À la lecture d’un article qui me semblait un des
plus conspirationniste et délirant que j’ai lu sur le site de Stop Mensonges Le message pour la mafia Khazariane est « bonbons ou malédiction » c’est à dire : rends-toi ou crève
J’ai décidé de le partager sur mon compte
Google et un commentaire d’un membre me publie un lien À propos de Benjamin
Fulford
Merci, cher membre, d’éclairer un peu plus ma
pensée sur cet homme assez remarquable.
Dans le texte:
En lisant
Fulford, on est immédiatement plongé dans un monde d’arcanes totalement
inaccessibles au commun des mortels. Il survole la géopolitique mondiale avec une vision
d’ensemble que d’aucuns qualifieraient de totalement délirante. Et
encore, l’adjectif est faible : les aventures de James Bond, à côté, c’est
tricot magazine ! On nage donc avec allégresse en plein délire mythomane.
Fils d’un diplomate canadien basé
en Amérique du sud, Benjamin Fulford part faire des études de
journalisme à Tokyo dans les années 80, après avoir passé cinq ans dans une
tribu amazonienne. A la fin de son cursus universitaire, il est embauché par le
magazine Forbes Asia, au sein duquel il va gravir les échelons jusqu’à en
devenir directeur de publication. A ce titre, il sera amené à côtoyer nombre de
ministres de la zone Asie, et en gardera un carnet d’adresse qu’on imagine
épique. Il a également animé un talk show d’économie, en prime time sur un des
principaux networks japonais.
Au pays
du soleil levant, c’est un journaliste connu, qui a vendu plus d’un million de
livres sur les quelques-uns qu’il a publié. Au début des années 2000, il va
claquer la porte de Forbes en publiant, contre l’avis de sa hiérarchie, une
enquête sur la corruption mettant en cause le ministre des finances japonais
d’alors. A la suite de quoi il sera contraint de basculer dans la
clandestinité, et se verra alors offrir l’aide et la protection de la Société
du Dragon Blanc, dont il se fera occasionnellement le porte parole auprès des
occidentaux au pouvoir sur notre planète.
La
tentaculaire Famille du Dragon, pendant asiatique de la franc-maçonnerie, est
présente dans plus de 170 pays et véhicule ses valeurs humaines aux travers
notamment des arts martiaux. Pas un club d’arts martial qui ne s’ouvre sans
leur assentiment tacite. Elle se targue d’avoir une armée d’un million de
ninjas surentraînés disséminés aux quatre coins de la planète, et tente de
contraindre les familles régnantes à la reddition afin de libérer l’humanité du
joug de l’asservissement. C’est notamment elle qui est à la manœuvre derrière
le procès Keenan, en rapport avec l’arrestation à la frontière italienne en
2009 de deux japonais transportant l’équivalent de 450 milliards de $ en bons
du trésor US, que la justice italienne a saisis en prétextant qu’ils étaient
faux.
En lisant
Fulford, on est immédiatement plongé dans un monde d’arcanes totalement
inaccessibles au commun des mortels. Il survole la géopolitique mondiale avec une
vision d’ensemble que d’aucuns qualifieraient de totalement délirante.
Et encore, l’adjectif est faible : les aventures de James Bond, à côté, c’est
tricot magazine ! On nage donc avec allégresse en plein délire mythomane, et
c’est tellement jubilatoire qu’à chaque exemplaire de sa newsletter (sur
abonnement, à 2$ l’unité) les commentaires s’empilent sur des kilomètres,
drainant toutes sortes d’illuminés dans leur sillage, à l’instar d’un David
Wilcox ou d’un Alfred Lambremont Webre. Mais à l’origine de la
légende, il y a les faits qui valident la crédibilité de l’artiste. Un vrai
journaliste, sans concession, qui va effectivement sacrifier sa carrière sur
l’autel de la vérité. Et il est visiblement allé très haut (jusqu’au dessus) ! A ce titre comme tout
emmerdeur patenté qui se respecte, il afficherait plusieurs tentatives
d’assassinat au compteur, de nombreuses campagnes de diffamation (on le dit
notamment toxicomane), et il est vrai que lui-même n’hésite pas à défrayer la
chronique, avec des interventions pour le moins
déconcertantes !
Pour ma
part, j’ai commencé à le suivre de près en mars 2011, quand, peu de temps après
avoir appris la mise en industrialisation au Japon des moteurs Minato et assisté aux premiers tests de véhicules propulsés à l’énergie libre, j’ai vu déferler la plus grosse
vague de l’histoire et que, 911 et guerre en Irak aidant, je me suis surpris à
me demander si quelqu’un, quelque part, comptabilisait les têtes nucléaires US.
C’est effectivement lui qui aura été le premier a parler d’acte de guerre à
propos du tsunami du 11/3.
Bref,
vous l’aurez compris, c’est un OVNI journalistique que je vous propose
de découvrir. Il est tellement hors cadre que, même si la plupart des infos
qu’il balance ont beau être reprises un peu partout sur la toile, chercher à
les recouper est un véritable chemin de croix, qui ramène bien trop souvent à
sa seule source. Épisodiquement, on voit passer une news qui vient confirmer,
parfois avec un mois de décalage, quelque propos surréaliste tenu dans ses
colonnes. Mais ses analyses présentent malgré tout l’avantage d’offrir une
vision beaucoup plus orientale des événements du monde, car il est
indubitablement plus japonais que canadien, malgré les apparences. Nous qui
sommes tant enclins à nous scruter le nombril, ça ne peut pas de toutes façons
pas nous faire de mal.
Au final,
même cette présentation succincte est à considérer comme sujette à caution, car
elle n’est en fait que le reflet de l’image que je m’en fais, au travers
notamment du souvenir de sa notice wikipédia qui a depuis été supprimée. Tout
ça pour avouer que je fais naturellement appel à votre discernement, partant du
principe que si vous êtes sur le Cercle des Volontaires, c’est qu’à la base
vous n’en manquez pas
Bonne
lecture !
Renaud
Spenal
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