Un jour, j’irai vivre en Théorie parce qu’il paraît qu’en Théorie, tout va bien. (Les mots surpendus)

dimanche 20 mars 2016

Les bienfaits de la vitamine C (encore...


Depuis quelques années, je suis une fervente adepte de la vitamine C.
Mon expérience personnelle m’a fait connaitre tous ses bienfaits.

Sincèrement, depuis une pneumonie qui c’était manifestée il y a plus de 4ans, chaque hiver je prends des doses massives de vitamine C à chaque fois que je sens le moindre petit symptôme de la grippe.

Fini pour moi les fameux vaccins antigrippaux annuels, j’ai beau dire à mon médecin que je combattais la grippe tout simplement avec de la vitamine C et il n’a pas l’air de me croire.

Je peux vous assurer par ma propre expérience que c’est vraiment une petite vitamine miracle pour plusieurs sortes de maladie, mais il en faut beaucoup.  La dose <MAX>.
Je peux prendre jusqu’à trois comprimés de 1000mgl par jour quand je me sens malade.

À vous de juger d’y croire ou non.
Lorraine

On n'insistera jamais assez sur l'importance pour la santé de cette substance improprement appelée "vitamine". Ce n'est pas une vitamine dans le sens qu'il faut en consommer à dose pondérale.

Un ami médecin a dit un jour : "Si vous consommez tous les jours au moins 3 grammes de vitamine C, vous n'aurez jamais de maladie grave".

La guerre sans fin contre la
vitamine C
Par le Dr Thomas Levy
http://bistrobarblog.blogspot.ca/2016/03/les-bienfaits-de-la-vitamine-c-encore.html
Dans son article du 19 février 2016, Denise Dador milite largement contre l'utilité de la vitamine C dans le traitement du rhume banal ou dans tout autre traitement [elle affirme qu'une prise préventive de vitamine C n'aura aucun effet sur le rhume, qu'au delà de 2 grammes par jour, elle entraine des maux d'estomac et des crampes intestinales douloureuses, et tous les contre-arguments classiques]. Je ne suis certainement pas en position de remettre en question la sincérité de Mme Dador dans la rédaction de son article.

Peut-être croit-elle réellement à ce qu'elle écrit, peut-être a-t-elle reçu des directives pour le rédiger en tant que pièce supplémentaire à verser au dossier anti-vitamine C, ou peut-être ne faisait-elle que réciter selon ses propres termes l'opinion de quelqu'un d'autre. Quoi qu'il en soit, tous ces scénarios sont pitoyables. Si elle pense vraiment que son article est fidèle à la réalité, elle devrait fortement envisager de ne plus jamais écrire d'autres articles "scientifiques", car les preuves qu'elle fournit comme arguments anti-vitamine C sont énormes et il est tristement évident qu'elle n'a fait aucune tentative sérieuse de recherche sur ce sujet.

Les connaissances scientifiques sur la vitamine C sont indiscutables, pourtant les "spécialistes de la santé" (les journalistes de canards boiteux) ignorent les faits

Il suffit de quelques secondes sur un moteur de recherche pour réaliser rapidement que l'emploi de vitamine C en tant qu'agent anti-viral n'est pas une approche thérapeutique marginale basée sur de la pseudoscience. Je vais m'efforcer dans cet article de donner un panorama de quelques-unes des recherches les plus pertinentes qui documentent son immense valeur d'agent anti-viral et sur les bénéfices d'une vitamine C correctement dosée.


"Correctement dosée" est sans aucun doute la considération la plus importante pour la réalisation d'un effet anti-viral prononcé par ingestion de vitamine C. Il est certain que quelqu'un souffrant d'un rhume ou d'une grippe qui prend un comprimé ou une gélule de formulations classique qu'on trouve dans la plupart des préparations avec supplémentation en vitamine C, n'obtiendra aucun effet positif visible. La prescription d'un médicament hypotenseur n'aura aucun impact significatif sur l'hypertension si on ne prend que 5 % de la dose recommandée et il en est de même pour la vitamine C dans le traitement de toute infection virale aiguë.

Une bonne partie de la littérature scientifique sur la vitamine C "conclut" qu'elle n'a aucun impact positif sur une infection ou une maladie déclarée alors que les études présentées n'utilisaient que des doses minuscules.

Ce que vous devez savoir sur les infections et le pouvoir guérisseur de la vitamine C

Toute infection produit un stress d'oxydation croissant avec prolifération d'éléments pathogènes et dissémination de leurs sous-produits métaboliques toxiques. Ce stress d'oxydation croissant entre en compte pour presque tous les cas de morbidité et les symptômes associés dans une infection donnée. Par ailleurs, en cas d'infections massives, le résultat de leur impact négatif va empêcher l'interaction correcte des biomolécules normales.

Et quand il y a eu assez longtemps d'importantes infections, elles entrainent une diminution sévère de la vitamine C, résultant en un état de scorbut avancé. De même qu'un scorbut classique est associé aux infections sévères, une infection sévère entrainera un état de scorbut. Ce fait même met en évidence que la prise de doses pondérales de vitamine C dans toute infection est plus qu'appropriée pour aider à reconstituer les stocks qui se sont épuisés. La vitamine C est donc absolument essentielle pour gérer, renforcer et optimiser la vigueur du système immunitaire.

Aussi bien en tests de laboratoire que dans le corps humain, la vitamine C a été clairement documentée comme détruisant/inactivant les virus. Il n'y a eu en fait aucun virus traité en tube à essai (et il y en a eu beaucoup) qui n'ait été stoppé net par la vitamine C.

Le Dr Frederick Klenner, il y a plus de 50 ans, a traité une large variété de syndromes viraux aigus toujours considérés aujourd'hui incurables par la médecine "moderne", comme la polio et la rougeole. Il a cependant utilisé des doses de plusieurs grammes de vitamine C et a administré ces doses non par voie orale mais par voie intramusculaire et intraveineuse. 57 cas de polio sur 60 ont été guéris en seulement trois jours.

Les trois cas restants ont nécessité deux jours de plus de vitamine C pour être totalement guéris.

Les médias dominants continuent de répandre des tactiques de peur sur un public crédule

Le Dr Klenner n'a jamais prescrit aux enfants en bas âge de doses de vitamine C aussi ridiculement faible que celle recommandée par l'Institut National de la Santé qui est de 75 à 90 mg par jour. Un homme adulte de 90 kg qui manifeste un début de rhume ou de grippe a besoin pour les stopper d'une dose allant de 50 à 200 grammes de vitamine C par jour par divers modes d'administration. Donner entre 75 et 90 mg pour guérir un adulte d'une infection virale est aussi vraisemblable que voir ce même homme s'enivrer en sirotant une simple bière.
De plus, nous savons maintenant que malgré les résultats extraordinaires obtenus par le Dr Klenner, ils peuvent être potentiellement augmentés de manière significative en suivant en partie ou en totalité les méthodes du "protocole Multi-C" [ce protocole fait intervenir différentes formes de vitamine C, comme la vitamine C liposomique, la prise d'ascorbate de sodium, le palmitate ascorbyl, l'injection intraveineuse d'ascorbate de sodium].

L'article de Mme Dador parle aussi des autres "points de discussion" habituels sur la vitamine C , on suppose dans l'effort d'effrayer le public ou juste pour faire douter de sa capacité à guérir les infections. Elle affirme que prendre de "grosses doses" de vitamine C peut engendrer d'autres "problèmes de santé" comme un risque élevé de calculs rénaux.

En fait, une recherche faite à Harvard a montré exactement le contraire.
La réalité ignorée par la majorité des journalistes d'information endoctrinés
Les individus qui ont pris des doses de plusieurs grammes de vitamine C régulièrement non seulement n'ont pas fabriqué de calculs, ils sont de plus statistiquement moins sujets à en créer. D'autres études ont confirmé cette conclusion et au moins une étude a même démontré que des doses de plusieurs grammes ont pu aider à dissoudre des calculs rénaux préexistants.

Concernant les gens qui ont déjà des maladies rénales à des degrés divers, la vitamine C et toute autre médicament doit faire l'objet d'une supervision très pointue. Quand elle est administrée avec surveillance et précaution, la vitamine C a aussi la capacité d'avoir un impact positif sur une maladie rénale. Et ajoutez à ce simple fait qu'il est bien établi que les individus avec des taux sanguins de vitamine C très élevés sont ceux qui vivront le plus longtemps (taux de mortalité le plus faible toutes causes confondues).

Mme Dador mentionne aussi "les maux d'estomac et les crampes douloureuses" qui peuvent résulter de prises excessives de 2 grammes de vitamine C. Il existe de nombreuses autres formes de vitamine C autres que l'acide ascorbique que tolérera l'estomac le plus délicat. Concernant la possibilité de crampes intestinales, la vitamine C à très hautes doses (bien plus élevées que 2 grammes), attire l'eau vers le côlon et entraine une vive "chasse d'eau" mais qui ne dure pas.

Bien que cela puisse surprendre ceux qui se supplémentent et qui n'étaient pas encore informés de cette possibilité, c'est un excellent moyen de re-paramétrer un intestin rempli de putréfaction et de toxines dus à une mauvaise digestion. Tout dépend vraiment de la manière dont on veut voir les choses : "des crampes douloureuses" ou une brève chasse et un nettoyage du côlon ?

Informations urgentes pour qui souffre des symptômes d'une maladie chronique (dans le cas où l'alimentation ne règle pas le problème)

Mme Dador note aussi qu'on peut obtenir suffisamment de vitamine C grâce à divers aliments. Ce qui est encore une fois une erreur. Une alimentation saine vaut sans aucun doute mieux que manger n'importe quoi, mais elle ne vous donnera jamais toute la vitamine C nécessaire, surtout si vous avez une infection ou que vous êtes déjà malade.

L'homme, de même que les primates, les chauve-souris et les cochons d'Inde, a perdu le gène qui encode la quatrième enzyme du foie indispensable à la conversion autonome du glucose en vitamine C. Tous les autres animaux fabriquent leur propre vitamine C et beaucoup vivent en bonne santé jusqu'à leur mort. Ce n'est pas ainsi pour les êtres humains.

Les animaux domestiques fabriquent une quantité minime de vitamine C et ils souffrent souvent des mêmes maladies que les humains quand l'enjeu médical est assez élevé. Ce qui veut dire que la plupart des humains partagent les mêmes dangers de santé en raison de la déficience génétique de production autonome de vitamine C, et seuls ces humains qui se supplémentent correctement peuvent espérer vivre une vie raisonnablement longue sans dépendre beaucoup de prescription de médicaments.

Et comme si l'article de Mme Dador ne suffisait pas pour désinformer, elle termine en recommandant d'arrêter d'espérer l'impossible (c'est à dire ce qui peut vraiment aider pour le rhume) et de prendre les médicaments analgésiques de la pharmacie : ibuprofène et acétaminophène. Ces deux produits sont toxiques, surtout l'acétaminophène, qui crée depuis des dizaines d'années des dégâts au foie.

La vitamine C n'a jamais endommagé le foie, ni quoi que ce soit d'autre dans le corps.

Des articles comme celui qu'a écrit Mme Dador continuent de sortir avec une régularité accablante, mais internet et de nombreux sites riches en information ont empêché les sociétés pharmaceutiques et les zélotes de la médecine conventionnelle de cacher la vérité sur la manière de rester en bonne santé et aussi sur les moyens de ne pas dépenser beaucoup d'argent. Rappelez-vous simplement que si quelque chose n'a pas de sens pour vous, vous devriez aller vers où votre cerveau vous emmène. Ne supposez jamais que vos médecins savent tout, surtout lorsque votre santé est en danger.

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