Je suis loin d’être une spécialiste de la physique et
habituellement ce genre de sujet m’irrite le cerveau, mais ce texte m’informe
d’une arme stratégique monstrueuse qui m’était complètement inconnue et qui
dépasse la science-fiction habituelle. On imagine souvent HAARP responsable
de plusieurs phénomènes planétaires, mais...
Les Soviétiques ont planifié une supercherie. Dès le début de janvier 1960, Nikita Khrouchtchev a annoncé le développement en Union Soviétique d’une nouvelle arme fantastique.
Plusieurs phénomènes bizarres peuvent être reliés à cette superarme comme les ''BOUMS'' entendus dans plusieurs régions sur la planète ainsi que des visions de ciel lumineux en forme de nuage atomique.
Je crois même que plusieurs disparitions dans le triangle des Bermudes pourraient être la cause de ses mystères.
http://lolo1955gravoline.blogspot.com/2011/11/triangle-des-bermudes.html
Lire le texte en intégralité, il est long, mais vaut le détour.
Lolo
source
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L'armement secret scalaire US et soviétique
L’Electromagnétisme
scalaire, c’est l’Electrogravitation
L’électromagnétisme
scalaire est une extension de l’électromagnétisme (EM) actuelle qui inclut la
gravitation. C’est une électrogravitation unifiée, et, ce qui est plus
important, c’est une théorie unifiée. Ses bases ont été découvertes par Nikola
Tesla.
Dans
l’extension EM scalaire, l’énergie du champ EM peut être transformée en énergie
de champ gravitationnel et vice et versa. Cette transformation peut être
structurée et localisée, dans des zones ou objets spécifiques. Un tel passage
contrôlé de l’électromagnétisme à la gravitation n’est pas possible dans l’EM
normal ou la physique actuellement enseignée dans les manuels occidentaux.
Cependant
des fragments et morceaux de cette théorie ont été éparpillés à travers la
littérature de physique depuis quelque temps, mais aucun scientifique orthodoxe
de l’Ouest ne semble avoir réalisé que ces portions anormales pouvaient être
intégrées en une nouvelle physique étonnante. Des expérimentateurs non
orthodoxes, des inventeurs, et des scientifiques ont réalisé des découvertes
dans cette arène depuis plusieurs décades, mais de nouveau personne n’a réalisé
les implications exactes ou la manière précise dans laquelle leurs résultats
pouvaient être combinés avec la physique électrique actuelle.
Fer-De-Lance
Une telle
léthargie n’est certainement pas présente en Union Soviétique. Depuis au moins
trois décennies, l’Union Soviétique a développé l’électrogravitation et l’a
appliquée pour développer d’étranges nouvelles armes secrètes d’une capacité et
d’une puissance incroyables. Ils ont poursuivi le plus grand programme de
développement d’armes jamais lancé par aucune nation et, de manière efficace,
ils l’ont tenu caché des yeux occidentaux indiscrets. J’ai appelé ce programme
"Fer-De-Lance", d’après le serpent mortel d’Amérique du Sud du même
nom.
Le
redouté fer-de-lance est un serpent d’une grande agilité dont l’effet de la
morsure est létal. Il dresse souvent une embuscade à sa proie infortunée, et
frappe à l’improviste sans prévenir. Sa première frappe soudaine est
habituellement mortelle à sa victime qui expire rapidement en se tordant de
convulsions dans son agonie. Puisque le développement soviétique d’armes scalaires
électromagnétiques a été prévu pour le même but, le nom semble approprié.
Un effort
équivalent à environ sept projets Manhattan a été placé dans Fer-De-Lance par
les Soviétiques, et le programme a réussi presque au-delà de l’imagination. Les
sinistres armes sont maintenant développées, déployées, et testées. L’embûche
est complète ; fer-de-lance est enroulé et prêt à frapper.
Les armes
"énergétiques" et "à énergie dirigée (DEWs)"
Le nom
soviétique ordinaire pour ce type de science de l’armement est "énergétique".
À l’Ouest ce terme est habituellement associé aux armes à énergie dirigée conventionnelle
(DEW) [Directed Energy Weapons] comme les armes à faisceaux de particules,
lasers, systèmes d’énergie dirigée en radio-fréquences (RF), etc. Les Soviétiques
ne limitent pas le terme de cette façon.
Les
scientifiques occidentaux se sont uniquement familiarisés avec les armes à
énergie dirigée où, des fragments, des masses, des photons, ou des particules,
parcourent l’espace et entrent en contact avec la cible pour délivrer leurs
effets. À partir de là, dans leur pensée, ils limitent le terme soviétique
"énergétique" aux types d’armes qu’eux-mêmes comprennent — armes exotiques,
mais normales c’est-à-dire utilisant une énergie ou une masse traversant
l’espace et allant impacter une cible.
Cependant
il est possible de focaliser un potentiel afin que les effets d’une arme
aillent au travers de l’espace-temps lui-même, de manière que masses et
énergies "ne parcourent pas l’espace" entre l’émetteur et la cible.
Au lieu de cela, les ondulations et les structures dans la fabrique de l’espace-temps
lui-même sont manipulées pour se rencontrer et interférer à, et dans, l’espace-temps
local depuis une quelconque distance de la cible. Là, l’interférence de ces
structures ondulatoires crée l’effet énergétique désiré (d’où le terme
"énergétiques") dans et à travers la cible elle-même, émergeant de
l’espace-temps (du vide) dans lequel la cible est incorporée dans le lieu où
elle se trouve à distance. "Énergétiques", comme les Soviétiques
l’utilise, se réfère à ces sinistres nouvelles armes, ainsi qu’aux plus banales
DEW connues à l’ouest.
En
conséquence de la découverte soviétique et de décennies de développement
fébrile, des armes stratégiques monstrueuses insoupçonnées à l’ouest sont déjà
dans les mains des Soviétiques. Un nœud coulant est lentement et fermement
resserré sur nos gorges, et il est déjà la onzième heure.
Les Soviétiques
ont planifié une supercherie.
Parallèlement
à ce programme de développement supersecret, les Soviétiques ont développé et
mis en oeuvre un plan de mystification pour dissimuler ces armes étonnantes,
ainsi que leur nature, des regards occidentaux jusqu’à ce qu’il soit trop tard.
La mystification soviétique a si bien réussi que même lorsque les scientifiques
occidentaux sont confrontés avec les tests réels de ces armes directement au
dessus de leurs têtes, ils n’identifient pas l’arme de guerre ni la nature des
effets produits.
Dès le
début de janvier 1960, Nikita Khrouchtchev a annoncé le développement en Union
Soviétique d’une nouvelle arme fantastique.
Le 10 avril
1963, l’une des premières nouvelles superarmes déployées opérationnellement a
été utilisée pour détruire le sous-marin atomique U.S.S. Thresher en plongée,
au large de la côte est des États-Unis. Le jour suivant, le 11 avril 1963, la
même superarme déployée a été utilisée dans un mode différent pour produire une
explosion sous-marine géante dans l’océan sur la Fosse de Porto Rico à 160
kilomètres au nord de Porto Rico.
Au fil
des années, différents avions ont subi des interférences ou ont été descendus par
les essais de ces armes soviétiques. Un cas particulier concernait la perte
mystérieuse de plusieurs F-111 dans le conflit du Vietnam. Au moins un équipage
de F-111 descendu a été récupéré dans les échanges de prisonniers de guerre qui
ont suivi. Sur cet avion tous les systèmes électriques se sont trouvés en
difficulté simultanément. Cela était probablement dû aux équipes soviétiques
spéciales convertissant des systèmes radars de missile nord-vietnamien SA-2 au
mode EM scalaire, et employant une interférence de "faisceau
scalaire" pour produire des bruits EM parasites dans les systèmes
électriques et électroniques de l’avion.
Regardez ces étranges lueurs dans le ciel du Sichuan, 20 minutes avant le tremblement de terre du 12 mai 2008; c'est le signe d'une attaque scalaire (américaine, celle-là) sur le centre d'agriculture de la Chine...l'une des zones les plus stables et les plus solides de la Chine et du monde.
Vingt minutes après ce film, il ne reste rien de ce que vous voyez: la terre a tremblé sur une magnitude de 8 sur l'échelle de Richter, tuant 69 000 personnes, faisant plus de 18 000 disparus et 472 000 sans-abri.
9 ans auparavant, une autre attaque scalaire américaine a envoyé sur la France, en plein hiver ...une tempête tropicale ( 1999) sur les côtes de Bretagne et de Vendée, parce que Lionel Jospin refusait de signer des accords désavantageux pour la France, à l'OMC.
En
conséquence, il est possible d’accroître directement la masse d’un objet, en
lui transmettant des ondes EM scalaires pour qu’il les absorbe. (Cela signifie
qu’il y a plus d’ondes scalaires à pénétrer l’objet qu’à le quitter, donc
l’objet agit comme un accumulateur augmentant sa charge interne. Cela se fait
en s’assurant que le potentiel de référence de l’émetteur d’onde scalaire est
plus élevé que le potentiel de référence de l’objet irradié.)
Il est
également possible de diminuer directement la masse d’un objet en lui
transmettant des ondes EM scalaires, de façon qu’il émette plus qu’il
n’absorbe. (Cela signifie qu’il y a plus d’ondes scalaires à quitter l’objet
qu’à le pénétrer, donc l’objet agit comme un accumulateur diminuant sa charge
interne. Cela se fait en s’assurant que le potentiel de référence de l’émetteur
scalaire est plus bas que le potentiel de référence de l’objet irradié.)
Comme on
peut le constater, « l’émetteur » d’onde scalaire est en réalité
quelque peu comparable à une pompe à chaleur ; il peut agir soit comme un
« émetteur d’énergie » ou soit comme un « extracteur
d’énergie », selon la différence de potentiel entre
« l’émetteur » et le « receveur ».
Une
résonance scalaire peut avoir une structure spécifique : tant dans ses
aspects courbures spatiales et fréquences que dans ses aspects « débit
d’écoulement du temps ». En effet, du point de vue scalaire chaque objet à
son « modèle scalaire » individuel lequel est une empreinte digitale
unique. Puisque cette empreinte est spatio-temporelle, c’est un produit de
l’histoire passée entière de cet objet. Donc - d’un point de vue scalaire -
deux objets ne peuvent être identiques.
Cela
montre un autre potentiel plutôt étonnant : si un modèle scalaire
suffisamment précis d’un objet peut être « irradié » et mis en
résonance par des ondes scalaires, on peut, à distance, créer de l’énergie à
l’intérieur de l’objet ou en extraire, tout comme un diapason stimulé peut en
exciter un autre à distance par résonance sympathique. Je vous laisse vérifier
le rapport de cette assertion à la clairvoyance, radionique, vision à distance,
etc.
Pour le
sceptique, cependant, nous devons signaler que — rigoureusement — la mécanique
quantique exige que, continuellement, dans n’importe quelle région localisée de
l’espace-temps, le « pattern » de n’importe quel objet dans l’univers
apparaisse momentanément en l’état virtuel, d’un point de vue purement
statistique seulement. Aussi longtemps que la situation reste statistique,
n’importe quel lieu dans l’univers peut continuer d’avoir les
« fantômes » de tout ce qui est présent là, dans un modèle fin et
éthérique, et le monde observable n’en sera pas affecté. Cependant si on peut
distinguer et « charger » scalairement ou « décharger » des
modèles individuels dans ce « royaume fantôme », l’action à distance
est directement possible, comme l’est la matérialisation et la
dématérialisation. Si on accepte que même une pensée elle-même produise un tel
« pattern-fantôme » virtuel dans le flot de particules virtuelles du
vide, alors il est au moins théoriquement possible de matérialiser des pensées
et des images pensées.
Nous
sommes entrés dans une nouvelle sorte de réalité où les anciennes règles et les
anciennes limitations ne s’appliquent pas nécessairement.
Comme
signalé, nous pouvons grandement simplifier le problème en le considérant comme
des « courants de résonances scalaires », ces courants coulent du
potentiel le plus élevé vers le potentiel plus bas, indépendamment de ce que
nous considérons « émission » ou « réception ». En effet,
émettre à un potentiel plus bas c’est recevoir, et recevoir à un potentiel plus
haut c’est émettre. Donc « l’émetteur-récepteur » est un système
spécial où en biaisant simplement deux nœuds différemment on détermine dans
quel sens la résonance scalaire s’écoulera. On peut augmenter et diminuer la
masse et l’inertie d’un objet, simplement en biaisant d’une manière appropriée
les deux nœuds de l’émetteur-récepteur.
Lors
d’une expérience accidentelle d’une durée de quelques heures, Golden a chargé
une zone de sorte que, localement toutes les horloges ont été faussées, cela
incluait des horloges électriques, des montres à piles et une horloge ancienne
à pendule, le débit du flux de temps lui-même a été apparemment altéré dans la
zone locale par la charge accumulée, laquelle a mis quatre jours à s’épancher
et se décharger. Au bout de quatre jours de décharge, toutes les horloges et
les montres sont revenues à la normale.
Si nous
faisons interférer deux émetteurs dans une région de grande énergie - telle que
le noyau en fusion de la Terre elle-même - et réglons l’émetteur négativement,
nous pouvons extraire une énergie énorme directement de cette source !
En effet,
c’est précisément par une légère variation de cet effet que les Soviétiques
obtiennent l’énergie énorme avec laquelle ils alimentent leurs armes EM scalaires
stratégiques « continent-buster » incroyablement puissantes. Des
paires de fréquences scalaires - séparées de 12 kilohertz - sont émises dans la
Terre elle-même sur certaines portions de la courbe de fréquence de la
« gigantesque résonance scalaire » de la Terre. Le positionnement
approprié des émetteurs l’un par rapport à l’autre produit une haute différence
de potentielle (voltage) entre eux. En les positionnant simultanément
négativement par rapport au noyau en fusion de la Terre, il en résulte un
courant de résonance scalaire depuis le noyau vers les deux émetteurs.
Dans la
« boucle extérieure » entre les deux émetteurs scalaires, apparaît un
voltage gigantesque et un courant électrique gigantesque qui peut être capturé
par des moyens appropriés, cette puissance électrique est capturée et transmise
à des systèmes d’armes EM scalaires incroyablement puissantes. Là des
accumulateurs spéciaux couplés à des commutateurs sont utilisés pour fournir
d’énormes quantités de puissance à chaque arme.
Juste
avant le 1er mai 1985 l’Union Soviétique a effectué un test opérationnel de son
complexe entier d’armes EM scalaires stratégiques. Ce test a été détecté et
surveillé périodiquement par Frank Golden, quelques 27 de ces « vannes
géantes d’énergies » soviétiques ont été verrouillées dans le noyau en
fusion de la Terre, produisant une résonance scalaire forcée de la planète
entière sous nos pieds, sur 54 fréquences contrôlées. Le reste du spectre de
fréquences scalaires était embrassé par littéralement des centaines d’émetteurs
scalaires soviétiques : probablement la commande et le contrôle entier du
système scalaire stratégique des sous-marins, les plus hauts centres de
commandes, les commandes à distance, etc., étaient activés dans l’exercice
gigantesque.
Durant
plusieurs jours le système était en action à une échelle époustouflante,
apparemment faisant partie de la célébration hautement commémorée du 40e
anniversaire de la fin de la Deuxième Guerre mondiale.
Ironiquement
pas un seul service de renseignement, laboratoire, ou scientifique américain
n’a détecté cet exercice monstrueux pour le nouveau leader soviétique,
Gorbatchev. Pas un d’entre eux n’avait un détecteur de rayonnement EM scalaire,
et aucun d’entre eux ne dira - officiellement - que l’exercice n’ait jamais eu
lieu.
Création
d’énergie à distance
Un
dispositif plus utile est obtenu en utilisant un interféromètre scalaire où les
deux émetteurs émettent des rayons qui se croisent à distance. Dans la zone
d’interférence, une bouteille d’énergie est créée.
En
réglant les potentiels de référence de l’émetteur bien au-dessus de ceux de la
bouteille d’énergie distante, une énergie EM émerge dans cette zone, dans ce
cas l’interféromètre fonctionne dans le mode exothermique.
En
réglant les potentiels de référence de l’émetteur bien au-dessous de ceux de la
bouteille d’énergie distante, une énergie EM est extraite de la zone distante
et émerge de l’émetteur, dans ce cas l’interféromètre fonctionne dans le mode endothermique.
Si
l’émetteur émet continuellement, l’effet dans la zone distante est continu. Si
les émetteurs émettent par pulsation et que les deux pulsations se rencontrent
dans la zone d’intersection distante, alors une extraction ou émergence
explosive d’énergie a lieu dans la zone d’interférence distante, selon que
l’interféromètre fonctionne dans le mode endothermique ou exothermique.
Mode exothermique (interféromètre
scalaire)
Pour un
interféromètre scalaire, « del phi » (le gradient du potentiel)
s’applique entre le site de l’émetteur et le site d’intersection distant, pas à
l’espace existante entre les deux. Donc on parle du « flux
d’énergie » existant entre l’émetteur et l’intersection - sans rien entre.
Dans l’espace intermédiaire, toute l’énergie existe comme un potentiel
artificiel verrouillé (potentiel d’écoulement du gradient).
Dans le
mode exothermique le potentiel terre de l’émetteur est réglé bien au-dessus du
potentiel terre du vide ambiant, l’énergie entre dans l’émetteur et
« disparaît », pour « réapparaître » dans la zone
d’interférence distante.
Si une
émission continue d’onde est utilisée, l’énergie apparaît de manière continue
dans la zone distante.
Si une
émission pulsée est utilisée et prévue pour que les deux pulsations scalaires
se rencontrent dans la zone distante, une énergie explosive y apparaît alors.
Si des
fréquences multiples sont émises à la manière d’une expansion de Fourier d’une
forme géométrique particulière, alors une forme d’énergie tridimensionnelle
apparaît à l’intersection distante. De cette façon une coquille (ou obus)
sphérique ou hémisphérique (un globe ou un « dôme » d’énergie EM)
peut être créée à distance, si une émission pulsée est utilisée, ce sera une
émergence impulsive ou explosive de cette forme d’énergie, si une émission
continue est utilisée, ce sera une forme rayonnante continue.
En
alimentant des émetteurs incroyablement puissants avec de grandes quantités
d’énergie extraites du noyau en fusion de la Terre grâce à des « vannes
d’énergies », de très vastes globes sphériques et dômes hémisphériques
d’énergie EM peuvent être créés à distance. L’énergie dans la
« coquille » d’interférence d’une telle sphère ou hémisphère est
suffisamment dense pour soulever le problème de Dirac depuis la mer de vide de
Dirac, ainsi la coquille contient un plasma rayonnant.
Les
signatures d'obusiers scalaires
De telles
signatures d’obusiers scalaires ont été vues de nombreuses fois sur les océans,
particulièrement sur le nord Pacifique par des avions de ligne allant ou venant
du Japon. (Rappelez-vous il y a quelques mois la grande histoire du vol JAL
dans lequel tous les passagers et l’équipage ont vu un « OVNI »
sphérique géant.) De tels globes et dômes de lumières ont été vus également
bien à l’intérieur de l’Union Soviétique, par des observateurs en Afghanistan
et par des pilotes d’avion atterrissant en Iran.
Dans le
mode exothermique impulsif, un grand flash visible peut avoir lieu si l’énergie
EM est produite dans le spectre visible. Des flashes dans l’infrarouge peuvent
également avoir lieu si l’énergie émergente est dans cette bande spectrale. En
septembre 1979 nos satellites Vela ont détecté un tel grand « flash
nucléaire » sur l’Atlantique Sud, au large des côtes du sud de L’Afrique,
un second « flash nucléaire » a été détecté par les satellites Vela
en 1980 lequel était dans l’infrarouge uniquement. Il y a quelques années, une
série de « flashes » et « boums » anormaux ont eu lieu au
large de la côte est des États-Unis, ils étaient dus à l’orientation,
alignement et enregistrement, d’un ou plusieurs « obusiers scalaires »
— des interféromètres EM scalaires dans le mode exothermique.
De grands
« boums » ont eu lieu sur le site de lancement de la navette à Cap
Canaveral, associé avec trois lancements de navettes avant la fin novembre
1985. C’étaient les essais de ces obusiers EM scalaires exothermiques, qui
étaient en train d’être testés en tant que système ABM en phase de lancement
soviétique, dans ce mode, les pulsations scalaires des deux émetteurs sont
injectées dans des « canaux » EM scalaires référence zéro spéciaux
lesquels sont établis dans les transporteurs EM des radars au-delà de l’horizon
de Woodpecker (Pivert). Les pulsations scalaires voyagent par ces canaux,
voyageant dans le rayon EM ordinaire de l’émetteur et le suivant dans sa
courbure autour de la Terre dans le guide d’ondes ionosphérique terrestre. Les
pulsations scalaires sont prévues, mises en phase, et orientées afin de
rencontrer la navette s’élevant. Dans ces tests les émissions étaient décalées
dans le temps afin que la navette ne soit pas détruite en fait, mais le système
pouvait être testé contre des lancements réels de navettes aux AMÉRICAINS Les
utilisations spécifiques de ces différents modes exothermiques seront abordées
dans des sections ultérieures de ce dossier.
Dans le
mode endothermique, le réglage de l’émetteur est tel qu’une énergie est
extraite de la zone d’intersection distante, pour réémerger de l’émetteur, là
l’énergie doit être capturée et déployée pour ne pas griller les émetteurs.
Lorsque de très grandes quantités d’énergies sont extraites de zones distantes,
les Soviétiques utilisent souvent une méthode « dépôt » de capture et
stockage temporaire dans un accumulateur, l’énergie calorifique émergeant des
émetteurs, un second obusier en mode exothermique est alors alimenté par une
« vanne d’énergie scalaire » établie dans l’accumulateur. Cet obusier
est focalisé sur le site dépôt distant - souvent Bennet Islande, où des
échappements sont continuellement observés par des satellites météorologiques
américains.
Dans le
mode endothermique impulsif, l’énergie est extraite impulsivement de la zone
d’intersection distante, le résultat dans l’atmosphère est un refroidissement
très pointu ou « explosion froide », il en résulte aussi un type de
boum et de grondement souvent associé au tonnerre après l’éclair de la foudre.
Le 9
avril 1984, l’Union Soviétique a testé une telle « explosion froide »
au large des côtes du Japon, près des îles Kuril, la « zone froide »
a soudainement induit une basse pression, l’eau océanique a été brusquement
absorbée de l’océan formant un nuage dense. Puis l’air s’est précipité dans la
zone de basse pression et a forcé le nuage a s’élever en formant un champignon
tout comme dans une explosion atomique excepté l’absence d’un flash et
l’absence d’onde de choc se répandant depuis le centre de l’explosion.
Lorsque
le nuage s’élève, il augmente de volume par mixage - de la même façon qu’un
cumulonimbus se développe, sauf qu’il est beaucoup plus rapide, dans ce cas le
nuage s’est élevé à approximativement 18000 mètres en 2 minutes environ, en
gonflant jusqu’à atteindre un diamètre d’environ 300 kilomètres. L’incident a
été vu par les pilotes et les équipages de plusieurs Boeing 747, des avions de ligne
qui voyageaient dans le voisinage. Quelque temps après, une photo du secteur
est arrivée, prise par un satellite météorologique américain, le nuage dans
cette photo avait une distribution de densité anormale, différente de celle de
tous les autres nuages dans cette zone.
Le
« grand oeil » de Tesla pour la vision à distance
Nikola
Tesla a conçu une utilisation très spéciale pour son interféromètre scalaire
endothermique, il l’a conçue pour produire son « grand œil pour voir à
distance ». Le système utilisé pour réaliser cela est juste légèrement
endothermique, de manière que seule une petite quantité d’énergie est extraite
de la cible distante, au fur et à mesure un receveur ouvert
« scanne » les rayons, temporellement, d’un côté à l’autre et de haut
en bas. En balayant un autre rayon traversant la zone d’intersection, ayant des
pulsations en phases, une représentation encore meilleure peut être obtenue.
Finalement le receveur génère une représentation de l’énergie qui a été
extraite de différents endroits de la zone endothermique distante, en affichant
les signaux reçus sur un écran de scanneur approprié, une représentation de la
scène distante peut être créée. C’est un genre particulier
« d’interféromètre micro-ondes », et - avec les techniques modernes -
les images obtenues peuvent être étonnamment bonnes. Avec le développement,
cela pourrait même devenir aussi bon que les images obtenues par les radars
d’acquisitions en vue de côté. Il est assez intéressant de noter que, puisque
les rayons scalaires pénètreront assez facilement sous la surface de la terre
et des océans, on peut aussi regarder sous la surface de la terre et des océans
avec ce type de scanneur par interférométrie scalaire.
L’importance
de cette capacité de reconnaissance stratégique et tactique est évidente.
Camouflage, couverture et dissimulation n’ont plus aucun effet face à un tel
système. On peut facilement observer l’intérieur des bâtiments et dans les
équipements souterrains. Avec un petit système comme celui-là, les fusiliers
marins américains à Khe Sahn n’auraient pas eu de grandes difficultés à situer
les tunnels qui étaient creusés en permanence sous le périmètre par le Viet
Cong, et les cibles sous les cahutes de la jungle sont directement visibles.
Il est
aisé d’imaginer que ce système est facilement adaptable à l’utilisation
sous-marine. Un type de radar « sous-marin ». Avec un tel dispositif,
le problème posé par les sous-marins nucléaires en plongée est résolu. Par
exemple, une zone entière peut être continuellement fouillée, exactement comme
des systèmes de radars d’acquisitions le font maintenant. Un sous-marin peut
être détecté et suivi à la trace alors qu’aucun de ses détecteurs ordinaires ne
détectera quelque chose de particulier. En utilisant une paire séparée de
rayons dans le mode exothermique, de puissantes pulsations scalaires peuvent
être envoyées au sous-marin, s’intercroisant au niveau du sous-marin dans un
violent effet EMP partout dans le sous-marin et son armement. Ainsi le
sous-marin et tous ses missiles sont détruits instantanément.
Ou bien,
une transmission exothermique continue peut être employée par l’arme de visée à
un niveau de puissance moindre, interférant progressivement avec les systèmes
électriques du sous-marin et provoquant une perte de contrôle. Le sous-marin
coule alors, puis est écrasé par la pression des profondeurs et implose.
C’est
précisément ce scénario qui semble être arrivé au sous-marin nucléaire
américain Thresher. Il a laissé une signature : le sous-marin compagnon
qui croisait dans son voisinage en surface, l’U.S.S. Skylark, était dans une
« zone éclaboussée » par l’interférence scalaire sous-marine.
C’est-à-dire qu’un bruit EM parasite a été généré dans tous les systèmes
électriques du Skylark, dont certains ont été en fait mis hors service. Le
« blocage électronique » était si intense qu’il a fallu plus d’une
heure et demie au Skylark pour transmettre un message de secours au quartier
général que le Thresher avait un grave problème et que son contact avait été
perdu. Certains des systèmes de communications du Skylark étaient en fait hors
d’usage, mais sont redevenus fonctionnels plus tard de manière inexplicable,
une fois que le blocage avait disparu. Ce type de « blocage » de
bandes multiples et d’équipements électroniques multiples, tout comme le
fonctionnement anormal de l’équipement électronique et son rétablissement
mystérieux ultérieur, étaient les signatures directes de l’interférométrie
scalaire contre la cible sous-marine dans le voisinage du Skylark. Le jour
suivant, le 11 avril 1963, le même système d’obusier EM scalaire soviétique a
été testé dans le mode pulsé « destruction de sous-marin ». Une
énorme détonation EM sous-marine a eu lieu au large de la côte de Porto Rico, à
environ 160 kilomètres au nord de l’île, l’explosion sous-marine a provoqué un
énorme bouillonnement de la surface de l’océan, suivi par l’élévation d’un
champignon géant d’eau d’environ quatre cents mètres de hauteur, le champignon
d’eau est ensuite retombé dans l’océan, achevant la signature.
Par
chance tout l’incident a été observé par l’équipage effrayé d’un jet de ligne américaine
qui était en train d’effectuer son contrôle de position dans ce secteur. (Voir
J. durant, “An underwater explosion - or what ?”, Pursuit, 5(2), avril
1972, p. 30-31.)
Ces deux
incidents étaient des tests opérationnels en mode réel des superarmes
nouvellement déployées de Khrouchtchev, il a probablement organisé ce coup de
poing spectaculaire dans un effort désespéré de retrouver un prestige devant le
parti communiste après sa désastreuse déconvenue face à Kennedy dans la crise
des missiles cubains quelques mois auparavant seulement. Apparemment la
tentative fut couronnée de succès, puisqu’il est resté au pouvoir encore un an
avant d’en être écarté.
Nuage en
forme de champignon au large du Japon près de la zone de test russe
Ce qui
suit concerne « l’explosion froide » du 9 avril 1984. Le site de
l’explosion était seulement à environ 320 kilomètres du centre-ville de Tokyo,
il a été vu par les équipages de plusieurs avions de ligne, dont le vol 36 de
la Japan Air Lines.
Peu de
temps auparavant les Soviétiques avaient annoncé à la hâte que des essais de
missiles seraient menés dans une zone peu distante de l’ancien site
d’explosion. Cela a pu être une tromperie pour couvrir cet incident, n’importe
quelle nation dirait qu’elle savait ce qui était en train de se passer.
C’était
également un « stimulus » direct aux Japonais et au reste du monde.
C’est-à-dire stimuler le système et voir si les scientifiques reconnaissent ce
qui s’est passé. Si c’est le cas, alors ils connaissent les armes scalaires. Si
ce n’est pas le cas, alors ces pays ne savent rien des armes EM scalaires, et
ces pays sont sans défense contre eux. Quoi qu’il en soit, vers 5 heures 14
minutes, temps standard du pacifique, le 9 avril 1984, un nuage géant en forme
de champignon a surgi au dessus de l’océan au sud des îles Kuril. Le champignon
s’est élevé rapidement, montant à une altitude de 18000 mètres et atteignant un
diamètre de 320 kilomètres en 2 minutes. Un pilote de Boeing 747 qui a observé
le nuage était un ancien pilote de bombardier B-52. Il a décrit le nuage comme
étant très similaire à celui d’une gigantesque explosion nucléaire, excepté
qu’il n’y avait aucun flash de lumière visible. Optant pour une action
d’évasion, il a dévié sa trajectoire pour s’éloigner de l’explosion, et il
s’est préparé à encaisser le choc de la détonation qui n’est jamais venu...
Un nuage
en forme de champignon s’élevant de la mer (explosion froide)
En effet,
ce nuage fortement anormal était dû à une explosion froide - un test d’un
obusier EM scalaire soviétique en mode endothermique pulsé. Ainsi un test et un
beau « stimulus » ont été menés : seuls quelques avions de ligne
ont été « alarmés », fournissant un stimulus de haut niveau aux
observateurs compétents. Il était certain que les informations soient rapportées
de cette manière à différentes nations, il était certain que la presse s’empare
de l’histoire, c’était un stimulus de niveau élevé pour voir si les États-Unis,
le Japon, ou d’autres adversaires potentiels de l’Union Soviétique
reconnaissaient l’essai d’une arme à explosion froide. Par notre réaction nous
les avons assurés (avec un indice de confiance élevé) que nous ne savions
encore rien de l’interférométrie EM scalaire ou des explosions froides. Cinq
Boeing 747 en route pour Anchorage en Alaska, ont volé au travers et à
proximité du nuage, les avions ont été contrôlés à Anchorage pour la contamination
radioactive, mais rien n’a été trouvé, cela démontrait que l’énorme explosion
était non-nucléaire. La profondeur de l’océan dans cette zone est d’environ
6300 mètres, c’est en fait trop profond pour qu’un volcan sous-marin ait
explosé et provoqué le nuage. (En plus un volcan aurait continué à renifler au
moins un peu, ce qui élimine cette explication de l’incident.) Bref, un
phénomène fabriqué par l’homme a tout lieu d’être.
En
conséquence, nous savons que c’était une explosion froide, en fait, l’effet de
base a été reproduit en laboratoire sur une bassine d’eau, en utilisant un
petit interféromètre scalaire dans le mode endothermique. Mais l’histoire ne
s’est pas arrêtée là.
Un
géophysicien de l’université d’Hawaï, le Dr Daniel A. Walker, avec ses
collègues, contrôlait un ensemble d’hydrophones sur le fond de l’océan,
enregistrant les signaux tels qu’évènements sismiques, éruptions de volcan,
etc.
Le
Docteur Walker et ses collègues ont effectué une analyse complète des données
enregistrées par les hydrophones durant et aux alentours du moment de
l’incident en question, les données montrent l’absence d’un quelconque séisme
naturel ou évènement volcanique qui aurait pu provoquer le phénomène du 9 avril
au large des côtes du Japon. Lui et ses collègues ont conclu que c’était soit
un phénomène naturel inconnu, soit un phénomène d’origine humaine. Leur rapport est publié dans « Science ». (Dr Walker,
« Kaitoku Seamount and the Mystery Cloud of 9 April 1984,” Science, 227
(4687), Feb. 8, 1985, p. 607-611.)
Le
bouclier Tesla
L’obus
hémisphérique d’énergie qui il y a quelques années a été surnommé le
« Bouclier Tesla », présente un intérêt particulier.
Deux
surfaces hémisphériques scalaires sont créées en utilisant des émetteurs à
fréquences multiples et des expansions de séries de Fourier tronquées.
L’interférence des deux hémisphères scalaires crée un grand obus hémisphérique
lumineux d’énergie électromagnétique ordinaire, dans l’obus la densité
d’énergie est suffisante pour soulever le problème de Dirac de la mer de vide
de Dirac, l’obus est ainsi rempli d’un plasma rayonnant.
Une telle
coquille peut avoir plusieurs centaines de kilomètres de diamètre à la base.
L’énorme énergie nécessaire pour former un tel bouclier de défense est obtenue
par une « vanne d’énergie scalaire » dans le noyau en fusion de la
Terre elle même comme cela a été expliqué précédemment. Fin avril début mai
1985, 27 de ces « vannes d’énergies » ont été placées dans la Terre
par les Soviétiques, si chaque vanne est capable d’actionner 4 à 6 grandes armes
EM scalaires, alors l’arsenal stratégique EM scalaire soviétique contient plus
de 100 monstrueuses superarmes capables de produire des explosions
exothermiques, des explosions endothermiques, de manipuler le climat, de
localiser et détruire des sous-marins en plongée, de détecter et détruire des
missiles balistiques très rapidement après le décollage, de détecter et
détruire des bombardiers stratégiques à longs rayons d’action aussitôt qu’ils sont
en vol, etc.
En tous
cas, le bouclier géant de Tesla est utile contre n’importe quel véhicule
essayant de pénétrer, si l’obus n’est pas si grand, sa densité d’énergie peut
être très haute, dans ce cas, le chauffage intense du plasma fusionnera et vaporisera
même des corps métalliques. De plus, n’importe quel véhicule rencontrant la
coquille est soumis à un effet EMP extrêmement intense se générant partout à
l’intérieur de ses circuits. Un blindage EMP est inefficace contre la création
d’énergie à travers l’espace-temps de ses circuits ; un tel blindage
protégera seulement contre un flux d’énergie circulant dans l’espace d’une
manière conventionnelle.
Donc
l’électronique de n’importe quel véhicule rencontrant le bouclier est
instantanément dégradée, qu’il soit ou non blindée contre les interférences
électromagnétiques ordinaires (EMI). Cela inclut les systèmes électroniques des
ogives nucléaires portées par un véhicule de rentrée, électriquement tout ce qui
pénètre la coquille est totalement dégradé , ensuite les matériaux explosifs
sautent quand un tel effet EMP est rencontré, et les matériaux combustibles se
consument rapidement ou sont mis à feu. La protection d’ablatif subit une
catastrophe intéressante, puisque l’énergie n’essaye pas de s’immiscer dans la protection,
mais y surgit partout simultanément, l’ablation a lieu partout à l’intérieur du
matériau ablatif et le fait simplement exploser instantanément. De plus, pour
les boucliers Tesla plus petits (disons de 80 kilomètres de diamètre) la densité
d’énergie est suffisante pour fondre ou vaporiser les métaux tels que les
structures de missiles.
Avec un
tel bouclier Tesla, il n’y a aucun besoin de distinguer les véhicules de
rentrée portant de vraies ogives des leurres, balles, etc. Tout le « désordre »
entrant dans le bouclier est simplement « nettoyé » et
« stérilisé » ou détruit. Le bouclier peut s’occuper des ICBM/IRBM et
leurs têtes nucléaires, des bombardiers stratégiques et leurs bombes
nucléaires, des véhicules de rentrées et leurs ogives, des leurres, des balles,
etc.
Direction
Saryshagan - septembre 1979
Le
journal “London Sunday Times” du 17 août 1980 contenait une information et un photocroquis
d’incidents dénotant les essais de très grands globes Tesla bien à l’intérieur
de l’Union Soviétique, les observations ont été faites en Afghanistan par Nick
Downie un caméraman de guerre britannique. Les phénomènes aperçus étaient dans
la direction de la zone d’essais de missile de Saryshagan qui — selon le
Département de la Défense américaine « la puissance militaire
soviétique », 1986 - contient une ou plusieurs grandes armes à énergie
dirigée (DEW).
Bien que
Downie voyait le globe de lumière depuis une grande distance, il s’est enflammé
silencieusement sur l’Indus Kush et s’est élargi jusqu’à sous-tendre un arc
d’environ 20 degrés, s’atténuant au fur et à mesure de son extension. (Un arc
de 20 degrés sous-tendu par un objet distant de plusieurs centaines de
kilomètres indique un diamètre d’objet bien supérieur à 100 kilomètres, cela
donne une certaine idée des énergies énormes qui sont contrôlées et manipulées
par ces armes soviétiques.) Downie a vu le phénomène en plusieurs occasions en
septembre 1979.
En
décembre 1979, un globe lumineux stationnaire contenant une raie noire
verticale au centre a été vu dans le ciel de la côte de St Petersburg en
Floride, ce type particulier d’observation dans cette zone a été auparavant
relié avec les périodes d’activités connues à Saryshagan. Plus tard, dans le
même mois, les satellites américains Vela d’alerte nucléaire ont détecté un
« flash nucléaire » sur l’Atlantique Sud, au large de la côte
d’Afrique. La controverse a fait rage jusqu’à nos jours dans les services de
renseignements américains et dans les cercles scientifiques, à savoir si
c’était une explosion nucléaire ou une autre sorte de mécanisme qui a produit
le flash. En effet, le flash peut avoir été produit par un obusier EM scalaire
depuis Saryshagan comme une « sonnette » de plus envers le système
des services de renseignements américains, pour vérifier s’ils connaissaient
quelque chose ou non à propos des obusiers EM scalaires, de nouveau la réponse
négative leur a dit avec un grand indice de confiance que (1) nous ne
connaissions pas encore les « trucs » EM scalaires, et (2) nous
étions toujours totalement sans défense contre l’armement EM scalaire
soviétique. En tous cas, selon les observations de Downie, il est fortement
probable que l’armement DEW de la zone d’essais de missiles de Saryshagan était
actif en septembre 1979, et qu’il produisait les grands globes Tesla, si les
DEW à Saryshagan peuvent produire les immenses globes Tesla lumineux, ce sont
presque certainement des interféromètres EM scalaires et peuvent alors
également produire les boucliers Tesla géants. Downie a rapporté d’autres
observations de phénomènes similaires, faites précédemment par les Afghans, au
loin à l’intérieur de l’Union soviétique dans la même direction vers
Saryshagan...
Utilisation
d'une coquille sphérique de plasma lumineux
Brièvement,
abordons les utilisations d’un tel globe géant ou d’une coquille sphérique
d’énergie EM et de plasma lumineux. En plaçant un tel globe géant à des
centaines de kilomètres de distance du centre défendu, un arc entier du ciel
peut être défendu contre l’attaque de missiles balistiques à longues portées,
en plein milieu de leurs trajectoires, les missiles attaquants devront pénétrer
deux fois la coquille globulaire, s’exposant deux fois aux puissants effets EMP
internes. Il existe donc une très forte probabilité que tous les missiles
traversant l’espace occupé par le globe soient mis hors service à l’entrée
et/ou à la sortie, cela inclut les systèmes électroniques dans les ogives
nucléaires elles-mêmes. Cela est donc particulièrement efficace contre les
porteurs de missiles MIR V et MAR V puisque les multiples véhicules de rentrée
sont normalement encore sur le véhicule principal durant la plus grande partie
de la course, l’utilisation de ce globe de défense d’ABM en pleine course
réduit fortement le nombre de véhicules arrivant à la dernière partie de leurs
courses et à la phase terminale de leurs trajectoires. En utilisant un globe
plus petit et plus intense, et en le plaçant à l’encontre d’objets isolés ou de
groupes d’objets entrants, l’effet EMP et l’échauffement local agissent contre
ces objets, cela est approprié dans la dernière partie de leurs courses et dans
la phase terminale des ICBM, IRBM, SLBM et missiles de croisière. Il est
également utile contre les bombardiers stratégiques entrants et leurs missiles
air-sol balistiques ou de croisières. Deux modes peuvent être utilisés pour les
globes - spécialement pour les petits - en premier le mode continu peut être
utilisé pour « frire » ou vaporiser les objets entrants dans un
volume relativement petit (disons 15 à 25 kilomètres de diamètre). En second,
le mode « pulsé » peut être utilisé pour « assurer » tous
les objets entrants, qu’ils aient ou non traversé la défense de pleine course
« grand globe », cela fournit une garantie complémentaire de tuer les
objets ; la discrimination n’est pas nécessaire, simplement de tous les
avoir. L’exposition de tous les objets entrants aux attaques multiples élève la
probabilité de destruction à quasiment 100%, ou bien d’être proche de ce que
l’on souhaite, bien sûr le véhicule arrivant peut encore rencontrer une défense
terminale consistant en un bouclier Tesla associé à des petits globes intenses
mobiles à déploiement rapide.
En bref,
avec ces systèmes, une défense antibombe et anti-BAM est possible quasiment à
100%, par la suite, les Soviétiques ont possédé une telle défense effective
durant deux décennies, tout comme ils l’ont ouvertement exposé depuis 1960
lorsque Khrouchtchev a annoncé ses « superarmes » !!
Le globe
EMP Tesla continu
Voici un
autre incident vérifié d’un essai gigantesque d’un obusier EM scalaire
soviétique à l’intérieur de l’Union Soviétique. C’est un rapport de la C.I.A.
sorti sous le Décret de la Liberté d’information. On peut être tout à fait
certain que l’incident a eu lieu comme il est exposé. Le phénomène a été vu
depuis deux avions approchant l’aéroport de Méhrabad à Téhéran en Iran le 17
juin 1966 et rapporté par leurs pilotes. Sur l’horizon lointain à l’intérieur
de l’Union Soviétique, une intense boule de lumière sphérique est apparue,
« assise sur l’horizon » pour ainsi dire. Le globe de lumière a
augmenté jusqu’à une taille énorme, s’atténuant au fur et à mesure, remplissant
littéralement un arc du ciel éloigné quand il s’est agrandi, le phénomène a été
protégé de la vue de la plupart des observateurs au sol à l’aéroport lui-même à
cause d’une chaîne de montagnes qui s’intercalait et qui masquait la plupart du
phénomène depuis le sol. Le globe en expansion silencieuse a été observé durant
quatre à cinq minutes avant qu’il ne disparaisse. De nouveau c’est une preuve
positive du test d’un interféromètre scalaire géant, dans le type d’action
« globe ABM en milieu de course ».
Cependant,
notez la date - le milieu de 1966 ! Les Soviétiques ont donc testé de
telles armes scalaires de tailles et puissances énormes pendant au moins deux
décennies, cela implique que le développement doit avoir commencé au moins une
décennie plus tôt, soit au milieu des années 50.
Précédemment
encore, en janvier 1960 Nikita Khrouchtchev avait annoncé le développement
d’une « fantastique » arme soviétique, laquelle pourrait même
détruire toute vie sur Terre si l’usage n’en était pas restreint. En 1962 le
bouillant Khrouchtchev a été obligé de céder et de baisser le ton avant John
Kennedy, dans la crise des missiles cubains. Les missiles et bombardiers de
Khrouchtchev étaient en piteux état, comme le savait bien Kennedy (par la
courtoisie de l’espion russe, le colonel Oleg Penkovsky). Kennedy ne savait pas
que les nouvelles superarmes de Khrouchtchev s’approchaient de leur
déploiement, mais n’était pas tout à fait prête encore. Pour sauver la face et
empêcher sa mise à l’écart immédiate, Khrouchtchev a apparemment effectué une
double frappe en conduisant une démonstration ahurissante de ces nouvelles armes
dès qu’elles sont devenues prêtes opérationnellement. Le 10 avril 1963, il a
détecté et détruit le sous-marin nucléaire américain Thresher en utilisant un
obusier EM scalaire en mode « continu » immergé dans l’eau. Le jour
suivant il a démontré le mode destruction sous-marine « pulsée » pour
les sous-marins en plongée en produisant une explosion sous marine géante à 160
kilomètres au nord de Porto Rico. Ironiquement, alors l’Atlantique était très
fréquenté par les navires de la marine américaine qui effectuaient des
recherches suite à la disparition du Thresher, un second test des armes qui ont
anéanti le sous-marin, a eu lieu au sud d’eux, inaperçu et méconnu, bien que vu
et annoncé au F.B.I. et aux Gardes Côtes américains par un pilote et un équipage
d’un avion de ligne américain, qui ont observé l’explosion sous-marine. Nous
pouvons donc cerner le développement de ces armes par les Soviétiques comme
commençant bien avant 1960, le premier déploiement opérationnel de cet armement
stratégique gigantesque a eu lieu au début de 1963.
Remarquez
que le test de 1966 observé ici est complètement compatible avec ce calendrier
de développement estimé. Ainsi les grandes armes EM scalaires soviétiques ont
été opérationnelles sur le terrain pendant 24 ANS !!! Cela implique qu’au
moins trois générations complémentaires d’armes EM scalaires ont été
développées et déployées à ce jour...
Mystérieuses
lumières sur le Pacifique Nord
Des
incidents de tests soviétiques des armes, globe Tesla et bouclier Tesla sont
observés de manière routinière par des pilotes de ligne survolant le Pacifique Nord
en provenance du Japon ou y allant. En voici un exemple typique. Deux avions de
ligne, les vols 403 et 421 de la Japan Air Lines, ont observé et rapporté un
grand globe de lumière rayonnante posé juste au-delà de l’horizon et s’étendant
bien au-dessus de celui-ci. L’avion était aux environs de 42 degrés nord et 153
degrés de longitude à ce moment, l’observation était donc à environ 1100
kilomètres à l’est de Kushiro. Le diamètre de la boule a été estimé à au moins
18-27 kilomètres par les pilotes, selon la distance réelle de la sphère elle
peut avoir été beaucoup plus grande. Cet incident a été rapporté dans le
journal de Tokyo « Asahi Evening News » le 22 juin 1982. De nombreuses
observations similaires ont été rapportées par des pilotes d’avions de ligne
survolant ces eaux.
Une
sphère blanche vue dans l’Atlantique Nord en 1976
Voici une
autre observation plus proche de chez nous. Cet incident a été observé depuis
un navire de passage le 22 juin 1976 dans l’Atlantique Nord, dans la fourchette
21h13mn - 21h40mn, il a été ramené dans le « Marine observé » Vol.47,
1977, p.66.
D’abord
une lueur orange a été observée derrière des nuages éloignés, quelques minutes
plus tard une sphère de lumière blanche lumineuse a été observée à gauche de la
lueur orange, juste au-dessus des nuages, la sphère blanche s’est lentement
agrandie jusqu’à devenir une sphère beaucoup plus grande, s’affaiblissant au
fur et à mesure de sa croissance. À sa taille maximum le sommet de la sphère
blanche a atteint un angle d’élévation par rapport à l’observateur d’environ 24
degrés et 30 minutes, le développement pour atteindre sa taille maximum a duré
environ dix minutes. À 24h40mn la sphère avait faibli et a disparu, la sphère
était suffisamment ténue que les étoiles pouvaient être vues au travers à tout
moment. De nouveau cet incident se conforme fortement au mode grand globe Tesla
de l’interféromètre EM scalaire soviétique.
La
signification et le rôle de la lueur orange ne sont pas connus pour le moment.
Boule de
feu Tesla continue
Voici un
autre incident qui constitue un stimulus au gouvernement britannique, afin de
voir si les Britanniques sont conscients de l’électromagnétisme scalaire. De nouveau
c’est un rapport de la C.I.A. déclassifié sous le décret de la Liberté
d’Information, donc les détails sont fiables. Le 10 septembre 1976, le vol 831
de la British European Airways, reliant Moscou et Londres et volant au-dessus
de la Lituanie à ce moment-là, a observé une boule intense de lumière au-dessus
des nuages sous l’avion, la lumière était si intense qu’elle a éclairé le ciel
dans tout le voisinage. Le pilote concerné a rapporté l’objet lumineux aux
autorités soviétiques au sol avec qui il était en contact, il a reçu des
instructions sévères d’ignorer la lumière, et de continuer strictement son
chemin pour sortir de là. Ici nous voyons un incident impliquant un intense
petit globe Tesla du genre avec lequel la défense pourrait « assurer »
les objets, qui auraient déjà pénétré en pleine course un grand globe, ou les
avions approchant la zone défendue. Évidemment les Pouvoirs soviétiques
suivaient l’avion à la trace et savaient qu’il était dans le voisinage, cela
semble logique, alors qu’ils ont placé délibérément la boule fortement
lumineuse sous l’avion afin que le pilote et l’équipage ne puissent pas ne pas
la voir. L’étrange message au pilote a été simplement prévu pour accroître
l’intensité du stimulus, le stimulus devait être quelque chose comme,
« Les Soviétiques font quelque chose dans la recherche et le développement
qui leurs permet de créer à distance d’intenses boules lumineuses, et de placer
ces objets dans l’air dans le voisinage de l’avion, ou l’englobant,
probablement pour l’intercepter ». Le but bien sûr était d’observer la
réaction du gouvernement britannique après que le pilote ait rapporté
l’incident à son arrivée à Londres. De nouveau la réaction des Britanniques -
et celle des États-Unis également - a été comme prévue, de nouveau nous avons
montré que nous ne savions rien des armes électromagnétiques scalaires, et nous
n’en avons pas reconnu une lorsque nous avons rencontré ses effets.
Système
ABM terminal
Des
choses très propres peuvent être faites si on « niche » plusieurs
boucliers Tesla - disons trois ou quatre - concentriquement, l’un à l’intérieur
de l’autre, dans ce cas même les radiations nucléaires (tels que les rayons
gamma) issues d’une explosion nucléaire en haute altitude d’une
défense-suppression peuvent être traités. Par exemple, supposez que trois de
ces boucliers soient placés sur un grand secteur vital, ensuite, supposez
qu’une explosion nucléaire de haute altitude ait lieu au-dessus du bouclier
externe. La radiation gamma frappe presque instantanément le plasma dans la
coquille externe, où elle est absorbée, dispersée et réémise à une température
plus basse. (C’est après tout ce que le plasma fait.) À l’intérieur de la
première coquille, la radiation dispersée est maintenant dans la gamme des rayons
X et ultra-violet. Suivons à la trace le composant le plus mortel, les rayons X.
Les rayons X dispersés frappent ensuite la seconde coquille de plasma, et sont
absorbés, dispersés et réémis à une température plus basse ; à l’intérieur
de la seconde coquille la radiation dispersée est maintenant dans le domaine du
visible et de l’infrarouge, avec un peu d’ultraviolet. Cette radiation optique
frappe à son tour la troisième coquille de plasma, et est absorbée, dispersée
et réémise à une température encore plus basse ; à l’intérieur de la
troisième coquille, la majeure partie de l’énergie est maintenant dans la gamme
des fréquences radio (RF), avec un petit contenu d’énergie dans les bandes
spectrales du visible et de l’infrarouge. À ce point, la protection des interférences
électromagnétiques ordinaires (EMI) des équipements électroniques au sol à
l’intérieur du troisième bouclier peut gérer n’importe quelle interférence
résultant du bruit RF émergent.
Comme on
peut le voir, trois obus sont suffisants pour convertir le rayonnement gamma et
X (et ultraviolet et infrarouge) principalement en énergie RF inoffensive avant
que les trois coquilles ne soient pénétrées, donc la tactique de suppression
délibérée de la défense par une explosion nucléaire préliminaire en haute altitude
peut être contrée par des boucliers Tesla multiples. De plus, bien sûr,
n’importe quels véhicules ordinaires pénétrant les trois boucliers sont exposés
aux violents effets EMP successifs et sont presque certainement détruits
électriquement. Les véhicules sont aussi soumis aux multiples périodes
d’échauffement intense, donc combustibles, carburants, explosifs et ablatifs
sont détruits, de plus, les structures métalliques peuvent être fondues ou
vaporisées. Vu de cette manière : tout ce qui frappe un de ces boucliers
Tesla part en pfffuuuit ! Exactement comme une mouche frappant la grille-écran
électrisée d’un destructeur d’insecte. Pendant des années des navires ont
observé et rapporté de tels « phénomènes lumineux » de boucliers
multiples au-dessus de régions éloignées de l’océan. Les services de
renseignements américains, par routine, n’ont pas pris garde aux
« lumières dans la nuit » sur les zones éloignées de l’océan, et donc
de cette manière les tests soviétiques sont passés relativement inaperçus par
la bureaucratie...
Les
rayons de Pivert se croisent au-dessus de l’Amérique du Nord
En
juillet 1976 les États-Unis ont reçu des salutations très spéciales pour leur
Bicentenaire de la part de l’Union soviétique. À ce moment, les systèmes de
communications du monde dans la bande de 3 à 30 mégahertz ont soudainement
rencontré une interférence substantielle en provenance d’émetteurs soviétiques
extrêmement puissants qui ont été soudainement activés. Ces émetteurs
continuent leurs émissions à ce jour. Les estimations de la puissance de ces
émetteurs varient, mais l’échelle des valeurs s’élève à plusieurs centaines de
mégawatts, avec une puissance nominale de 100 mégawatts. Ces puissants
émetteurs ont été surnommés bien à propos les « Piverts » à cause du
son caractéristique de la modulation du signal à la réception, c’est-à-dire que
le signal reçu fait le son du « picotage » très semblable à un Pivert
frappant un morceau de bois de son bec.
Plusieurs
nations ont protesté, mais les puissants signaux ont continué jusqu’à ce jour,
la seule réponse soviétique a été d’ajouter un système « spectre de
diffusion », afin que l’émetteur ne demeure pas trop longtemps sur une
fréquence spécifique, mais permute périodiquement à d’autres fréquences. Ces
émetteurs n’ont apparemment jamais été localisés précisément par l’Intelligence
américaine, mais leurs rayons comportent de nombreuses caractéristiques du
radar au-delà de l’horizon [OTH, over-the-horizon], ils ont été classés radars
OTH par l’Intelligence américaine, et peuvent sans aucun doute effectuer cette
mission et d’autres très intéressantes que les services de renseignements
américains n’ont pas étudiées. Le « Soviet Military Power » du
département de la défense (1985, p.45) montre l’intersection directe au-dessus
des États-Unis des rayons radars de Pivert utilisés dans un rôle OTH. De plus
il est montré un rayon de « scanner » supplémentaire lequel peut balayé
à travers la « grille » d’intersections au-dessus des États-Unis,
formée par l’interférence d’onde de forme des deux rayons Pivert principaux.
D’abord,
ils peuvent être employés dans un mode radar OTH conventionnel, puisque leurs
rayons suivent le guide d’onde de l’ionosphère terrestre et se courbent autour
de la Terre. Dans ce mode ils peuvent détecter les bombardiers et les missiles,
que ce soit dans leur phase de lancement ou dans leur course. Ces armes à
grilles d’interférences scalaires peuvent être employées pour attaquer
biologiquement des populations entières dans un secteur ciblé, cet aspect n’est
pas développé dans ce rapport, je me contenterais de dire que des signaux de
modulation ELF (extrême basse fréquence) verrouillés en phase de 10 hertz et
moins sont souvent détectés sur des fréquences Pivert multiples simultanément.
Dans un secteur ciblé, cette modulation - qui est suffisamment plus forte que
la résonance Schumann du champ magnétique terrestre - entraînera un certain
pourcentage des cerveaux en « entraînement forcé ». Dans ce cas, ces
cerveaux humains sont « synchronisés » aux signaux de Pivert afin que
des fréquences cohérentes multiples soient verrouillées en phase en eux.
C’est-à-dire que des canaux EM cohérents et multiples existent maintenant
directement dans ces cerveaux entraînés. À ce point, des expansions de Fourier
peuvent maintenant être employées pour attaquer géométriquement des zones
spécifiques du cerveau. De plus, toujours avec les expansions de Fourier des modèles
EM scalaires de maladies peuvent être modulés sur les [ondes] porteuses.
Effets
biologiques spécifiques
Des
effets biologiques spécifiques peuvent être induits à volonté dans les
populations entraînées, limités seulement par l’état de l’art de la technologie
soviétique utilisée pour les attaquer. Les effets possibles inclus : morts
instantanées, crises cardiaques, perturbations émotionnelles sévères, pertes de
contrôles des fonctions internes, maladies, déficience du système immunitaire,
et même implantation de pensées, d’émotions, et d’idées qui sont interprétées
par les sujets comme étant les leurs. Alors que la discussion de ce domaine est
au-delà de la portée de ma connaissance, les aspects biologiques des émetteurs
Piverts sont horribles. Je me bornerais à dire que, dans des milliers
d’expériences, Kaznacheyev a démontré que presque n’importe quel genre de modèle
de maladie et de mort cellulaire pouvait être transmis électromagnétiquement.
Kaznacheyev a rapporté l’effet dans le proche ultraviolet, des expérimentateurs
à l’Université de Marburg en Allemagne de l’Ouest ont répété les
expérimentations dans l’infrarouge.
Le
résultat est que les photons eux-mêmes peuvent transporter des modèles de
maladies et de mort entre les cellules. La technologie EM scalaire permet la
synthèse du modèle potentiel réel (qui après tout représente le contrôle total
de charge et la distribution de charge, et de là, la biochimie dans la cellule)
d’une maladie particulière ou d’un mécanisme mortel. Les symptômes (et mort
cellulaire d’eux !) de la radiation nucléaire, de l’empoisonnement
chimique, de l’infection bactérienne, et d’autres mécanismes ont été induits
par les expérimentations de Kaznacheyev.
Le Dr
Popp d’Allemagne de l’Ouest a publié une analyse du système de contrôle maître photo
virtuel des cellules. Puisque l’EM scalaire représente l’ordre délibéré du flux
de particule virtuel dans des modèles déterminés, le système de contrôle maître
peut aisément être pénétré avec des techniques scalaires pour induire maladies
et désordres à volonté...
Un exemple d’interférométrie scalaire par J. Frendelvel
Comme le
dossier précédent l’a bien expliqué, les ondes stationnaires sont invisibles et
indétectables par des capteurs électromagnétiques conventionnels et, à
fortiori, par l’œil humain.
Cependant,
dans certaines conditions météorologiques spécifiques (temps calme, présence de
cirrus, etc.), un faisceau d’ondes stationnaires (ou électromagnétiques scalaires)
peut modeler une nappe de cirrus. Dans ce cas, au niveau du faisceau scalaire,
les cirrus présentent des vagues de densités parallèles, rectilignes ou en arc
de cercle.
Ce
phénomène est matérialisé dans la photo ci-dessous prise en France en automne
2000, orientée vers l’ouest au coucher du Soleil (les lueurs derrière les
arbres sont dues au Soleil couchant). Une nappe de cirrus présente ces
particularités créées par deux faisceaux qui se croisent. Sur le second
exemplaire de l’image, des arcs en pointillé permettent de mieux repérer ces
deux faisceaux, l’un en vert, l’autre en rouge. Sur la photo ils se croisent
selon un angle aigu, mais cela est dû à un effet de perspective ; dans la
réalité ces deux faisceaux sont sensiblement orthogonaux.
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