Un jour, j’irai vivre en Théorie parce qu’il paraît qu’en Théorie, tout va bien. (Les mots surpendus)

vendredi 3 janvier 2014

Institut Tavistock, le secret le mieux gardé d'Amérique

Créé en 1947, l'Institut Tavistock est une organisation indépendante à but non lucratif qui cherche à associer les recherches en sciences sociales aux pratiques professionnelles. Les problèmes de création et de conception d'institutions et de changements d'organisation sont abordés dans tous les secteurs - gouvernement, industrie et commerce, santé et bien-être, éducation, etc. - au sein des nations ou internationalement et les clients vont des multinationales à de petits groupes communautaires. Le secteur du développement a toujours utilisé une approche comportementale pour l'évaluation de programmes nouveaux et expérimentaux, concernant particulièrement la santé, l'éducation et l'essor des communautés. Ce qui a fait naître de nouvelles formations parallèlement au programme classique de conférences sur les relations entre les groupes. L'Institut possède et édite le journal mensuel Relations Humaines qui en est aujourd'hui à sa 48ème année [en réalité à sa 66ème année, l'article date de 2001] et il a récemment lancé un nouveau journal, Évaluation.

Trois éléments se combinent pour faire de l'Institut un cas inhabituel, si ce n'est unique : il possède son indépendance car il s'auto-finance intégralement, sans subsides d'un gouvernement ou d'autres sources ; son orientation en actions de recherche le place à cheval sur les domaines de l'université et du cabinet-conseil, mais pas dedans; et son éventail de disciplines inclut l'anthropologie, l'économie, le comportement des organisations, les sciences politiques, la psychanalyse, la psychologie et la sociologie.
Voici son site :
www.tavinstitute.org
L'idéologie des fondations américaines a été créée à Londres par l'Institut Tavistock des Relations Humaines. En 1921, le duc de Bedford et le marquis de Tavistock léguèrent un bâtiment à l'Institut dans le but d'étudier les effets du traumatisme sur les soldats britanniques ayant survécu à la première guerre mondiale. Son but était d'établir le "point de rupture" d'hommes en état de stress, sous la direction du Bureau de l'armée britannique pour la guerre psychologique, dirigé par Sir John Rawlings-Reese. 
L'Institut Tavistock a son quartier général à Londres. Son prophète, Sigmund Freud, s'est installé à Maresfield Gardens quand il a déménagé pour l'Angleterre. La princesse Bonaparte lui fit cadeau de la demeure. Le travail de pionnier de Tavistock en sciences du comportement selon les directives freudiennes du "contrôle" des humains en a fait le centre mondial de fondement d'idéologies. Son réseau s'étend aujourd'hui de l'université du Sussex jusqu'aux US par le
" Stanford Research Institute
" Esalen
" MIT [Massachusetts Institute of Technology]
" Hudson Institute
" Heritage Foundation
" Center of Strategic and International Studies de Georgetown, où est formé le personnel du département d'état, les services secrets de l'US Air Force, et les sociétés the Rand et Mitre.
Le personnel des sociétés est tenu de subir un endoctrinement dans l'une ou l'autre de ces institutions contrôlées par Tavistock. Un réseau de groupes secrets, la  Mont Pelerin Society, la Commission Trilatérale, la Fondation Ditchley, et le le Club de Rome sert de canal d'instructions au réseau Tavistock. 

Statue de Sigmund Freud devant l'Institut Tavistock de contrôle mental
L'institut Tavistock  a mis au point d'imposantes techniques de lavage de cerveau qui ont été au départ utilisées expérimentalement sur les prisonniers américains de la guerre de Corée. Ses expériences de méthodes de contrôle de foule ont été largement utilisées sur le public américain, agression furtive mais néanmoins scandaleuse contre la liberté humaine, en modifiant le comportement individuel par une psychologie ciblée. Un réfugié allemand, Kurt Lewin, devint directeur du Tavistock en 1932. Il arriva aux US en 1933 en tant que "réfugié", le premier de nombreux infiltrés, et fonda la clinique de psychologie d'Harvard, d'où est originaire la campagne de propagande pour monter les américains contre l'Allemagne et nous [les américains] impliquer dans la seconde guerre mondiale.
En 1938, Roosevelt signa un accord secret avec Churchill qui cédait dans les faits la souveraineté US à l'Angleterre, parce qu'il prévoyait de laisser la Direction des Opérations Spéciales [service secret britannique] contrôler les politiques américaines. Pour mettre en œuvre cet accord, Roosevelt envoya le général Donovan à Londres pour qu'il soit endoctriné avant de mettre sur pied l'OSS [Office of Strategic Services] (aujourd'hui la CIA) sous l'égide de la Direction des Opérations Spéciales et du service de renseignement britannique. La totalité du programme de l'OSS, ainsi que celui de la CIA a toujours fonctionné sous les directives établies par l'Institut Tavistock.
L'Institut Tavistock est à l'origine des raids massifs de bombardement sur les civils menés par Roosevelt et Churchill dans un but de pure expérimentation clinique de la terreur sur les masses, avec archivage des résultats après observation de la réaction des "cobayes" dans "des conditions de laboratoire contrôlées". Toutes les techniques du Tavistock et de la fondation américaine ont un but unique - briser la force psychologique de l'individu et le rendre impuissant à s'opposer aux dictateurs de l'Ordre Mondial. Toutes les techniques qui aident à briser l'unité de la famille et les principes religieux familiaux inculqués, l'honneur, le patriotisme et le comportement sexuel sont utilisées par les scientifiques du Tavistock comme armes de contrôle des masses.
Les méthodes de psychothérapie freudienne induisent une maladie mentale permanente par déstabilisation de la personnalité chez ceux qui subissent ce traitement. On conseille ensuite à la victime "d'établir de nouveaux rituels d'interaction personnelle", c'est à dire, de s'offrir de brèves rencontres sexuelles qui en fait laisse les participants à la dérive, sans relations personnelles stables dans leur vie, en détruisant leur capacité à créer une famille ou à y subvenir.
L'Institut Tavistock a acquis un tel pouvoir aux US que personne ne peut accéder à la notoriété dans un quelconque domaine s'il n'a pas été formé à la science du comportement au Tavistock ou dans l'une de ses filiales. Henry Kissinger, dont l'ascension fulgurante au pouvoir serait inexplicable autrement, était un réfugié allemand [juif] et un étudiant de Sir John Rawlings-Reese au SHAEF [Supreme Headquarters Allied Expeditionary Force, État-major suprême des Forces expéditionnaires alliées]. Le Dr Peter Bourne, psychologue de l'Institut Tavistock, sélectionna Jimmy Carter pour être président des US, uniquement parce qu'il avait subi un programme intensif de lavage de cerveau administré par l'amiral Hyman Rickover à Annapolis.

"L'expérience" d'intégration raciale obligatoire aux US a été organisée par Ronald Lippert, de l'OSS et du Congrès juif américain, et directeur de la formation des enfants à la Commission des relations communautaires. Le programme a été conçu pour démonter le sens individuel de connaissance de son identité, de son héritage racial. Par l'entremise du Stanford Research Institute, Tavistock contrôle l'Association de l'Éducation Nationale. L'Institut de Recherche Sociale du Laboratoire National de Formation pratique le lavage de cerveau sur les cadres des entreprises et du gouvernement. Le pouvoir du Tavistock est tel que la totalité du programme spatial a été mis de côté afin que les soviétiques puissent rattraper leur retard. Cette interruption fut demandée dans un article écrit par le Dr Anatol Rapport, et fut aussitôt accordée par le gouvernement en mystifiant complètement tous ceux qui étaient en lien avec la NASA. Une autre opération célèbre du Tavistock est la création de la Wharton School of Finance [école de management] de l'université de Pennsylvanie.
Le seul dénominateur commun identifiant la stratégie globale du Tavistock est - l'utilisation de drogues. L'infâme programme MK Ultra de la CIA, dans lequel on administra du LSD à des officiels qui ne se doutaient de rien pour étudier leur réaction en tant que "cobayes", se termina par plusieurs morts. Le gouvernement US dut payer des millions d'indemnités aux familles des victimes, mais les coupables ne furent jamais inculpés. Le programme fut conçu quand Sandoz AG, une société chimique suisse, propriété de S.G. Warburg Co de Londres, créa l'acide lysergique [le LSD]. Le conseiller de Roosevelt, James Paul Warburg, fils de Paul Warburg qui rédigea la Loi sur la Réserve Fédérale et neveu de Max Warburg qui avait financé Hitler, fonda l'Institut pour les Études Politiques pour promouvoir la drogue. Le résultat fut la "contre-culture" du LSD des années 60, la "révolution étudiante", qui fut financée à hauteur de 25 millions de dollars par la CIA.
Une partie du MK Ultra était rétribuée par le Fonds d'Écologie Humaine ; la CIA a aussi financé le Dr Herbert Kelman de Harvard pour pratiquer d'autres expériences sur le contrôle de l'esprit. Dans les années 50, la CIA finança au Canada de grandes expérimentations avec le LSD. Le Dr D. Ewen Cameron, président de l'Association de Psychologie du Canada, et directeur de l'Hôpital Royal Victoria à Montréal, reçut de larges subsides de la CIA pour administrer à 53 patients de fortes doses de LSD et enregistrer leurs réactions ; les patients furent drogués pendant des semaines et on leur fit subir des électrochocs. Une victime, la femme d'un membre du Parlement canadien, a intenté un procès aux sociétés US qui ont fourni la drogue à la CIA. Toutes les archives du programme de tests de la CIA furent détruites sur ordre du directeur du MK Ultra.
Comme tous les efforts de l'Institut Tavistock portent directement sur la création d'effondrements cycliques, l'effet des programmes de la CIA se fait tragiquement sentir. R. Emmet Tyrell Jr, dans un article du Washington Post du 20 août 1984, cite les "conséquences sordides des années 60" résultant en "un taux de naissances hors mariage en augmentation, d'illégalités mineures, d'addiction à la drogue, de guerres, de MST et de maladies mentales".
C'est l'héritage des Warburg et de la CIA. Leur agence principale, l'Institut pour les études politiques, a été financée par James Paul Warburg ; son co-fondateur s'appelait Marcus Raskin, le protégé de McGeorge Bundy, président de la Fondation Ford. Bundy avait nommé Raskin au poste de représentant personnel du président Kennedy au Conseil de Sécurité Nationale et il finança en 1963 les Étudiants pour la Société Démocratique, qui permit à la CIA de faire fonctionner la culture de la drogue.
L'Institut Tavistock fait fonctionner aujourd'hui [je rappelle que l'article date de 2001] un réseau de Fondations de 6 milliards de dollars aux US, toutes financées par l'argent des contribuables américains. Dix institutions majeures sont sous son contrôle direct, avec 400 filiales et 3000 autres groupes d'études et de groupes de réflexion ["think tanks"] qui créent de nombreux types de programmes pour accroître le contrôle de l'Ordre Mondial sur le peuple américain. Le Stanford Research Institute, en lien avec l'Institution Hoover, fonctionne avec un budget de 150 millions de dollars annuel et 3300 employés. Il réalise un programme de surveillance pour Bechtel, Kaiser plus 400 autres sociétés et de vastes opérations de renseignement pour la CIA. C'est la plus grande institution de la Côte Ouest qui encourage le contrôle de l'esprit et les sciences du comportement.
L'une des agences-clé dans le guidage d'instructions secrètes provenant du Tavistock est la Ditchley Foundation, fondée en 1957. La branche américaine de la Ditchley était dirigée par Cyrus Vance [mort en 2002], ancien secrétaire d'état et directeur de la Fondation Rockefeller, et Winston Lord, président du Council of Foreign Relations.
L'un des principaux rôles méconnus de la Fondation Rockefeller était de contrôler techniquement l'agriculture mondiale. Son directeur, Kenneth Wernimont, mit au point des programmes agricoles contrôlés au Mexique et en Amérique latine. L'agriculteur indépendant est une sérieuse menace pour l'Ordre Mondial, car il produit pour lui-même et sa production peut être convertie en capitaux, ce qui lui donne une indépendance. En Russie soviétique, les Bolcheviques pensaient avoir atteint un contrôle total sur le peuple ; ils furent consternés de voir leurs plans menacés par l'indépendance stupide de petits fermiers, les Koulaks. Staline ordonna à la Guépéou [OGPU] de saisir toute la nourriture et les animaux des Koulaks et de les faire mourir de faim. La première page du Chicago American du 25 février 1935 annonçait,

SIX MILLIONS SONT MORTS DE FAIM EN UNION SOVIÉTIQUE
Les récoltes des paysans saisies, ils meurent de faim avec leurs animaux

Pour détourner l'attention de cette atrocité, on fit circuler plus tard que c'étaient les allemands et non les soviétiques qui avaient tué six millions de gens, chiffre récupéré sur le gros titre du Chicago American par un publiciste de Chicago.
Le Parti Communiste, le Parti des Paysans et des Ouvriers, ont exterminé les paysans et mis les ouvriers en esclavage. De nombreux régimes totalitaires ont découvert que le petit fermier était leur plus gros obstacle. En France le règne de la Terreur fut dirigé non pas contre les aristocrates, dont une bonne partie y était favorable, mais contre les petits paysans qui refusaient de retourner leur blé aux tribunaux révolutionnaires en échange d'assignats sans valeur. Aux États-Unis, les fondations sont présentement engagées dans le même type de guerre d'extermination contre les fermiers. La formule traditionnelle de terre + travail pour le fermier a été changée en raison du besoin du fermier d'acquérir du pouvoir pour acheter des biens industriels nécessaires à ses opérations agricoles.
En raison de ce besoin de capitaux, le fermier est spécialement vulnérable à la manipulation des taux d'intérêt de l'Ordre Mondial, qui le mettent sur la paille. Exactement comme en union soviétique, au début des années 30, quand Staline ordonna aux Koulaks d'abandonner leur petites parcelles pour vivre et travailler sur les fermes collectives, le petit fermier américain fait face à ce même type d'extermination, étant obligé d'abandonner son lopin de terre et se faire embaucher par les grands trusts agricoles. L'Institution Brookings et d'autres fondations créèrent les programmes monétaires mis en œuvre par le système de la Réserve Fédérale pour détruire les fermiers américains, un remake de la tragédie soviétique en Russie, avec une clause de survie du fermier s'il devenait un ouvrier esclave des trusts géants.
Dès que le citoyen prend conscience du vrai rôle des fondations, il peut comprendre les taux d'intérêt élevés, les fortes taxes, la destruction de la famille, la dégradation des églises pour en faire des forums pour la révolution, la subversion des universités transformées en cloaques d'addiction à la drogue par la CIA et les couloirs du gouvernement changés en égouts d'espionnage international et d'intrigues. Le citoyen américain peut aujourd'hui comprendre pourquoi tous les agents du gouvernement fédéral sont contre lui ; les agences du New Deal [agences appliquant le programme de "redressement" économique, le New Deal, démarré en 1933 par Roosevelt], le FBI, l'IRS [Internal Revenue Service, collecteur des impôts], la CIA et le BATF [Bureau of Alcohol, Tobacco, Firearms and Explosives, département du ministère de la justice] doivent faire la guerre aux citoyens pour réaliser les programmes des fondations.
Les fondations sont en violation directe de leurs statuts qui les engagent à accomplir des œuvres de "charité", puisqu'elles ne font pas de dotations qui ne participent pas à leur but politique. Des accusations ont été portées et jamais démenties sur le fait que le réseau Heritage-AEI possédait au moins deux "taupes" du KGB dans son équipe. Employer des opérateurs du renseignement professionnels en tant qu'ouvriers "charitables", comme cela fut fait dans la mission de la Croix Rouge en 1917 en Russie, expose les sinistres buts politico-économiques et sociaux que l'Ordre Mondial demande aux fondations de réaliser par des "legs".
C'est non seulement de la fraude fiscale, parce qu'on accorde aux fondations une exonération d'impôts seulement dans le cas d'œuvres de bienfaisance, mais c'est aussi du syndicalisme criminel, une conspiration pour commettre des infractions contre les lois constitutionnelles des États-Unis d'Amérique.
Source
Traduit par Hélios
vu ici

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