Un jour, j’irai vivre en Théorie parce qu’il paraît qu’en Théorie, tout va bien. (Les mots surpendus)

mardi 20 février 2018

Sites de rencontre: comment identifier les mythos, escrocs et autres losers


Lancez la première pierre!!!…ceux ou celles qui ne se sont jamais fait arnaquer par des professionnels des fausses identités.
Après quarante ans de mariage, je me retrouve isolée et complètement déroutée., la seule sortie de mon retranchement était de fureter sur les sites de rencontres.

Je peux vous dire que les arnaqueurs m’attendaient comme des crabes à l’affut d’un moucheron sur le bord de l’eau.

Par chance, avec le temps, je repère un peu plus facilement leur signature… malgré tout, ils ont plusieurs approches et on peut se faire avoir plus souvent qu’à son tour.

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Sites de rencontre: comment identifier les mythos, escrocs et autres losers
SOURCE Il y a vingt ans, le trio de comédien Les Inconnus se payait la tête de Tournez Manège, émission culte, synonyme de rencontres amoureuses télévisées aussi kitsch que populaire. Un passé révolu? D'après Stéphane Rose, l'auteur de Misère-sexuelle.com (La Musardine), le livre noir des sites de rencontre, rien n'est moins sûr.

Malheureusement, Meetic, Badou, AdopteUnMec, Gleeden et consorts, auraient rendu le ringard tendance et fait du mensonge la règle. Difficile à croire? Peut-être tant au premier coup d'oeil, rien ne laisserait pourtant présager de ce qui se trame derrière. Car comme dans la vraie vie, les profils des utilisateurs de sites de rencontres sont variés. Seulement voilà, par écrans interposés, il est tentant pour Lapinou212, Bogossblack et Jeanjakoudu18 de déformer la réalité.

Lire aussi:
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» Un site de rencontre pour déjeuner

Grâce à la magie d'Internet, une quadragénaire deviendra trentenaire, un chômeur deviendra patron d'entreprise et un homme marié célibataire. Quant aux jeunes jolies et célibataires, elles sont évidemment légion! Alors mythos, escrocs, losers, comment les débusquer? Voici quelques conseils pour ne pas tomber dans le panneau.

Les faux romantiques
Le problème: ils sont très nombreux. Et en général ils sont seuls, oh oui, TRES seuls. Un peu comme la touche "Echap" d'un clavier. Certes, on n'en est plus au modèle du "site pour trouver l'amour, le vrai, le beau" imposé par Meetic. Aujourd'hui, certaines plateformes comme Gleeden ou Ashley Madison se montrent plus cyniques: oui, on est là pour le sexe et on va pas se gêner. Mais partout ailleurs, les faux romantiques pullulent.

Comment les repérer: Grâce à leur langage. De nombreux internautes, surtout des hommes bizarrement, en sont encore à vouloir mettre en avant un romantisme suranné à la David et Jonathan. Or les bons sentiments, c'est un peu comme le vin rouge: quand ça déborde, c'est qu'il y en a trop. Un profil blindé de mots d'amour et de photos d'hommes sensibles amateurs de huskies a de grandes chances de cacher un obsédé sexuel en puissance.

Morceaux choisis (les fautes sont d'origine):
Utilisateur 1:
bonjoure je recheiche selle qui sera maprésier tel que je suis et qui sera me faire oublier meis blésure en couple car jais bocou soufeire je suis un vrai nounource au coeur tendre et je veux eun famme sinsere et non eun famme qui serais la pour mon argent je ne suis pas une pince mais je naime pas les profiteuse

Utilisateur 2:
je recherche une personne sincère, réservée, discrète qui comme moi a besoin dede parler, pour sortit d'une grande solitude morale..

Utilisateur 3:

homme recherche ane soeur

On aura donc beau dire, mais un tocard dans la vie, c'est aussi un tocard sur internet et, même avant l'arrivée de Meetic, Jean-Claude Dusse sévissait:

Pourquoi ils bluffent: Les hommes décontractés et à l'aise avec leur sexualité n'ont pas vraiment besoin d'en faire des tonnes. On imagine mal Cary Grant déclarer sa flamme en envoyant des photos de petits animaux mignons. Mais ne s'appelle pas Cary Grant qui veut. "En lieu et place de l'utopie amoureuse qu'ils nous vendent, les sites de rencontres exhibent sans s'en rendre compte une gamme infinie d'anti-héros houellebecquiens, qui après s'être cassés les dents en boîte de nuit, se cassent leurs ultimes chicots sur leurs écrans d'ordinateurs", explique Stéphane Rose.

Les hommes mariés (ou les femmes, mais c'est plus rare)
Le problème: c'est un secret de polichinelle, les sites de rencontre regorgent de personnes en couple mais en fait pas vraiment, mais en fait si quand même. En clair, ces sites sont le terreau fertile de l'adultère. On comprend pourquoi: c'est caché, c'est rapide, c'est facile, ça regorge de célibataires en quête d'une relation rapide, on en passe et des meilleures.

Certains sites, ayant compris qu'il y avait là un filon à exploiter, sont même consacrés à l'adultère. C'est clair, c'est net et c'est sans chichis: on veut rester avec son conjoint mais on cherche une aventure brève et sans complication. Reste que certains maris infidèles continuent à pulluler sur les sites conventionnels, soit parce que le mensonge les excite, soit parce qu'ils sont habitués à ces sites, soit parce qu'ils n'ont jamais entendu parler des autres sites.

Comment les répérer: Dans Misere-sexuelle.com, l'auteur a interviewé une utilisatrice régulière de sites de rencontre, qui nous donne quelques conseils pour les identifier:

Avec le temps et la pratique, les hommes mariés, je les repère en cinq minutes. Ils sont toujours dispos pour te parler en journée, mais jamais le soir. Quand tu leur demandes leur numéro de téléphone, ils te donnent toujours un 06. Si tu demandes un numéro de fixe, ils te disent qu'ils n'ont pas de fixe chez eux. Pour se voir, ils proposent d'aller chez toi. Si tu ne veux pas, ils proposent l'hôtel. si tu ne veux pas non plus, ils proposent les chiottes du cinéma ou n'importe quoi sauf chez eux.

Pourquoi ils bluffent: Parce qu'ils n'ont pas le choix. Un autre expert du site de rencontre rapporte une expérience avec une femme qui refusait systématiquement de partir en vacances avec lui ou de le voir chez elle. Il s'est rendu compte plus tard qu'elle était mariée et qu'elle avait un fils. Pas de téléphone fixe, pas de chez soi, pas de vacances, pas de disponibilité le week-end... Voilà, maintenant vous serez à quoi vous en tenir.

Les escrocs
Le problème: l'arrivée des sites de rencontre a permis aux vilains petits canards, aux asociaux et aux édentés de laisser libre cours à leur imagination, et on l'a vu, ça peut donner quelques chefs-d'oeuvre. En tout cas, tant que ça reste bénin, ça peut encore prêter à rire. Mais là où ça devient plus ennuyeux, c'est quand ça touche à l'escroquerie, car c'est bien connu: ma fierté, d'accord, mais mon portefeuille, ah ça non! Seulement voilà, ces dernières années, les escrocs ont envahi les sites de rencontre.

Comment les repérer: On peut le dire, l'escroc est quasiment à 100% une femme, ou en tout cas quelqu'un qui se fait passer pour une femme, et une femme de nationalité exotique, soit Russe, soit africaine dans la plupart des cas. Stéphane Rose raconte:

Chaque homme inscrit sur Meetic a reçu un jour un message à la syntaxe approximative envoyé par une mystérieuse correspondante au profil non renseigné, l'informant en substance que "je flashé sur tien profil si tu veut faire la correspondance amoureuse toi écrit moi à irina@..."

Pourquoi ils bluffent: Pour l'argent. Un profil non renseigné et une syntaxe niveau CE1 n'est pas forcément synonyme d'arnaque, c'est même plutôt une constante sur les sites de rencontre. La preuve? Même en envoyant des mails d'insulte ou le mode d'emploi de l'étagère Gröt d'Ikea, la jeune naïade répondra par des missives virtuelles dont la fantaisie de la grammaire n'aura d'égale que la force de l'amour qu'elle manifestera. Enfin, elle réclamera de l'argent, souvent plusieurs centaines d'euros pour acheter son billet d'avion en partance pour la France. Messieurs, aussi belle et plantureuse que soit cette femme, n'envoyez jamais d'argent, jamais, ô grand jamais, car l'avion ne décollera pas. Son compte épargne, oui.

Voilà, vous êtes prévenus. Pour finir, voici un message d'espoir qui nous vient d'un utilisateur Meetic: "j'attent toujours le miracle, et il se montre récalcitrant il est vrai mais j'insiste il est bien quelque part".

Et pour ne pas s'arrêter sur cette lancée, voici quelques profils récurrents et toujours sympas, croisés sur les sites de rencontre:



lundi 29 janvier 2018

Identité numérique : une nouvelle technologie mise à l'essai dans les aéroports

Quelle joie de nous sentir en sécurité, à savoir que tous les passagers sont conformes aux lois misent en place afin que l’avion décolle.

Un ami riait de moi l’autre jour quand je lui ai dit que prochainement nous ne pourrions plus passer aucune frontière si nous n’étions pas abonnés à Facebook.

Nous y voilà……

Faites bien attention aux mots que vous tapez sur votre ordi, car la parole s’envole, mais nos écrits ainsi que toutes nos photos restent bien au chaud dans leurs banques de données.

Lolo la plus qu’imparfaite xxx

Identité numérique : une nouvelle technologie mise à l'essai dans les aéroports 
Le Journal de Montréal
dim., 28 jan. 2018 20:40 UTC
Le gouvernement canadien testera un nouveau système de sécurité dans les aéroports permettant aux voyageurs de numériser et de partager préalablement leurs documents de voyage, ainsi que leurs informations personnelles aux autorités douanières.


© InconnuLancé au Forum économique mondial de Davos qui a pris fin jeudi, le système « Known Traveller Digital Identity » vise à exploiter des technologies émergentes telles que la biométrie, la cryptographie et l'intelligence artificielle pour renforcer la sécurité frontalière, réduire les menaces de cyberterrorisme et assurer la fluidité des déplacements des voyageurs, a annoncé Transport Canada au cours de la dernière semaine.

Les Pays-Bas participeront activement au projet-pilote. De nombreux partenaires comme le département de la Sécurité intérieure des États-Unis, l'Agence nationale de lutte contre la criminalité du Royaume-Uni, Interpol, Google et Visa se sont également joints au projet.

Le système permettra aux voyageurs de transmettre leurs renseignements aux gouvernements et aux fournisseurs de voyages à l'aide d'appareils mobiles personnels.

En simplifiant et en accélérant les procédures aéroportuaires pour les voyageurs dignes de confiance, les autorités veulent concentrer davantage de temps et d'énergie à vérifier les informations des voyageurs qui présentent des risques.

Ce projet devrait également aider les autorités à faire face à un flux de voyageurs en croissance constante. D'ici 2030, le gouvernement canadien prévoit que le nombre de personnes qui arriveront par avion de l'étranger devrait atteindre 1,8 milliard sur une base annuelle, ce qui représente une augmentation de 50 % par rapport à 2016.

Commentaire : Ah, ils sont bien gentils de vouloir tout contrôler et de faire des voyageurs "dignes de confiance" grâce à ce contrôle. Car la dignité est importante si on veut prendre l'avion. Il faut être digne pour pouvoir voyager et si on ne l'est pas il faut rester chez soi. Mais qui serait un voyageur "indigne" aux yeux des forces de l'ordre? Et qu'est-ce qu'un voyageur digne ? Quelqu'un qui n'est pas indigné ? Quelqu'un qui tout simplement acquiesce à ce contrôle de plus dans notre vie sur cette planète terre ?

jeudi 23 mars 2017

Transhumanisme : La fin de l’humanité

La puce RFID, l'augmentation de la mémoire, la transplantation d'organes bioniques remplaçant les organes biologiques, mettre sa conscience dans un ordinateur...
Le transhumanisme souhaite un monde où l'homme deviendrait une machine afin d'améliorer ses capacités motrices, mentales etc...
Un monde où l'humanité n'existera plus.

"Et elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front, et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom. C'est ici la sagesse. Que celui qui a de l'intelligence calcul le nombre de la bête. Car c'est un nombre d'homme, et son nombre est six cent soixante-six."
Apocalypse 13 : 17


samedi 31 décembre 2016

Vos vies changeront grâce aux robots


L’intelligence artificielle sera au coeur d’une nouvelle révolution industrielle qui bouleversera l’économie mondiale
Des emplois sont en péril avec non seulement la robotisation des métiers décisionnels grâce à l’intelligence artificielle, mais en raison de l’automatisation de «jobs de bras». Le robot Baxter en est un bon exemple. Il a fait à notre journaliste une démonstration de sa capacité à manipuler des objets, lors d’une visite au CRIQ, à Québec. On le voit ici placer des balles de tennis dans des cavités.

Jean-Nicolas Blanchet
Les reins seront imprimés, la peinture générera de l’électricité, la moitié des emplois se transformeront, le monde du transport ne sera plus le même, des robots invisibles vous parleront et feront une partie de vos tâches ménagères. Ce ne sont plus seulement des hypothèses, ça commence. La tempête de la quatrième révolution industrielle est à nos portes.

230 millions d’emplois dans le monde sont voués à disparaître ou à se transformer radicalement dans la décennie selon l’Institut de recherche Mckinsey Global, qui anticipe des impacts économiques de près 7000 milliards de dollars.

«Encore trop peu de gens sont conscients de l’ampleur de la tempête. Ça va frapper. La révolution numérique va influencer radicalement l’économie mondiale», avance Jean-François Gauthier, président de l’Institut de gouvernance numérique du Québec, qui veut aider les institutions à faire la transition.

«Dans cinq ans, les robots domestiques coûteront moins de 2000 $. Ça deviendra un objet d’utilité courante. Ce n’est plus de la science-fiction. Ils sont vrais, ces robots. On peut jaser avec eux. Ils vont débarquer», poursuit M. Gauthier.

Cette révolution soulève déjà des défis importants dans plusieurs domaines. Des emplois et des revenus s’envolent déjà. Des secteurs économiques quémandent l’argent public pour survivre.

Les pays doivent se positionner pour éviter d’être «colonisés» par cette révolution, explique-t-il. «Le Québec doit se donner les moyens d’être parmi ceux qui vont créer la richesse. Il faut prendre le virage, comprendre l’urgence» et éviter de trop verser dans la culture «protectionniste», dit-il.

La leçon de Freud

«La légitimité d’Israël passe par son propre respect de la légitimité des nations qui l’entourent et par le renoncement à l’occupation et la colonisation des territoires palestiniens», écrit Jean-Marie Bioteau.
30 décembre 2016 | Jean-Marie Bioteau - Auteur-réalisateur | Actualités internationales

Photo: Jaafar Ashtiyeh Agence France-Presse
Organisation des Nations unies, 23 décembre 2016, résolution 2334 : adoptée par le Conseil de sécurité. Avec lucidité, le gouvernement américain a décidé de s’abstenir, permettant ainsi l’adoption de la résolution qui dénonce la colonisation israélienne dans les territoires palestiniens occupés. Il était temps, après des décennies de complaisance à l’égard d’un État qui, depuis sa fondation, bafoue les accords internationaux.

Le 26 février 1930, alors qu’on le sollicite pour soutenir la cause sioniste en Palestine, Sigmund Freud, lui-même de culture juive, répond : « Je ne peux éprouver la moindre sympathie pour une piété mal interprétée qui fait d’un morceau de mur d’Hérode une relique nationale et, à cause d’elle, défie les sentiments des habitants du pays. » Quatre-vingt-six ans plus tard, le propos reste d’actualité. Même si l’abjection allemande s’est manifestée depuis, Freud comprenait déjà qu’il n’y a pas de légitimité sans respect de l’autre.

Depuis l’assassinat d’Yitzhak Rabin, le 4 novembre 1995 lors d’une manifestation pour la paix sur la place des rois d’Israël à Tel-Aviv, le gouvernement israélien n’a eu de cesse de bafouer les accords d’Oslo. Pourquoi ? La raison est très simple : il n’acceptera jamais la solution à deux États. Depuis la disparition du lauréat du prix Nobel de la paix, les gouvernements israéliens successifs ont fait semblant de vouloir négocier tout en spoliant la moindre velléité de règlement du conflit israélo-palestinien, humiliant chaque jour un peu plus un peuple occupé.

Aujourd’hui, il ne s’agit pas de remettre en question l’existence de l’État d’Israël. Au contraire, il faut faire preuve d’une vigilance accrue dans un monde où les fanatiques de tous bords sont légion, et ce, jusqu’au sommet du pouvoir. Cela dit, la légitimité d’Israël passe par son propre respect de la légitimité des nations qui l’entourent et par le renoncement à l’occupation et la colonisation des territoires palestiniens.

« Je concède aussi, avec regret, que le fanatisme peu réaliste de nos compatriotes porte sa part de responsabilité dans la méfiance des Arabes », ajoutait Freud dans cette même lettre, prédisant ainsi, avec une prescience impressionnante, le chaos qui allait naître au Moyen-Orient dans la deuxième partie du XXe siècle. Cette résolution historique, portée par la Nouvelle-Zélande, la Malaisie, le Sénégal et le Venezuela, est particulièrement symbolique, au-delà même de la situation qu’elle considère. Alors que les États-Unis s’apprêtent à assermenter un président ultranationaliste, fantasque, incompétent et malhonnête, alors que la Russie soutient plus que jamais un président également ultranationaliste, mégalomane et cynique, alors que nombre de chefs d’États africains et autres dictateurs moyen-orientaux refusent de céder le pouvoir, alors que les partis ultranationalistes grossissent à travers le monde, alors que des pays comme la Syrie sont instrumentalisés pour servir les desseins de tous les dictateurs de la planète, alors que des milliers de réfugiés disparaissent en mer Méditerranée, alors que les attentats de Paris ou d’ailleurs font la une des journaux, alors que la pollution n’a jamais causé autant de ravages, alors que… il est plus que jamais nécessaire de rappeler aux pays les devoirs qui sont les leurs. Il est temps que l’Organisation des Nations unies affirme son autorité et use d’un pouvoir de coercition à la mesure des exactions qui n’ont de cesse de proliférer à travers le monde.

En ce sens, le cas d’Israël est emblématique d’un monde qui part à la dérive et la résolution dont il est l’objet vaut pour tous les États hégémoniques et les dirigeants machiavéliques qui n’ont que faire de l’humanité. Alors que l’être humain n’a jamais été aussi menacé qu’en cette fin d’année 2016, il est difficile de penser que l’année 2017 va mettre un terme à cette autodestruction. Il faudrait être naïf pour le croire. Pour autant, nous serions peut-être bien avisés de ne pas oublier les propos du père de la psychanalyse : « Supporter la vie reste bel et bien le premier devoir de tous les vivants. »
SOURCE LE DEVOIR