Un jour, j’irai vivre en Théorie parce qu’il paraît qu’en Théorie, tout va bien. (Les mots surpendus)

mardi 11 juin 2013

Réseau pédo international :L'Ecole en bateau


Dans les années 70, les pédophiles se sentaient pousser des ailes. ils créaient même des écoles, comme l'Ecole en Bateau, ou Coral, ou tant d'autres lieux de vie dans lesquels les éducateurs non qualifiés étaient trop souvent des pédophiles. Il se trouve qu'à l'époque, il existait déjà une sorte d'internationale pédophile, dont la toile s'étendait sur tout le globe.

En 1988, le Dr Morris Fraser
[1] et l'enseignant Michael Johnson créent en Cornouailles un organisme de charité à destination des enfants, appelé Azimuth Trust. Etrangement, ils n’ont eu aucun problème pour mettre ce machin en place, malgré le fait que le Dr Fraser s’était fait pincer pour avoir pris des photos « indécentes » de mineurs et pour agression sexuelle en 1972, et qu’en 1987, Johnson a reçu un avertissement de son employeur, le Conrwall County Council, après qu’il ait été blanchi d’accusations d’agression sexuelle d’un garçon durant un conseil disciplinaire. Mais, on l'a laissé travailler comme responsable de ce centre.

Azmith Trust n’a vécu que 3 ans, mais une bonne centaine d’enfants sont passés par cet organisme, qui les envoyait sur des bateaux, comme le faisait la tristement célèbre Ecole en bateau en France. Fraser choisissait surtout des enfants qui avaient des difficultés d’apprentissage.

Comme l’Ecole en Bateau, Azimuth Trust avait son magazine, dans lequel on retrouve de nombreuses photos d’enfants nus. Evidemment, beaucoup de pédophiles étaient abonnés, et pas pour l’amour du bateau.

Jimmy Savile était connu pour violer lui aussi des enfants à bord de yachts, lors de voyages.

En 1981, Fraser a contribué à l’écriture du livre « Perspectives on paedophilia », tout comme
Peter Righton, ex éminent employé du National Children'sBureau, « spécialiste » de la protection de l’enfance[2] qui a travaillé dans plusieurs foyers (où des abus ont été commis sur les enfants) et a violé des enfants lors de partouzes avec ses copains tels que Cyril Smith. Righton était un propagandiste de la pédocriminalité, et n’hésitait pas à réclamer un « débat rationnel » sur la « pédophilie », sans « hostilité ». Pour lui, les pédophiles ne sont pas forcément des « abuseurs d’enfants ». Bref, Righton minimise l’horreur des vols et agressions sexuelles d’enfants, comme tous les pédos.

Paedophile Information Exchange

Ken Plummer, un « sociologue » grand défenseur de la « théorie du genre », qui plait beaucoup aux pédophiles, était
membre du Paedophile Information Exchange, une plateforme destinée à s’échanger des contenus pédocriminels, mais aussi les bonnes adresses et éventuellement les enfants jugés comme était de « bons coups »[3]. Et qui revendiquait de pouvoir violer des enfants dès 4 ans.

Peter Righton était également dans ce groupe, ainsi que
Charles Napier, Jack Bennett, Stephen King (expert auprès des tribunaux qui a violé au moins trois fillettes), le diplomate Sir Peter Hayman et surtout le cher Dr Fraser. Hayman s’est fait griller suite à la récupération de contenus pédopornographiques et de messages dans lesquels il évoquait son envie de commettre des meurtres d’enfants en les torturant. Mais bizarrement, Hayman, qui a occupé de hautes fonctions (directeur général du British Information Service à New York, commandant du gouvernement militaire anglais à Berlin Ouest, haut commissaire au Canada…), n’a pas été poursuivi.Deux autres membres du PIE dont il faut encore parler : le duo composé par John Stamford, et Peter Glencross, qui ont aussi collaboré à l’édition de la revue pédo Spartacus[4]. On retrouve Glencross et Stamford dans l’affaire du bordel pour pédophiles à Londres au début des années 80, qu’on appelle l’affaire Elm Guest House, du nom de cette auberge chic où des pédos, parfois politiciens, allaient violer des enfants venus des orphelinats du coin. Glencross éditait aussi la newsletter du lobby gay du parti conservateur anglais, le Conservative Gay Homosexual Equality. Glencross est ensuite allé poursuivre ses activités aux Pays Bas.

Quant à John Stamford, éditeur de Spartacus et membre du PIE,
il a été jugé en Belgique en 1995 pour incitation à la pédophilie. Mais, pour Stamford tout cela n’était qu’une cabale, une « campagne anti homosexuels ». Pourtant, il ne risquait qu’un an prison…

Dès 1985, un magazine anglais, Exaro,
désignait la revue de Stamford et Glencross comme étant un véritable guide pour pédophiles. En 10 ans, combien d’enfants ont été vendus à ces pervers ? C’est d’ailleurs ce qui a valu l’exil à Glencross, qui utilisait ses bars homosexuels pour développer le réseau Spartacus.

Les membres du PIE, qui faisaient souvent partie du gratin, appréciaient beaucoup les voyages en bateau avec des enfants vulnérables, notamment via Azimuth Trust.

Le PIE a été actif de 1974 à 1984, et était au départ dirigé par Keith Hose, du Gay Liberation Front qui a participé à la Campaign for Homosexuel Equality. En 197 l PIE compte autour de 250 membres et organise une conférence à laquelle a participé le pédophile et sénateur hollandais
Brongersma, un chantre des « droits des pédophiles ». Brongersma a été à Manille avec un pédophile français bien connu, l’écrivain facho Gabriel Matzneff[5]. Les deux allaient là-bas pour faire du « tourisme pédophile ». D’ailleurs, nombre de vidéos pédophiles de l’époque étaient tournées à Manille.

En 1978, le PIE s’est affilié au
National Council for Civil Liberties, dirigé par Patricia Hewitt, devenue ensuite ministre de la Santé. Ledit council a alors réclamé « un changement d’attitude » concernant les pédophiles, c’est-à-dire une minimisation de la destruction qu’ils font des enfants.

En 1994,
seul Johnson a eu de petits ennuis judiciaires, et a été envoyé en taule pour 4 ans pour des agressions sexuelles d’enfants dont le plus jeune avait 11 ans. Il est apparu que Johnson avait violé cet enfant une cinquantaine de fois entre juin 1989 et novembre 1991, lors de virées en bateau avec Azimuth Trust.

La même année, les flics ont mené une perquisition chez Righton suite à un envoi d’images pédos depuis Amsterdam, et il a fini par se faire choper pour détention de pédopornographie. Le réseau par lequel Righton recevait ce type de contenus, c’était le PIE.

D’après des anglais qui travaillent sur Azimuth Trust,
Fraser était « fortement lié » à l’Ecole en Bateau, ces « bateaux école » créés par le pédophile Leonid Kameneff. Après 20 ans de plaintes non prises en compte, Kameneff, 80 piges au compteur, vient seulement d’être condamné. Mais, son « école » remonte à 1969, autant dire que beaucoup d’enfants ont eu le temps de s’y faire violer et maltraiter par les tarés de l’Ecole en Bateau. Car, si Kameneff est le seul à avoir été condamné (12 ans de taule), il faut savoir que bon nombre des éducateurs présents sur les 3 bateaux école étaient des pédophiles actifs, qui ont continué tranquillement à faire leurs saletés. Fraser était pédopsychiatre, Kameneff était « psychothérapeute ».

Comme Azimuth Trust,
l’Ecole en Bateau n’était en réalité qu’une façade destinée à dissimuler un réseau pédophile. Et les deux organisations étaient en contact notamment via le PIE. Pas la peine de se demander pourquoi il a fallu 20 ans à la « justice » française pour condamner… un seul pédo de l’Ecole en Bateau, le grand manitou Kameneff, qui a tenté jusqu’au bout de nier les viols[6]. On notera aussi que Fraser, comme Kameneff, utilisaient leur métier pour se livrer à leurs perversités. Dans les bateaux des deux "écoles", l'ambiance à bord, tenue par les adultes pédophiles, ne permettait pas à leurs proies de leur échapper. Certains enfants ont ainsi été violés durant une année entière, ou plus. Sur l'Ecole en Bateau, certains restaient jusqu'à 9 ans.

D’après certains, Azimuth Trust était une sorte de vitrine qui cachait un réseau pédophile aux connexions internationales. De fait, le réseau de Fraser a par exemple transporté un enfant en avion depuis Long Island à New York jusqu’à Porto Rico, avant d’être ramené. Ce qui a valu une enquête sur Fraser. C’était en 1973, et déjà le réseau
s’étendait des Etats-Unis jusqu’à l’Europe centrale.[1] Fraser était pédopsychiatre au Royal Belfast Hospital for Sick Children.[2] Righton a commencé sa carrière comme officier de probation puis comme travailleur social, avant de devenir prof dans le domaine du travail social. Au milieu des années 70 il est devenu directeur de l’éducation au National Institute of the Social Work, et consultant pour la National Children’s Bureau, tout en enseignant aux chefs des services sociaux à l’Open University. Righton est vite passé pour l’expert des foyers d’enfants en Angleterre. A la fin des années 80, il est consultant pour la New Barns school à Gloucestershire, pour les enfants perturbés émotionnellement, dont plusieurs membres du personnel ont été arrêtés pour des viols d’enfants et des maltraitances. Righton a par exemple défendu les « relations sexuelles » entre des membres du personnel et des enfants à charge des services sociaux. Pour lui, cela ne devait pas forcément déboucher sur des enquêtes.[3] Les membres du PIE disaient quelles étaient leurs préférences en termes d’âge et de profil de victimes, et le PIE leur envoyait une liste de cibles personnnalisée.[4] Comme le PIE, Spartacus donnait les bonnes adresses partout dans le monde pour les pédophiles. Le guide, créé en 1970, était diffusé dans 150 pays (60.000 exemplaires), jusqu’à sa fin officielle en 1994. Stamford est mort en décembre 1995.[5] Matzneff a écrit qu’il voulait avoir des « relations sexuelles » avec des mineurs, et jusqu’en 2009 on pouvait lire des articles prenant sa défense, comme dans Le Figaro. En fait, toute la clique pédocriminelle française n’a cessé de le soutenir, lui et d’autres pervers. Matzneff a aussi signé la fumeuse pétition publiée par Libération afin de défendre trois pédophiles en procès. [6] Il a finalement pris 12 ans de prison, seulement.source

Aucun commentaire: