTICHOKE a cessé en 1956. Parallèlement, le projet MK ULTRA vit le jour le 13 avril 1953 (ou le 3 avril 1953, il existe un flou sur la date) sur le modèle proposé par Richard Helms, sous-directeur de la Central Intelligence (DDCI) avec la logique d'établir un "mécanisme de financement spécial de l'extrême sensibilité".

Richard Helms
L'étymologie hypothétique de "MK" peut éventuellement vouloir dire "Mind Kontrolle." La traduction évidente du mot allemand "Kontrolle" en anglais est "control". Une foule de médecins Allemands, recrutés après-guerre auprès des spécialistes nazi, ont été un atout précieux à l'élaboration de MK ULTRA. La corrélation entre les expériences dans les camps de concentration et les nombreux sous-projets de MK ULTRA sont clairement évidents.
Les différentes possibilités utilisées pour contrôler le comportement de l'homme dans MK ULTRA:
le rayonnement
les électrochocs
la psychologie
la psychiatrie
la sociologie
L'anthropologie
la graphologie
les substances (La substance "LSD" étant la plus largement utilisée)
le harcèlement
les dispositifs paramilitaires

Une procédure spéciale, désignée par le terme "MK DELTA", a été établi pour régir l'utilisation de MK ULTRA à l'étranger et pour protéger le projet.
Il y avait en effet 149 sous-projets répertoriés sous l'égide de MK ULTRA. Le Projet MONARCH n'a pas été officiellement identifié par les documents du gouvernement comme l'un des sous-projets correspondant, mais il est utilisé depuis comme une appellation commune de la part des survivants, des thérapeutes, et des collaborateurs. MONARCH a en effet abouti à plusieurs sous-projets tels que l'opération "SPELLBINDER", qui a été mise en place pour créer des assassins "en sommeil" (le film "Manchourian Candidate" ou "Un Crime Dans La Tête" sorti en 2004 est basé sur cette histoire) qui pourraient être activés lors de la réception d'un mot clé ou une expression alors qu'il se trouve dans un état de post-transe hypnotique.
Le principe du projet MONARCH et la technique utilisée.
Le nom MONARCH n'est pas nécessairement défini dans le contexte de la noblesse royale, mais se réfère plutôt au papillon monarque.
Quand une personne subit un traumatisme provoqué par des électrochocs, une sensation de tête légère se produit, comme si l'on flottait ou volait comme un papillon. Il y a aussi une représentation symbolique se rapportant à la transformation ou la métamorphose de ce bel insecte: de la chenille en cocon (le sommeil, l'inactivité), à un papillon (naissance, nouvelle création) qui retournera à son point d'origine. Tel est le modèle migratoire qui fait de cette espèce unique.
Le symbolisme occulte permet de donner des informations supplémentaires sur le sens véritable de la psyché, qui désigne à la fois pour le mot "âme" et papillon" en provenance de la croyance que les âmes humaines deviennent des papillons tout en cherchant une nouvelle réincarnation.
Certains groupes mystiques, comme les gnostiques, ont vu le papillon comme un symbole de la corruption de la chair. "L'Ange de la Mort" dans la pensée gnostique était dépeint par l'écrasement du papillon. Une marionnette à fils est une marionnette qui est attaché à des cordes et contrôlée par le maître de la marionnette, d'où le programme MONARCH, qui a était également désigné "Le syndrome de la marionnette".

Le Projet MONARCH pourrait être mieux décrit comme une forme de dissociation structurée et d'intégration cachée, afin de compartimenter l'esprit en de multiples personnalités dans un cadre systématique. Au cours de ce processus, il est souvent arrivé qu'il y ait des "cérémonies sataniques", ou des références à l'invocation de démons. (Pour que la victime à traumatiser, se croit "possédée", et donc ne plus être maitre de son corps et de ses pensées).
Comment instrumentaliser un individu.

Une autre façon de présenter cette victimisation du corps et de l'âme, serait de le voir comme un programme informatique complexe: Un fichier (un double de la personnalité) est créé par un traumatisme, de dédoublement et de renforcement. Pour l'activation (le déclencheur) du fichier, un code d'accès spécifique ou mot de passe (le signal) est exigé.
La victime est appelé "esclave" par le programmeur, qui à son tour est perçu comme un "maître" ou un "Dieu". Environ 75% sont des femmes, car elles possèdent une plus grande tolérance de la douleur et ont tendance à être aussi plus facile à dissocier que les hommes. Les sujets sont principalement utilisés pour les opérations de couverture, la prostitution et la pornographie. Leur participation à des divertissements "sexuel" est établi. Certains rescapés affirment avoir servis d'esclave sexuels pendant des années à des réseaux de personnes influentes ou de têtes couronnées, notamment en Angleterre.
A l'appui, un ancien agent de la CIA a discuté de l'utilisation de ce personnel pour être utilisé comme "agent" dans le but d'infiltrer un groupe désigné, la collecte d'informations ou la diffusion d'un ordre du jour dans un mouvement politique (influencer les discussions), par exemple.

Il y a alors un énorme changement pour la victime avec de nombreux programmes de "reconditionnement", par rapport à ses notions de bien et de mal. Une division de la lumière, d'un côté lumineux (le bien) et du côté sombre (le mal) modifie sa perception, et sont imbriquées dans son esprit, pour le faire changer à volonté. L'une des principales structures internes dans le système cérébral est en forme de double hélice, composée de sept niveaux. Chaque système a une sorte de "programmateur" interne que supervise le "gardien" (une entité créée de toute pièce et par laquelle, le cerveau de "l'esclave" se trouve dépendre. Qui accorde ou refuse l'entrée dans les différents "niveaux").
Descendance et lignée "satanique".
La majorité des victimes viennent de plusieurs générations de familles sataniques (lignées) et sont apparemment programmé "pour remplir leur destin comme les élus ou les générations choisi" (un terme inventé par Mengele à Auschwitz). Certaines sont adoptés par des familles de même origine. D'autres viennent souvent des orphelinats, des foyers d'accueil ou des familles incestueuses avec une longue histoire de pédophilie, où l'enfant a était retiré à la famille et s'est retrouvé en "foyers" ou en "centre" de l’État. Et il y a aussi de nombreux cas d'enlèvements pur et simple. Certains chercheurs affirment qu'environ un tiers des enlèvements de part le monde est lié au projet MONARCH.
Il semble également y avoir une connexion de divers membres de certaines familles affiliées au gouvernement, au milieu militaire ou au renseignement. D'un manière plus globale, des familles dites de "Sang Royal" ou de lignée Reptilienne. On peu citer par exemple la famille Bush (lignée Ramsès-Pizo-Bush), la famille Rockefeller, la famille Royale Anglaise, la famille Rothschild, et bien d'autres.

De nombreuses victimes de ses abus proviennent de familles qui utilisent en fait, une sorte de "respectabilité culturelle officielle". Ils se disent adeptes du catholicisme, du mormonisme ou du protestantisme. Mais ils utilisent ces religions comme une "couverture" pour cacher leurs activités abominables (même si d'autres groupes religieux sont également impliqués). Les victimes réagissent en général plus facilement à une rigidité religieuse (dogmatique et légale), parce qu'il y a un parallèle par la structure hiérarchique, par rapport à la "programmation" de base. Autorité religieuse qui généralement n'est pas contestée, mais les victimes du Projet MONARCH, ont eu leur volonté usurpée par le biais d’endoctrinements subjectifs et d'une prétendue autonomie, qui est en fait orientée. La victime se croit libre mais elle ne l'est pas.

Les caractéristiques physique de ces actions sur les victimes montrent souvent des cicatrices électriques multiples sur leur peau produits par des chariots ou des tables métalliques. Quelques-uns ont eu diverses parties de leurs corps mutilés par des couteaux, des marques au fer ou des trous d'aiguilles, un tatouage représentant un papillon ou d'autres tatouages pré-définis par leur symbolique, sont également fréquents. En règle générale, ceux des lignées "satanique" sont moins susceptibles d'avoir eu des marques sur leur corps, parce que leur peau est par le sang, relié au démon et, d'après leurs croyances, il doit "demeurer pure et sans tache."
Le but ultime de la manipulation sophistiquée de ces individus peut sembler incroyable, selon notre compréhension d'interprétation des choses physique et spirituelles. Les plus profondes et plus sombres modification dans les "lignées de sang satanique" sont comme étant, en "sommeil" jusqu'à ce que le l'Antéchrist ne se révèle. Et le moment venu, ils devraient recevoir leurs "instructions", pour servir et aider à l'accession au pouvoir de ce dernier.

Un "jumelage" entre deux personnes totalement différent et sans aucun lien de parenté, est encore une autre caractéristique étrange observée dans la programmation MONARCH. Par exemple, deux jeunes enfants seraient solennellement engagé dans une sorte de rituel, déclaré prétendument "magique", aux enfants. Ils peuvent donc être conditionné pour être "inséparablement associé pour toujours" (comme si ils étaient de vrais jumeaux). Ils partagent essentiellement les deux moitiés de l'information du "programme", qui les conditionne et qui va leur donner des instructions auxquelles ils devront obéir, les rendant interdépendants l'un de l'autre. Tant qu'ils ne sont pas ensemble, ils ne "réceptionnent", qu'une seul partie de l'information, il faut qu'ils soient deux pour la recevoir et la comprendre.
Des phénomènes paranormaux tels que la projection astrale, la télépathie, semblent être plus marquée pour ceux qui ont subi ce processus.
Les différents niveaux de la programmation MONARCH:
ALPHA: Considéré comme étant la programmation de base. Elle est appliqué pour le contrôle de la personnalité, caractérisé par la rétention extrêmement marquée de mémoire, avec une augmentation substantielle de la force physique et de l'acuité visuelle. La programmation Alpha est réalisée par la subdivision délibéré de la personnalité des victimes qui, par essence, provoque une dissociation des hémisphères gauche et droit du cerveau, permettant une union programmée du gauche et du droit grâce à la stimulation des neurones.

BETA: Dénommé programmation "sexuelle". Cette programmation élimine tous sens et convictions morales et stimule l'instinct sexuel primitif, qui de trouve dénué de toutes inhibitions.

DELTA: Celle-ci est la programmation des "tueurs", initialement développés pour la formation des agents spéciaux ou des soldats d'élite dans des opérations secrètes. Une production surrénales optimisée et un développement du contrôle de la violence et de l'agression est mise en place. Les sujets sont alors totalement dépourvues de peur. Un facteur obligatoire pour l'accomplissement de leur mission. Une programmation d'autodestruction et des instructions de suicide volontaire est instauré à ce stade.

THETA: considéré comme la programmation purement "psychique". Les "lignés du sang" (ceux venant de plusieurs générations de familles sataniques) ont été déterminés car ils présenteraient une plus grande propension à avoir des capacités télépathiques que les autres. En raison des limites évidentes de leurs capacités, cependant, diverses formes de contrôle de l'esprit par des systèmes électroniques ont été développés et introduits, à savoir, des dispositifs bio-médical de télémétrie de l'homme ("GPS", sous forme d'implants cérébraux), réalisé par des lasers utilisant l'énergie micro-ondes et électromagnétique. Ceux-ci sont utilisés en conjonction avec des ordinateurs très sophistiqués et des systèmes de suivi par satellite.

OMEGA: Une programmation "d'auto-destruction", aussi connu comme le "Code Green." Les comportements associés incluent les tendances suicidaires et / ou d'auto-mutilation. Ce programme est généralement activé lorsque la victime commence une thérapie suite a des interrogations et réussit à récupéré sa mémoire. Et éviter qu'elle ne dévoile ce qu'elle sait.

GAMMA: Une programmation "de faux souvenirs", qui est en fait une forme de système de protection par "tromperie". Celle-ci suscite la désinformation et les erreurs dans la mémoire. Pour éviter que les vrais souvenirs reviennent, par exemple, grâce à l'hypnose. Ce niveau à tendance à être répété, si de façon malencontreuse, la programmation s'est trouvé "désactivé".
Déstructuration mentale, conditionnement et programmation.

Le processus initial débute par la création de dissociation dans le sujet, se manifestant généralement à partir du moment de trois ans, jusqu'à six ans environ. Ceci est principalement atteint grâce à l'utilisation des électrochocs (parfois effectué même lorsque l'enfant est dans le ventre de la mère, dans le cas de femmes, faisant partie du Projet et tombant enceinte). Et par l'utilisation, contre lui, des peurs de l'enfant (insectes divers, reptiles, de l'obscurité, élimination d'un animal de compagnie devant lui qu'il a connut depuis tout petit...etc). Les sévices sexuels sont souvent pratiqués (vu que beaucoup des éléments sont destinés à devenir des "objets sexuels"). Le but est de démolir complètement l'esprit de la victime.
En raison des graves traumatismes provoqués par ces méthodes, l'esprit, voulant fuir ces tortures, se détache en plusieurs personnalités distinctes. Anciennement dénommé "trouble de personnalités multiples", il est actuellement connu comme étant un "trouble dissociatif de l'identité" et constitue la base de la programmation, du projet MONARCH. Un conditionnement ultérieur de l'esprit de la victime est amélioré grâce à l'hypnose, la contrainte, faire subir tour-à- tour la gentillesse et la torture, privation de nourriture, d'eau, de sommeil et la privation sensorielle (ne rien voir et ne rien entendre), ainsi que divers médicaments qui modifient certaines fonctions cérébrales.

L'étape suivante consiste à intégrer et à faire assimiler la connaissance des commandes et des messages spécifiques pouvant être modifiés. Ce résultat est obtenu grâce à l'utilisation de casques neurologiques, en liaison avec des générateurs assisté par ordinateur qui émettent des ondes sonores inaudibles ou des harmoniques qui affectent les liaisons du cerveau, en influençant les liaisons des neurones à l'inconscient et au subconscient. Des dispositifs optiques pour générer une "réalité virtuelle" sont parfois utilisés simultanément avec les générateurs d'harmoniques projetant des lumières colorées, des images réelles ou subliminales sur un écran.
Des électrochocs sont ensuite utilisée pour faire oublier le souvenir du conditionnement dans la mémoire.

La programmation est mise à jour périodiquement et renforcée à travers des stimulus visuels, auditifs et écrits. Certains des thèmes utilisé lors de la première programmation sont souvent celle du Magicien d'Oz et de Alice aux pays des merveilles, saturés de symboles occultes (et n'oublions pas que pendant cette "programmation", les victimes étant des enfants, ils sont plus réceptifs à ce genre de films et de dessins animés). D'un manière générale, beaucoup de films récents de Disney et les dessins animés sont utilisés dans une double manière:

- Désensibiliser la majorité des victimes, en utilisant les images subliminales et la programmation neuro-linguistique;

- Construire délibérément des déclencheurs spécifiques et des clés pour la programmation de base avec des enfants hautement impressionnables.

Un bon exemple de la façon dont fonctionne la programmation subliminale est en regardant, entre autres, le dessin animé Pochahontas de Disney.
Dans le film, la grand-mère est une mystique qui conseille Pochahontas à écouter son cœur. La grand-mère parle constamment un double langage et en utilisant des "inversions": "Parfois, le chemin de droite n'est pas le plus facile", ce qu'il faut comprendre en langage ésotérique: le chemin de gauche (le chemin qui mène à la destruction) est le plus facile.

La musique joue un rôle aussi important dans la programmation, à travers des combinaisons de tonalités variables, des rythmes et des mots.

Les programmeurs et les lieux.
Il est difficile de savoir qui a été le chercheur et le "programmeur" initial de ce projet, en raison de la quantité substantielle de désinformation et d'informations qui se contre-disent. L'un des médecins identifié était un médecin nommé le Dr Gruenbaum, qui auraient collaboré avec les nazis pendant la Seconde Guerre Mondiale, et le Dr Josef Mengele, dont la brutalité, et l'absence totale d'humanité n'ont pas seulement marqués l'âme des survivants d'Auschwitz, mais aussi d'un nombre incalculable de victimes dans le monde. L'implication directe de Mengele au camp de concentration d'Auschwitz, a été étrangement minimisé lors du procès de Nuremberg, et par conséquent aucun effort réel par les Etats-Unis et ses Alliés n'a était entreprit pour le retrouver et le capturer.
Des responsables Américains faisaient des rapports sur Mengele en disant qu'il n'était maintenant "plus une menace", et devait vivre caché au Paraguay ou au Brésil, ou qu'il était simplement mort.
Ses travaux de recherche sans précédent, au détriment de milliers de vies, ont été un atout important pour les intérêts Américains. En plus d'utiliser le pseudonyme de M. Green (beaucoup de "programmeurs" utilisaient un pseudonyme qui était un nom de "couleur"), les survivants l'ont connu sous différents surnoms comme Väterchen (papa), Schoner Josef (beau-Joseph), David et Fairchild. D'autres caractéristiques que se rappelle les survivants ont été la cadence de ses bottes noires luisantes quand il allait et venait et de son "I love you, I love you not", une chanson qu'il fredonnait.
Il a lui-même torturé et tué un petit enfant en face d'un autre enfant, pendant une séance de programmation. Beaucoup de survivants se souviennent qu'ils devaient vivre dans des cages. Évidemment, l'objectif de Mengele était de réduire les gens au niveau des animaux. Il faisait aussi exprès d'empêcher ses victimes de pleurer, de crier, ou de manifester une émotion excessive.

Le Dr D. Ewen Cameron, aussi connu sous le pseudonyme de "Dr. White", a été l'ancien chef de l'Administration Canadienne, Américaine et mondiale de la "psychiatrie Associations". En raison d'une vaste expérience de Cameron, et des pouvoirs d'Allen Dulles, la CIA a injectée des millions de dollars dans des organisations comme la "Société pour l'étude de l'écologie humaine", qu'a présidé Cameron impitoyablement. Des expérimentations ont été menées à plusieurs endroits à Montréal, principalement à l'Université McGill, à l'Hôpital St-Mary's et au Allan Memorial Institute.

Dr Donald Ewen Cameron
Outre les méthodes classiques de la tyrannie psychiatrique, telles que les injections de drogues, les électrochocs et la lobotomie, Cameron conçu la technique de "conduite psychique", où des patients non avertis étaient conservés dans un état comateux par des drogues pendant plusieurs semaines et à qui ont administré un traitement par électrochocs, alors que les casques électroniques étaient attaché à leur tête, des messages sonores répétitifs étaient transmis à des vitesses variables. Beaucoup de ceux-ci étaient des enfants maltraités, qui avait été rejetés par les orphelinats.

Sans surprise, par discrétion, pour empêcher la divulgation officielle de ses travaux, le Dr Cameron a été exclus de la plupart des revues psychiatriques. Mais le Projet MK ULTRA devait être publiquement exposés en 1970, à travers les procès intentés par les survivants canadiens et leurs familles. La CIA et le gouvernement Canadien a réglé l'affaire, hors cour, afin de ne pas être tenus d'admettre officiellement ces actes répréhensibles, et de devoir dire la vérité.
Un ancien lieutenant colonel de la division de la guerre psychologique de la DIA, Michael Aquino, est un des participants présumé, protégé par le gouvernement. Aquino, un génie excentrique obsédé par les rituels païens nazis, a fondé le "Temple de Seth", une émanation de "l'Eglise de Satan" de Anton LaVey. Aquino était affecté à la Base du Presidio de San Francisco. Il se trouva mêle à un scandale dans lequel il a été accusé de pédophilie.

Michael Aquino
Au désespoir des parents des jeunes victimes, toutes les accusations ont été rejetées. Sous le nom de code de "Malcolm", Aquino a été mentionné pour avoir développé des cassettes de formation sur la façon de créer un "esclave" MONARCH et a travaillé comme agent pour le gouvernement et le renseignement militaire, dans le but d'assurer la liaison entre diverses organisations criminelles et des groupes occultes pour l'attribution et la répartition des "esclaves" du Projet MONARCH.

Heinrich Mueller a été un autre programmeur important qui a participé sous le nom de "Dr. Blue" ou "Gog". Apparemment, il a deux fils qui ont collaboré au trafic de ces être humains. Un autre, connu sous le nom de "M. Black" était apparemment Leo Wheeler, le neveu du défunt général Earle G. Wheeler, qui était le commandant de l'état-major pendant la guerre du Vietnam. Il y a aussi un protégé de Wheeler, E. Hummel qui est en activité dans le Nord-Ouest, avec W. Bowers.

Les autres prétendues manipulateurs identifiés, passés et présents, sont:
Dr. Sydney Gottlieb
Lieutenant-colonel John Alexander
Dabney Richard Anderson (USN)
Dr. James Monroe
Dr. John Lilly
Lt. Comdr. Thomas Narut
Dr. William Jennings Bryan
Dr. Bernard L. Diamond
Dr. Martin T. Orne
Dr. Louis J. West
Dr. Robert J. Lifton
Dr. Harris Isbel
Col. Wilson Green

Afin de garder MK ULTRA difficile à découvrir, la CIA a segmenté les sous-projets dans des domaines spécialisés de recherche et de développement dans les universités, les prisons, les laboratoires privés et les hôpitaux. Bien sûr, ils ont été généreusement récompensés par des subventions du gouvernement et des financement divers.
Les noms et les lieux de certaines des principales institutions impliquées dans la programmation et les expérimentations MONARCH ont été ou sont encore les suivantes:
Cornell
Duke
Princeton
UCLA
University of Rochester
MIT
Georgetown University Hospital
Maimonides Medical Center
St. Elizabeth's Hospital (Washington DC)
Bell Laboratories
Stanford Research Institute
Westinghouse amitié Laboratories
General Electric
ARCO
Mankind Research Unlimited

Le "conditionnement" final a été ou est encore habituellement créé sur des installations et des bases militaires, où la sécurité maximale est requise. Désigné sous la couverture d'un programme concernant "la mort imminente et les traumatismes", les plus sûrement identifiées sont:
China Lake Naval Weapons Center
The Presidio
FT. Dietrick
FT. Campbell
FT. Lewis
FT. Hood
Redstone Arsenal
Offutt AFB (Air Force Base)
Patrick AFB
McClellan AFB
MacGill AFB
Kirkland AFB
Nellis AFB
Homestead AFB
Grissom AFB
Maxwell AFB
Tinker AFB

Les autres lieux reconnus comme des sites majeurs de la programmation sont les suivants:
Langley Research Center
Los Alamos National Laboratories
Tavistock Institute
Des zones à l'intérieur des secteurs du Mont Shasta (Californie), de Lampe (Montana) et Las Vegas (Nevada).
Les témoignages des survivants.

Un des premiers cas documentés d'un agent secret MONARCH a était celui de l'ancienne mannequin des années quarantes, Candy Jones. L'ouvrage, "Le contrôle de Candy Jones". (Playboy Press) dépeint ses douze années d'intrigues comme un espionne de la CIA.
Jones, dont le nom de naissance est Jessica Wilcox, avait apparemment le profil physiologique approprié pour être l'une des premières expériences sur les humains sous le couvert de recherches "scientifiques" avec l'autorisation de gouvernement pour le Projet MK ULTRA.


Jessica Wilcox alias Candy Jones
Le cas le plus médiatisé du projet monarch a refait surface grâce au livre "Trance-Formation of America: the true story".
Cette autobiographie documentée contient les comptes-rendus des années où O'Brien, qui a connu l'inceste, et c'est l'implication de son père qui provoqua son introduction dans le Project MONARCH. Avec le co-auteur Mark Phillips, son sauveteur et déprogrammeur, Cathy raconte un éventail incroyable de crimes: la prostitution forcée (conditionnement à être un "objet sexuel"), pour ceux qui sont dans les échelons supérieurs de la politique mondiale, des missions clandestines comme le rôle d'une "mule", pour passer la drogue et aussi pour servir de messagerie entre l'industrie musicale du pays, qui sont en rapport avec les activités illégales de la CIA.


Cathy O'Brien
Paul Bonacci est un survivant courageux qui a connu pendant près de deux décennies la dégradation au titre du Projet MONARCH, il a révélé des preuves solides corroborant des crimes à grande échelle et la corruption aux niveaux municipal et de l’État, jusqu'à la Maison Blanche. Il a témoigné au sujet de jeunes garçons sexuellement abusé et sélectionnés à partir de Boy's Town dans le Nebraska et emmené à proximité Offut (AFB), où il dit qu'ils ont été soumis à une programmation intense de type MONARCH, dirigée principalement par le commandant Bill Plemmons et l'ancien lieutenant-colonel Michael Aquino.


Paul Bonacci
Après avoir bien tourmenter les jeunes garçons dans le but de manipuler leur esprit, ils ont été utilisés (avec des jeunes filles) dans la pornographie et la prostitution dans plusieurs pays (en majorité, les "grands pays" occidentaux). Bonacci s'est rappelé avoir été acheminé d'une base de l'armée via des avions-cargos, jusqu'à McClelland (AFB) en Californie. Avec d'autres malheureux adolescents et adolescentes, il a été emmené à la retraite cachée des élites, au Bohemian Grove ( Lien ICI ). Les personnalités présentes ont pleinement profité de ces victimes innocentes, et ne se sont pas gêné pour commettre des perversions impensables, pour satisfaire leurs désirs déviants. Certaines victimes auraient été assassinés, pour traumatiser davantage les enfants, déjà suffisamment épouvanté.

Les autres personnes qui auraient été des victimes du Projet, serait une actrice assez marginale (aujourd'hui décédée), un télé-évangéliste moralement corrompus, et une chanteuse de country. Quelques autres sont susceptibles d'avoir étaient utilisé: Sirhan-Sirhan, Charles Manson, John Hinckley Jr., Mark Chapman, David Koresh, Tim McVeigh et John Salvi. Plus quelques notables, fortement soupçonnés d'être des "pions", engendrés par MK ULTRA.
Déprogrammeurs et enquêteurs.
Le Dr. Corydon Hammond, un psychologue de l'Université de l'Utah, a prononcé un discours étonnant intitulé "L'hypnose dans la dissociation des personnalités multiples: Abus Rituel" lors de la quatrième Conférence régionale annuelle de l'Est sur la violence et la personnalité multiple, le 25 juin 1992 à Alexandria, en Virginie. Il a essentiellement confirmé les soupçons de la foule de professionnels de la santé mentale, dans laquelle un certain pourcentage de leurs clients avaient subi une programmation pour le contrôle de l'esprit d'une manière intensive et systématique. Hammond fait allusion à la connexion nazie, militaire et de la CIA dans des recherches de contrôle de l'esprit. Peu de temps après la fin de son discours, il a reçu des menaces de mort. Ne voulant pas compromettre la sécurité de sa famille, le Dr Hammond cessé de diffuser toute information par la suite.


Dr. D. Corydon Hammond
Mark Phillips, un ancien sous-traitant d'électronique pour le Ministère de la Défense, était au courant de certaines des activités top secret de contrôle de l'esprit perpétrés par le gouvernement Américain. Sa forte et sincère préoccupation pour Cathy O'Brien, qui avait été déclaré "objet sexuelle attitré de la Présidence" par le Projet MONARCH, l'ont poussé à révéler le fonctionnement interne de cette grande tromperie à partir de 1991. Comme il le raconte, il a aidé Mme O'Brien à échapper à ses ravisseurs et a pût la présenter à son déprogrammateur, ils passèrent ensemble environ une année, caché en Alaska.
Une thérapeute de la Nouvelle-Orléans, Valerie Wolf a présenté deux de ses patientes devant le Comité présidentiel pour les expériences sur les radiations de l'homme, le 15 mars 1995 à Washington DC. Le témoignage étonnant fait par ces deux femmes courageuses inclus dans leurs comptes-rendus: des médecins Allemands, la torture, des drogues, des électrochocs, l'hypnose et le viol, en plus d'être exposés à une quantité indéterminée de rayonnement. Les deux patientes ont déclaré avoir récupéré les souvenirs de ce programme de la CIA, sans régression ou de techniques d'hypnose. (C'est tout-à-fait possible, avec le temps, un sevrage des drogues et un choc psychologique, peuvent déclencher un retour progressif des souvenirs dans la mémoire).

Un avocat travaillant pour le cabinet Atlantic Richfield Co., David E. Rosenbaum, a effectué neuf années d'enquête (1983-1992) concernant des allégations de torture physique et de conditionnement coercitif de nombreux employés dans une usine d'ARCO à Monaca, en Pennsylvanie. Parmi ses clients, Jerry L. Dotey et Ann White, ont été victimes de l'exposition aux rayonnements, mais comme M. Rosenbaum a plus profondément poursuivit les séances d'entrevues, il a bien découvert des choses troublantes. Rosenbaum précise aussi: "Ils ont présentaient tous les deux des sentiments et des expériences qui indiquent qu'ils sont des jumeaux." Dotey et White auraient été soumis à la torture de nombreuse façon tandis que sous hypnose d'origine médicamenteuse, chacun reconnaît avoir subit au moins trois techniques de formation par les médecins de l'usine.
Chaque victime a été formée pour entrer dans un état hypnotique par l'apparition de stimuli spécifiques, impliquant généralement un indice, un mot ou une phrase et formée pour "se souvenir d'oublier" ce qui s'est passé dans l'état hypnotique. Ils ont été soumis de façon répétée à des stimuli identiques de séquence de réponse, afin de produire des réactions presque automatique.
Le Dr. Bernard Diamant, le Dr. Martin Orne et le Dr. Josef Mengele ont régulièrement visité l'usine ARCO, selon Rosenbaum. Le conditionnement spécial de Dotey et White a été conçu pour la création artificielle de double personnalités.

D'autres thérapeutes de renom impliqués dans les efforts de "déprogrammation" sont Cynthia Byrtus, Pamela lundi, Steve Ogilvie, Bennett Braun, Jerry Mungadze et Colin Ross. Certains conseillers ont été en mesure d'éliminer certaines parties de la programmation avec des succès limités.
Les journalistes qui ont récemment exposé dans leurs livres, ou des articles sur le sujet, de manière exemplaire sont Walter Bowart, "Operation Mind Control", Jon Rappoport, "Les expériences du contôle mental du gouvernement sur les enfants" et Alex Constantine, "Dictature Psychic in the USA".

La société, dans son état apparent de vie "normale", est généralement dans la négation la plus écrasante de la preuve de ces choses, qui couvre plusieurs pays, des hommes politiques de hauts rangs, et des programmes secrets.

Plus porche de nous: L'exemple belge, l'affaire Dutroux et les dossiers noirs.
Pourquoi la Belgique dans le cadre de l'opération Monarch ?
Il faut savoir que ce petit pays, véritable carrefour stratégique au centre de l'Europe du Nord et qui abrite les cerveaux de grandes institutions internationales - l'Union européenne, l'Otan, le Shape, Eurocontrol etc... - a semble-t-il servi de laboratoires grandeur nature à certaines opérations de la CIA. Comme l'affaire des réseaux Stay Behind où la CIA implanta après la seconde guerre mondiale des réseaux dormants et des structures paramilitaires d'action, de subversion et de renseignements anticommunistes. On attribue à ces structures la paternité effective ou accidentelle des fameuses tueries du Brabant Wallon qui déstabilisèrent le pays au début des années 80, permirent au pouvoir de museler les groupes d'extrême-gauche et surtout, aboutirent à ce que la gendarmerie deviennent un corps de police surdimensionné et extrêmement centralisé.

Dans le droit fil de ce dossier des tueurs du Brabant-Wallon, certains journalistes bien installés - une minorité malgré tout - estiment que l'affaire Dutroux et des témoins X en sont le triste prolongement.
Pourquoi ?
Parce que tant l'affaire des tueurs que l'affaire Dutroux et consort constituent de véritables séismes institutionnels, de jolies opérations de déstabilisation qui transformèrent la Belgique en un état paranoïaque, dysfonctionnant et ultra-policé. Ensuite, il y a fort parier que personne ne connaîtra jamais la vérité sur l'affaire Dutroux comme ce fut le cas dans le cadre des tueries et de tous les autres « dossiers noirs » belges (il y en a eu tellement, de Stay Behind aux CCC, des télex de l'Otan aux affaires criminelles liées à certaines pointures politiques belges!) qui ont secoué l'actualité de ce petit pays.


Marc Dutroux
Les témoins "X"
Un petit mot d'abord sur ce qu'est l'affaire Dutroux pour le lecteur qui ne l'a pas suivie. L'affaire éclate en été 1996 lorsque la gendarmerie belge arrête Marc Dutroux et sauve d'un horrible sort deux fillettes terrifiées qu'il avait enlevées quelques semaines auparavant et dissimulées dans une cache habilement creusée dans la cave de sa petite maison de Marcinelle, une petite localité du Hainaut. Deux fillettes que toute la Belgique traumatisée par plusieurs vagues de disparitions d'enfants recherchait activement. Activement selon la version officielle car on découvrira avec stupeur au fil d'enquêtes piégées, de contre-enquêtes sabotées, de commissions d'enquêtes parlementaires manipulées que la gendarmerie n'avait pas estimé que la recherche des enfants était prioritaire et ce, pour des raisons que personne n'a à ce jour réussi à éclaircir. Par la suite, les enquêteurs découvrirent que Dutroux avait enlevé au minimum 4 autres fillettes (sans compter le trafic des filles d'Europe de l'Est) dont on découvrit les restes enterrés dans l'une de ces propriétés.

A ce jour, face aux aveux fluctuants de Dutroux (qui en fait nie presque toute responsabilité) personne n'a été en mesure de savoir si Dutroux faisait partie ou non d'un réseau international de pédophilie et d'enlèvements d'enfants. Mais un faisceau de présomptions semblent démontrer que l'intéressé était peut-être l'un des fournisseurs qui alimentait en chaire fraîche un réseau constitué de personnes de pouvoir (industriels, noblesse, magistrat, hommes politiques).
Pourquoi ?
Car entre autre chose, un mois après l'arrestation de Dutroux et consort, se présentèrent tour à tour à la cellule d'enquête de Neufchâteau (chargée de l'affaire) une série de témoins, tous adultes, ne se connaissant pas entre eux, provenant des 4 coins du pays, d'âge et d'origines sociales différentes et qui désiraient conserver l'anonymat. Raison pour laquelle les enquêteurs, en l'occurrence des gendarmes, les baptisèrent les témoins "X", à savoir X1, X2, X3 etc... selon leur ordre d'arrivée. Et les faits que certains de ces témoins, en fait la plupart d'entre eux ont dénoncés sont tellement horribles, tellement incroyables que même le plus tolérant, le plus ouvert des enquêteurs, à fortiori pour le grand public avait du mal à accorder du crédit à ces faits ainsi dénoncés. D'abord parce qu'il s'agit de faits d'une violence, d'une cruauté inimaginable et racontés sur le ton de la banalité : faits de cannibalisme (on contraignait les victimes à manger des morceaux de corps de nouveaux nés mis à mort puis dépecés), de mise à mort d'enfants par des chiens, de viols d'enfants par des animaux, de viols de bébés, de parties de chasse dont le gibier était des enfants etc... Le tout se passait toujours dans des parcs et des donjons de châteaux ou de grosses villas (dont certaines ont pu être identifiées). Mais le pire était que ces faits, décrits dans le détail auraient été perpétré outre par Dutroux et ses complices (ayant un rôle subalterne de fournisseurs) par des personnalités connues en Belgique et dans le monde: hommes politiques, gendarmes, magistrats, industriels et... certains membres éminents de la famille royale belge dont le comportement est décrit avec un tel luxe de détails. Et certains des récits divulgués par des témoins différents se recoupent étrangement. Si l'affaire n'a pas été révélée dans ses moindres détails dans la presse belge, elle le fut suffisamment pour ébranler et dégoûter totalement l'opinion publique. Et il y eut à cause des témoins X une réelle fracture en Belgique tant au sein de l'appareil policier ou médiatique qu'au cœur de l'opinion publique, une sorte de guerre entre croyants et non croyants, entre ceux qui estimaient que les témoins X disaient la vérité, toute la vérité et ceux qui pensaient que ceux-ci relevaient plus de la psychiatrie ou du phénomène de monstres de foire.
Une chose est certaine, ces témoins X même de bonne foi, ont sans doute saboté à leur insu l'ensemble de l'enquête Dutroux à cause du climat houleux de haines irrationnelles qui électrisa la suite des investigations. Il n'y eut plus moyen de poursuivre sereinement les recherches dans le seul pan de l'affaire dans laquelle on possédait des inculpés : Dutroux et consort. On est arrivé à une telle impasse, à un tel désaveu de l'enquête et du juge d'instruction (qui fait bien entendu partie du clan des « non-croyants » qui estime que Dutroux est un prédateur isolé qui a enlevé des fillettes pour agrandir sa famille et les adopter (sic)....) que la plupart des parents des petites victimes ne se rendront même pas au procès de Dutroux en 2004, estimant qu'il s'agira d'une vulgaire mascarade qu'il est inutile cautionner par une présence.

En ce qui concerne les témoins X, on n'en parlera pas ou peu dans le cadre du procès Dutroux puisque cette partie du dossier a été disjointe pour permettre des suites d'enquête qui ne viendront sans doute jamais.
Témoignages V.O
Voici le cas de Roland Haas" un tueur au service de la CIA comme liquidateur sans que sa propre famille ne le sache, décédé en 2010 avec son arme
Et égalemement le c "Duncan O'Finioan", le guerrier "ultime"
Geoo.
Sources:
Karmapolis.be
Wikipedia.be
images Google
David L. Carrico, "Le maçonnique Egyptien et ses Connections sataniques", 1992;
Walter H. Bowart, "Operation Mind Control", Editions Flatland, 1994, p. 216;
Martin Cannon, Mind Control et le gouvernement américain, les vents dominants Research, 1994, p. 19;
Linda Hunt, Secret Agenda, St. Martin's Press, 1991;
John Marks, "The Search For The Manchurian Candidate", Times Books, 1979, p. 60-61;
Rapport final du Comité spécial d'étude des opérations gouvernementales, US Senate, avril 1976, p. 387 à 422;
Barbara G. Walker, "le Dictionnaire féminin des symboles et des objets sacrés", Harper Collins, 1988;
Marshall Cavendish, Man, Myth and Magic, 1995;
Dr. Corydon Hammond, Le discour Greenbaum 1992; Définitions programmation Monarch, Mark Phillips et Cathy O'Brien 1993;
Fritz Springmeier, "The illuminati formulate for create an Undetectable Total Mind Controlled Slave", 1996;
Gerald L. Posner, "Mengele: The Complete Story", McGraw-Hill, 1986;
Lucette Matalon Lagnado, "Dr Josef Mengele" et "The Untold Story of the Twins of Auschwitz camp", Morrow, 1991;
Gordon Thomas, Journey into Madness: "The True Story of Secret CIA Mind Control and Medical Abuse", Bantam Books, 1989;
Cathy O'Brien et Mark Phillips, "Trance Formation of America" 1995;
DeCamp John, "The Franklin Cover-Up", "l'enfance maltraitée", "le satanisme" et "Assassiner dans le Nebraska", AWT Inc, 1992;
Anton Chaitkin, "Les Témoins de Franklin", "le FBI et des élites américaines impliqué dans la torture" et "Assassiner des enfants", Le Taurillon, 1993;
Jon Rappoport, "Expériences de contrôle mental avec la CIA sur les enfants", Perceptions Magazine, Septembre-Octobre 1995, p. 56;
David E. Rosenbaum, Esq., First Draft Vue d'ensemble des enquêtes sur le groupe, 1983-1993.

Programmation mentale par abus rituels... par JaneBurgermeister dSOURCE

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