Un jour, j’irai vivre en Théorie parce qu’il paraît qu’en Théorie, tout va bien. (Les mots surpendus)

jeudi 24 novembre 2011

Un scientifique de haut niveau défend le massacre de 90% de la population humaine

Faites connaître cet article à tous vos contacts afin qu'ils puissent comprendre que nos autorités n'ont pas des projets de Paix pour l'humanité, mais des plans de destruction et de morts. N'oublions pas que 90 % de la population peut aussi signifier 9 sur 10 des gens que nous chérissons. Mettons-les en garde contre cette vaccination massive qui sera imposée par les gouvernements (via les programmes militaires), mais qui sera en réalité un vaccin de mort. D'autres vaccins et d'autres méthodes sont utilisés, nous y reviendrons dans le futur.

Voici donc, la Nouvelle Vision pour le XXIe siècle à laquelle tous nos gouvernements ainsi que plusieurs scientifiques adhèrent : les meurtres de milliers de personnes pour le soi-disant bien de l'humanité.

UN SCIENTIFIQUE DE HAUT NIVEAU DÉFEND LE MASSACRE DE 90 % DE LA POPULATION HUMAINE
Un scientifique de haut niveau a donné un discours au Texas Academy of Science (académie Texane des sciences) le mois dernier, un discours dans lequel il préconisait la nécessité d'exterminer 90% de la population par le virus Ebola qui se transmet par l’air. Les commentaires qui donnent froid dans le dos du Dr. Eric R. Pianka et leur réception enthousiaste soulignent encore une fois l'agenda de l'élite visant à décréter des mesures horrifiantes de contrôle des populations

On avait ordonné que les mots de Pianka soient tenus hors des enregistrements avant même qu'il ait commencé, alors que les caméras étaient éloignées et que des centaines d'étudiants, de scientifiques et de professeurs s’asseyaient dans le public.

Disant que le public n'était pas prêt à entendre l'information présentée, Pianka a commencé en hurlant : "Nous ne sommes pas meilleurs que des bactéries!", alors qu’il sautait dans un trip malthusien de fin du monde au sujet du surpeuplement qui détruit la Terre.

Se tenant devant une image de crânes humains, Pianka a joyeusement défendu le virus Ebola, transmis par l’air, comme étant sa méthode préférée pour exterminer les 90% nécessaires d'humains, le préférant au SIDA en raison de sa période plus rapide de mise à mort. Les victimes de l'Ebola souffrent de la plus affreuse des morts imaginables, au fur et à mesure que le virus les tue en liquéfiant leurs organes internes. Le corps se dissout littéralement alors que la victime se tord de douleur en saignant par chaque orifice. Pianka a alors cité le leurre du pic du prix de l’essence ( http://www.prisonplanet.com/archives/peak_oil/index.htm ) comme une autre raison pour lancer le génocide mondial. "Et les combustibles fossiles s'épuisent," a-t-il dit, "aussi je pense que nous pourrions devoir retrancher de nouveau deux milliards (de personnes), ce qui correspondrait environ à un tiers des personnes nécessaires (devant être tuées)."

Plus tard, le scientifique a fait bon accueil à la dévastation potentielle due à la grippe aviaire et a brillamment parlé de la politique obligatoire de limitation des enfants de la Chine, avant de commenter avec zèle : "Nous devons stériliser tout le monde sur Terre."

A la fin du discours de Pianka, l’assistance n’a pas éclaté en un chœur de huées et de sifflements, mais en une réception rauque d’applaudissements et d’acclamations alors que les membres du public clamèrent pour se rapprocher du scientifique afin de lui poser des questions ultérieures. Pianka s’est vu remettre, plus tard, une récompense de scientifique distingué par l'académie. Pianka n'est pas un cinglé. Il a donné des conférences dans des universités prestigieuses du monde entier.

Un observateur horrifié a été capable de prendre des notes sur ce discours et notre gratitude va à Forrest M. Mims http://www.sas.org/tcs/weeklyIssues_2006/2006-04-07/feature1p/index.html pour avoir porté cet écoeurant discours à l’attention du monde. Au 21e siècle, l'élite s’inquiète du fait que depuis plus de 6 milliards de personnes pourrait jaillir une nouvelle élite pour défier leur emprise sur les rênes du pouvoir. C'est une raison pour le désir d’exterminer la population jusqu’à un niveau maniable. Une autre raison est le contrôle du comportement des cerfs existants et de les mener en troupeau, comme du bétail, jusqu’à l’abattoir

Comme nous l’avons documenté, les membres de l'élite sont assez ouverts dans leur convoitise fébrile que pour commettre des meurtres de masse et le nettoyage ethnique. Dans l'avant-propos de sa biographie « If I were an Animal » (« Si j'étais un animal », le prince Philip a écrit : "Dans le cas où je serais réincarné, je voudrais revenir en tant qu’un virus mortel, afin d’être de quelque utilité pour résoudre la surpopulation."

Le National Security Memo 200, daté du 24 avril 1974, et intitulé "Implications de la croissance de la population mondiale pour la sécurité des États-Unis et les intérêts d'outre-mer," dit : "Le Dr. Henry Kissinger a proposé dans son mémorandum au NSC que « la dépopulation devrait être la priorité la plus élevée de la politique étrangère des États-Unis envers le Tiers- Monde. » Il a cité des raisons de sécurité nationale, et parce que l'économie des États-Unis exigera de grandes et croissantes quantités de minerais provenant de l'étranger, particulièrement des pays moins développés...

Partout où une diminution de la population peut augmenter les perspectives pour une telle stabilité, une politique de population devient appropriée aux ressources, aux approvisionnements et aux intérêts économiques des États-Unis." Kissinger prépara pour le président Jimmy Carter un manifeste de dépopulation appelé « Global 2000 » (http://www.schillerinstitute.org/food_for_peace/kiss_nssm_jb_1995.html )qui détaillait l’utilisation de la nourriture comme une arme afin de dépeupler le Tiers-Monde.

Une des plus effrayantes reconnaissances d'intention mortelle provint des lèvres du défunt Jacques Cousteau, la sainte icône environnementale. Dans une entrevue avec l’UNESCO Courier de novembre 1991, le célèbre océanographe a dit: "Les dégâts que les gens causent à la planète sont dus à la démographie -- ils correspondent au degré de développement. Un Américain encombre la Terre beaucoup plus que vingt habitants du Bangladesh. Les dommages sont directement liés à la consommation. Notre société se tourne vers davantage de consommation inutile. C'est un cercle vicieux que je compare au cancer...."

"C'est une chose terrible à dire. Afin de stabiliser la population du monde, nous devons éliminer 350.000 personnes par jour. C'est une chose horrible à dire, mais c’est tout aussi mauvais de ne pas l'exprimer."

Le Melbourne Âge ( > http://www.prisonplanet.com/Pages/100604_burnets_solution.html ) a rendu compte de documents récemment découverts détaillant le projet du microbiologiste qui a gagné le Prix Nobel de la Paix, Sir Macfarlane Burnet, visant à aider le gouvernement australien à développer des armes biologiques pour utilisation contre l'Indonésie et autre pays "surpeuplés" de l'Asie du Sud-Est.

http://www.wikistrike.com/article-un-scientifique-de-haut-niveau-defend-le-massacre-de-90-de-la-population-humaine-89673914.html

Source: Rusty James News

2 commentaires:

May West a dit…

"La Terre bien partagée peut contenir 100 fois plus d'humains"

Une théorie qui doit bien faire frémir les Maîtres du monde qui, sur cette même planète, se contenteraient d'un quota d'environ 500 millions d'habitants.

C'est bien pour dire. Les avis là-dessus sont assez partagés, tu ne trouves pas?

May

P.S. Ah! au fait, j'ai décidé de ne pas me faire vacciner, cette année. On aurait intégré subrepticement le vaccin AH1N1 dans le vaccin "traditionnel" contre la grippe. Dans mon cas, advienne que pourra.

Lorraine Richard a dit…

Moi aussi, je ne me suis pas fait vacciner.