Un jour, j’irai vivre en Théorie parce qu’il paraît qu’en Théorie, tout va bien. (Les mots surpendus)

lundi 1 août 2011

Big brother accompagnerait le déboire théâtral de la dette US…


Parmi toutes les nouvelles catastrophiques en ce moment, le gouvernement américain essaie de nous en passer une ptite vite.
Lolo

Quel cumul de curiosités liberticides n’est-ce pas…Alors qu’Obama parle de dictat devant les foules, qu’un super congrès est proposé  ayant comme prétexte la dette (la fraude) qui doit forcément être accompagnée de mesures dictatoriales, voilà que histoire d’en rajouter à la sauce liberticide des usa, une réunion à huis clos aurait lieu afin de renouveler la loi FAA, ce jeudi, qui autorise les écoutes sans mandat. En somme, pendant que tout le monde est focalisé sur la dette, « un groupe de sénateurs réunis à huis clos peut envisager de renouveler une loi controversée autorisant la surveillance gouvernementale généralisée des communications américaines ».
Selon Wired.com  :
Cette loi serait la FISA « Amendments Act » de 2008, qui donna le couvercle de la loi de programme du président George W. Bush de surveillance sans mandat. Bien-aimée par l’administration Obama, la loi doit expirer – pas cette année, mais en 2012. 
Lorsque le comité se réunit pour finaliser l’exercice 2012, le projet de loi d’autorisation de facture renseignement à l’étage complet du Sénat – le projet de loi qui approuve les activités des 16 agences d’espionnage américaines – certains sénateurs vont pousser pour y inclure une mesure pour réautoriser l’acte de surveillance.
L‘administration Obama a indiqué qu’elle souhaite que la mesure de surveillance soit réautorisée – et bientôt. Robert Litt, l’avocat du directeur du renseignement national James Clapper, a appelé l’acte expirant « d’importance cruciale » dans une lettre à la commission du Sénat le mois dernier et a ajouté: «Nous attendons avec impatience de travailler avec le Congrès pour prolonger les outils statutaires importants.»
Le FISA Amendments Act autorise la surveillance des communications liées à une «puissance étrangère, un agent d’une puissance étrangère, ou un fonctionnaire ou employé d’une puissance étrangère», où une partie à la communication est «raisonnablement crue» à l’extérieur des États-Unis. Si l’autre partie est à l’intérieur des États-Unis, son téléphone ou ses dossiers sur Internet est, en théorie, la proie idéale. Et puisque la loi ne force pas le gouvernement à donner des précisions supplémentaires au sujet de qui il veut regarder, les groupes de libertés civiles interprètent les amendements de la FISA loi comme un chemin vers la surveillance généralisée.
De plus, Kate Martin, experte en surveillance avec le Center for National Security Studies, affirme que le public n’a aucune visibilité sur la façon dont les agences de renseignement américaines appliquent la loi. « Ce que nous n’avons pas obtenu est une explication du Congrès ou du Ministère de la Justice de ce que la loi autorise en termes de surveillance massive des communications des Américains, » dit Martin.
En effet, la liaison du Congrès de James Clapper , Kathleen Turner, a déclaré qu’il n’était « pas raisonnablement possible d’identifier les personnes numéro qui se trouvent dans les États-Unis dont les communications peuvent avoir été examinées sous l’autorité de la Loi sur la modification de la FISA » dans une lettre  aux sénateurs Ron Wyden et Mark Udall. Les Sénateurs ont écrit à James Clapper le mois dernier, préoccupé que les communications « des Américains respectueux de la loi » aient été attrapées dans la rafle de surveillance que la loi autorise.
L’amendement lui-même n’est pas secret ou classé, mais la manœuvre fait éminemment preuve de diversion. Plus tôt dans l’année, Dianne Feinstein, qui fait partie des US Senate Select Comittee on intelligence  a soutenu une proposition de la loi jusqu’à a 2013, mais elle a échoué. Dans la liste ci-jointe, vous observerez qu les pantins qui sont mêlés à l’histoire du super congrès  sont aussi mêlé à ce coup tordu de big brother, Mitch Mc Connell et Harry Reid (respectivement leaders de la minorité et et de la majorité au Sénat américain, pas d’étonnement donc), vous y trouverez aussi un certain John D. Rockefeller IV :
http://www.alterinfo.net/Big-brother-accompagnerait-le-deboire-theatral-de-la-dette-US_a61804.html

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