Un jour, j’irai vivre en Théorie parce qu’il paraît qu’en Théorie, tout va bien. (Les mots surpendus)

lundi 30 septembre 2013

HISTOIRE DE CHAT– David Cameron déteste-t-il Larry, le chat du 10 Downing Street ?

Une belle histoire intéressante à suivre.

Lolo

(AFP/ BEN STANSALL)

Faut-il sauver Larry des griffes de la famille Cameron ? C'est en substance le message du hashtag #SaveLarry, qui circule depuis quelques jours sur Twitter au Royaume-Uni après la publication dans The Telegraph des bonnes feuilles du livre In It Together: The Inside Story of the Coalition Government ("Tous dans la même barque : l'histoire de la coalition gouvernementale vue de l'intérieur"), à paraître le 30 septembre.

Ainsi, l'entente entre le félin du 10 Downing Street, résidence et bureau du premier ministre britannique, et ce dernier, le conservateur David Cameron, ne serait pas des plus cordiales. L'auteur de ce livre à charge, le journaliste Matthew d’Ancona, affirme en effet que la famille Cameron ne supporterait plus la présence du chat attitré de la maisonnée, et que Larry n'a été qu'un instrument de communication, ce que relaie le rédacteur en chef du journal sur Twitter :



 Tout avait commencé par un problème de rats : en février 2011, l'un d'eux s'était exhibé devant la vénérable institution lors d'un direct de la BBC. Selon le Daily Mail, David Cameron aurait dans un premier temps écarté l'idée d'installer un chat à demeure pour rétablir l'ordre. Mais, sous la pression de son entourage, il aurait cédé, et Larry avait alors été recruté dans un refuge pour chiens et chats de la banlieue de Londres.

Au-delà de ses piètres performances – car le tableau de chasse de Larry se résume à un seul rat, attrapé au bout d'un an de service –, le félin indisposerait son hôte, qui ne supporterait plus d'avoir des poils de chat sur ses costumes ni les relents de sa nourriture.

Ces révélations ont soulevé un vent de sympathie pour Larry et de dénigrement envers le premier ministre (les
bookmakers britanniques proposent même de parier sur qui, de Larry ou de David Cameron, quittera son poste le premier). Celui-ci s'est finalement fendu d'un Tweet pour calmer les esprits, samedi :

"Je peux rassurer tout le monde sur la campagne #SaveLarry. Lui et moi nous entendons parfaitement bien. Les enfants l'adorent aussi", affirme-t-il non sans humour (avec un jeu de mot sur "perfectly", ici écrit "purr-fectly", de purr, ronronner).

En attendant, sur le compte parodique de "Larry the Cat", le chat le plus populaire du moment n'a pas la langue dans sa poche pour commenter la politique britannique :

 SOURCE

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