Tout a commencé par un livre d’une rare insignifiance écrit prétendument par Stéphane Hessel.
Ce livre a bénéficié d’une promotion média extraordinaire ainsi que d’un réseau de distribution non moins exceptionnel. A titre d’exemple, la présence ou l’absence d’un livre dans toutes les FNAC est un excellent critère pour mesurer si un livre plaît ou déplaît au Système. Celui de M. Hessel y a bénéficié d’une présence ostentatoire exceptionnelle.
Le Mouvement des Indignés est apparu comme sympathique et a
attiré à lui de nombreux citoyens de bonne foi, notamment des jeunes.Ce livre a bénéficié d’une promotion média extraordinaire ainsi que d’un réseau de distribution non moins exceptionnel. A titre d’exemple, la présence ou l’absence d’un livre dans toutes les FNAC est un excellent critère pour mesurer si un livre plaît ou déplaît au Système. Celui de M. Hessel y a bénéficié d’une présence ostentatoire exceptionnelle.
Mais il y a eu, dès le début, quelques détails qui « clochaient », et qui ont alimenté nos soupçons. Ceux-si sont confirmés par les événements :
1)- le lancement marketing très élaboré d’un livre nullissime.

- pour quelles raisons ce livre sans intérêt (très « facile à lire », donc très probablement conçu par des spécialistes de marketing, et ne procédant à aucune analyse de fond) a-t-il bénéficié d’une telle publicité ?
- qui en a décidé ?
2) la médiatisation internationale dont ce mouvement a ensuite bénéficié.
Chose plus incroyable encore, le livre nullissime de M. Hessel a bénéficié ensuite d’une promotion internationale et d’une orchestration politique relayée par tous les médias.
Le « Mouvement des Indignés » n’a pas démarré en France comme il eût été logique compte tenu de la personnalité de M. Hessel mais en Espagne. Il a aussitôt fait l’objet d’une couverture médiatique mondiale.
Voici assurément un prodige lorsque l’on sait à quel point il est extrêmement difficile d’avoir accès aux médias lorsque l’on s’oppose théoriquement au Système en place – et nous sommes bien placés à l’UPR pour le savoir !
Questions :
- comment le « Mouvement des Indignés » a-t-il fait pour avoir accès à toutes les grandes télévisions et radios du monde, aussi facilement et en quelques jours ?
- qui en a décidé ?
3) la traque de certains militants, dont ceux de l’UPR, dans les rassemblements des « Indignés » en France
Lors des premières manifestations « d’Indignés » en France, un certain nombre de militants de l’UPR se sont rendus spontanément sur place. Nous n’avions donné aucune consigne et ils l’avaient fait spontanément, pour faire valoir leur point de vue.

On se reportera par exemple à cet article paru sur le site Indymedia
http://paris.indymedia.org/spip.php?page=imprimer&id_article=7198 .
Comme on le voit, les « surveillants antifascistes du Mouvement des Indignés » disposent de caméras à téléobjectif pour repérer les participants, et disposent aussi d’une banque de données personnelles propres à faire pâlir d’envie les Renseignements Généraux.
A l’évidence, le « Mouvement des Indignés » est donc infiltré par des services d’influence et de renseignements, qui traquent sans relâche quiconque s’attaque pour de vrai aux objectifs stratégiques de la haute finance et des États-Unis.
4) le Mouvement des « Indignés » n’a toujours aucune analyse de fond, invite les participants à la « non violence » et leur suggère de réclamer une gouvernance mondiale
Enfin, le nombre de mois écoulés depuis les premières manifestations des Indignés est désormais tel que l’on peut se faire une opinion d’ensemble sur ces différents mouvements :
- les analyses de fond sont toujours inexistantes, en particulier sur le rôle réel des États-Unis, de l’OTAN, de l’UE,
- le mouvement cultive une image de « non violence » à l’eau de rose,
- bien que « non violents », les participants ont été d’une extrême discrétion face à la guerre menée en Libye ; les « Indignés » ne s’indignent ni de ce qui se passe en Afghanistan, ni de ce qui se passe en Irak, ni de ce qui se passe en Libye, ni de ce qui se passe à Guantanamo, etc.
- ils sont en revanche fermement invités à se déclarer favorables à la construction européenne et à réclamer une gouvernance mondiale.
CONCLUSION
George Soros soutient les "Indignés"

Les centaines de milliers de participant sincères à ces Mouvements d’Indignés travaillent ainsi, sans le comprendre, pour le contraire même de ce qu’ils pensent. C’est une manipulation abjecte, hélas bien connue. Elle consiste à transformer des révoltés légitimes en « idiots utiles », servant la cause même qu’ils croient combattre.
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