Depuis le début
de la mise en place de la Charte, tous les chats sortent du sac de tout bord et
de tout côté.
Nous en apprenons
de jour en jour, sur la charia, le voile, l’Islam, l’halal, etc..
C’est bien fait
pour nous, car plus nous sommes informés plus nous pouvons défendre nos lois et
nos libertés.
En tout cas, nous sommes moins niaiseux qu’hier et ce sera un peu plus difficile de nous en faire passer une ptite vite.
Lolo
Je ne sais pas comment présenter ce billet sans avoir la crainte d'être taxé de racisme. J'ai des amis de toutes les couleurs, de tous les horizons et de toutes opinions et cette chronique n'est le fruit que de mes seules expériences.
Au cours de ma carrière, et même après, j'ai eu à faire face à plusieurs cas criminels impliquant des musulmans de toutes ethnies. J'ai été à même de constater que nous ne jouions pas avec le même jeu de cartes. Pour eux, il semble que mentir, exagérer, enjoliver, faire semblant, ne soient pas spécialement des fautes graves *.
Dans les années 80, je travaillais sur un groupe iranien vendeur d'héroïne, pratiquant tout autant, le vol qualifié et à l'étalage. Un matin, venant d'arrêter un membre du groupe pour vol, et détenant une certaine preuve pour d'autres crimes, j'allai rencontrer un complice, pas un vrai criminel, mais disons un arrondisseur de fin de mois. L'homme jura sur la tête de son fils de quelques mois, en prenant ''Allah'' comme témoin, qu'il ne savait rien de l'affaire. Devant la preuve, il me dit tout simplement : « Je devais mentir, ça ne compte pas, tu es un infidèle ».
Un autre Iranien, qui « éduquait » sa femme selon le Coran vint me jurer sur ''Allah'' que sa compagne mentait. Il eut même l'audace de me demander de la retrouver, pour l'empêcher de témoigner contre lui. « Tu es un homme, tu vas comprendre ça ».
Dans la même période, un Algérien, selon lui très croyant, disciplinait sa femme au bâton de base-ball. Lui aussi jura, mais je connaissais la chanson, « Je suis un infidèle ». Il se murera dans un silence complet. À la cour, il dira avoir eu les coutelas, gants avec des chaines, revolver et batte, pour protéger sa compagne d'éventuels violeurs.
En 1988, j'étudiais à l'Université du Québec en relation interethnique, et dans une de mes classes se trouvaient cinq étudiants algériens. Ces jeunes hommes criaient haut et fort qu'ils allaient « foutre la merde dans le monde et nous niquer. » C'était leur but avoué. Pas besoin d'être universitaire pour ça!
En 1990, lors d'une affaire de viol, un Bosniaque est aussi venu mettre à témoin son Dieu ''Allah'', disant ne jamais avoir touché la jeune femme qui l'accusait de viol. Au procès, changement de version, c'est elle qui lui avait sauté dessus. Le pauvre n'avait pu résister.
En 1993, un autre Algérien vint encore une fois me jurer, ''Allah'' comme témoin, en s'écriant : « Si je mens, arrache-moi les yeux! » Il venait de violer une jeune femme à la pointe d'un couteau. Je n'avais pas l'arme, mais une bonne description. En décrivant le couteau à la compagne du violeur, celle-ci fut prise de tremblements. Devenant livide, atterrée, elle se terra dans un mutisme complet. La solidarité féminine n'allait pas jusque-là. Retournant le voir en cellule, je lui dis : « Tes yeux, si je pouvais, tu les perdrais maintenant.»
Dans la même année, je donnais du temps à une organisation caritative qui s'occupait des enfants. L'association avait quelques immigrants payés en partie par un programme gouvernemental. Un Algérien et sa charmante épouse voilée obtinrent un poste. L'homme, d'une incompétence crasse, avait menti sur ses capacités. Dès le deuxième jour de travail, comme il était l'homme de la place, il exigea de toutes les employées d'être décentes, donc plus de bermudas ou de blouses décolletées, car ils étaient sources de désir.
1995, Bell Canada demande mon aide dans une fraude de plusieurs milliers de dollars. Des étudiants venus d'un pays islamiste ont trouvé une façon de ne pas payer les comptes outre-mer. Je finis par les coincer. À la cour, ils jureront sur ''Allah'', ne pas avoir eu leurs droits, avoir été menacés et avoir eu tellement peur de nous. Le juge me regarda durement, pire il me sermonna. J'avais à mon actif, 3000 arrestations. Comme si je pouvais oublier de donner les droits! Au sortir de la cour, ils riaient à s'en taper sur les cuisses.
En 1996, lors d'une fraude téléphonique de plus de deux millions de dollars, je fis l'arrestation d'un groupe de 13 musulmans de plusieurs ethnies (voir l'article dans la galerie à la fin du texte). Ceux qui ont bien voulu m'adresser la parole le firent pour jurer sur qui? ''Allah''... Ce pauvre Dieu servant encore une fois de paravent aux mensonges.
En 1997, autres fraudes téléphoniques de centaines de milliers de dollars impliquant la filière pakistanaise. Comme nous étions en plein Ramadan, j'attendis le coucher du soleil, histoire de respecter les gens devant moi. Ceci porta fruit. Le chef de l'organisation vint me jurer qu'il n'y aurait plus de fraudes au Québec. Il déménagera à Toronto. Il fut le seul â ne pas évoquer son Dieu.
En 2000, lors de l'affaire Ressam, j'étais avec CBC. Tous les gens rencontrés nous ont menti avec grande conviction, même après leur avoir montré des preuves accablantes. Tous sans exception, venaient de nous parler d''Allah''.
Il y en aurait d'autres, un fraudeur de 12 chèques mensuels de B.S., battant son épouse, des hackers téléphoniques, des vendeurs de cellulaires clonés et j'en passe.
S'attendre à un mensonge lors d'une arrestation est plausible. Mes criminels russes, jamaïcains, anglophones et francophones l'ont fait. J'en ai juste contre le fait d'ajouter Dieu à ce mensonge.
S'il me fallait ajouter « Que Dieu m'en soit témoin », j'aurais la décence de dire la vérité. Quand on est religieux, on n'abuse pas du nom de celui que tu pries.
« Il y a pire que ceux qui mentent, il y a ceux qui y croient! »
* Selon plusieurs articles non scientifiques sur le Coran, la taqiya (qui signifie « dissimulation ») est un devoir des musulmans quand ils sont en situation d'infériorité, de minorité.
Le mensonge est mal, excepté pour trois choses selon Mahomet : le mensonge d'un homme à son épouse pour la satisfaire ; un mensonge à un ennemi, parce que la guerre est déception ; ou un mensonge pour régler un différend entre des personnes.
Les érudits enseignent que les musulmans doivent généralement dire la vérité, à moins que le but du mensonge soit d'apaiser des différents.
Il y a deux formes de mensonges autorisées à dire aux mécréants (non-croyants en Allah) dans certaines circonstances, la taqiya et le kirman. Ces circonstances sont typiquement celles qui servent la cause de l'islam, dans certains cas dans le but de gagner la confiance des mécréants afin de les laisser exposer leur vulnérabilité et de les vaincre.
source
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