Un jour, j’irai vivre en Théorie parce qu’il paraît qu’en Théorie, tout va bien. (Les mots surpendus)

mardi 4 juin 2013

Les 3 innovations du pape venu de Mars

     Les 3 innovations du pape venu de Mars C.R.O.M.
En route pour la Nouvelle Religion Mondiale!

Auteur: C.R.O.M.
Lors d’un précédent article, nous avons expliqué pourquoi mettre un jésuite à la tête du Vatican était vital pour assurer la bonne transition des fidèles catholiques vers la Nouvelle Religion mondiale. Dès les premiers instants de sa carrière, François I a montré les grandes lignes de sa politique pour les années à venir en appliquant immédiatement trois innovations. En les analysant, nous saurons ce que nous pouvons attendre de son règne «antéchristique».

1 – Au lieu de porter autour de son cou une croix en or, comme cela se faisait depuis des siècles, le nouveau pape a choisi de porter une croix en fer. L’or a toujours été un symbole – une manifestation même – de l’Esprit, alors que le fer, par sa propriété d’extrême dureté, est un symbole de la matière. Même des personnes qui n’ont aucune connaissance en ésotérisme devraient se poser des questions sur ce changement.

Pour nous, au C.R.O.M., cette croix de fer n’est pas surprenante, car les Jésuites ont toujours eu un attrait particulier pour ce métal. Enfant, Teilhard de Chardin allait ramasser des morceaux de fer pour en faire des autels. Il en parlait comme de son «dieu du fer». Celui qui, plus tard, écrira un Hymne à la matière, ne se trompait pas sur son métal de prédilection: Rudolf Steiner a en effet révélé que les Jésuites étaient des entités venues de Mars, des êtres humains en apparence, mais dont le sang est particulièrement riche en fer – le métal de la planète Mars – ce qui explique toute la fougue manifestée par la Compagnie de Jésus dès ses débuts. (Voir cet article pour une explication plus détaillée de la "connexion martienne".)

Plus concrètement, nous pouvons dire qu’en portant une croix de fer, François I veut montrer qu’avant d’être pape, il est surtout Jésuite.

2 – Une autre innovation importante est que, lors de ses premières apparitions publiques, le nouveau pape a chaque fois appelé les fidèles à prier pour lui. C’est une consigne extrêmement bizarre quand on y pense. En effet, en tant que prêtre suprême de l’Église, il devrait savoir que la première qualité d’un prêtre est sa capacité à s’effacer afin que les forces à l’arrière-plan – quelles qu’elles soient – puissent travailler.

Mais là, il n’en est rien, c’est le pape lui-même qui devient l’objet de dévotion. Il n’est plus seulement le «vicaire du Christ» – une innovation déjà importante de l’Église catholique romaine par rapport à l’orthodoxie – il devient en quelque sorte le Christ qui, lui, est plus ou moins oublié.

Cela préfigure déjà le futur Messie tant attendu pour établir l’Ordre mondial, et qui sera plus un homme politique qu’un prêtre... cela d’autant plus que François I a la particularité d’être extrêmement charismatique, à la différence de tous ses prédécesseurs qui se montraient avant tout comme des «hommes pieux». Nous pouvons donc nous attendre à beaucoup l’entendre et à beaucoup le voir ces prochaines années – ce qui sera une autre façon de capter l’énergie.

3 – La troisième innovation majeure est que, lors de sa première apparition devant la foule compacte de fidèles, François I a insisté pour que les caméras ne le filment pas depuis le bas de son balcon, comme cela se faisait habituellement, mais à l’horizontale.

D’emblée, il veut montrer qu’il ne se situe pas au-dessus des simples fidèles, qu’il est un homme «comme les autres», ce qu’il fera avec d’autant plus d’aisance qu’il a pris le nom de François d’Assise, celui qui s’occupe – selon la légende – des pauvres, des orphelins et de tous ceux qui sont dans la misère. Notons que jusqu’ici aucun pape n’avait osé prendre ce nom, car saint François est considéré comme un des plus grands saints de l’Église et Assise la ville la plus sacrée d’Italie.

Dans cette mise en scène, nous pouvons là aussi voir dans le nouveau pape une préfiguration du futur faux messie. Ce dernier devra absolument faire croire qu’il est un homme comme les autres – tous les hommes devront pouvoir se reconnaître en lui – ce qui sera une terrible illusion, en grande partie due au jeu de caméras et au charisme de l’acteur. Car les individus de ce type sont de grands démons et le commun des mortels n’a pas grand-chose à voir avec eux.

D’une certaine manière, le nouveau pape a beaucoup de points communs avec Barack Obama. Tous les deux sont charismatiques, souriants, toujours prêts à sortir de beaux slogans préfabriqués... mais en même temps, ce sont de véritables machines de guerre placées à des postes-clés, car on sait qu'on peut compter sur eux: ils joueront parfaitement leur rôle.
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