Un jour, j’irai vivre en Théorie parce qu’il paraît qu’en Théorie, tout va bien. (Les mots surpendus)

mardi 23 juillet 2013

La CIA investit dans le contrôle du climat


Bon!!! Ils ferment HAARP faute de moyen, maintenant c’est la CIA qui prend le relais des questions de changement de climat.  J’ai vraiment l’impression qu’ils nous prennent pour des valises.

Depuis de nombreuses décennies qu’ils manipulent le climat avec tous les dommages collatéraux que cela inclut et ils nous font croire qu’ils viennent de se réveiller et commencent seulement à se poser des questions.

Vraiment, on ne comprend pas pourquoi nos étés sont aussi chauds avec des canicules à n’en plus finir.  Le climat est de plus en plus extrême partout sur la planète et nous les caves devons penser que c’est tout naturel.
Lolo

7763297470_au-siege-de-la-cia-a-langley.jpgLa CIA va financer une étude de géo-ingénierie visant à améliorer ses techniques de manipulation du climat. Objectif : ralentir le réchauffement climatique. [ahahah!]

La CIA s'apprête à financer, à hauteur de 630.000 dollars, une étude scientifique visant à déterminer comment les hommes peuvent utiliser la géo-ingénierie - ou manipulation délibérée du climat - dans le but de modifier l'environnement terrestre, notamment pour réduire le réchauffement climatique. Cette recherche, qui se déroulera sur 21 mois, veut poser les bases scientifiques, éthiques et légales, d'une discipline qui, mal maîtrisée, pourrait avoir des conséquences cataclysmiques
 
Concrètement, les scientifiques se pencheront par exemple sur le contrôle des rayons solaires. En effet, s'ils parvenaient à limiter, ne serait-ce que très faiblement leur intensité - en envoyant par exemple des miroirs réfléchissants dans l'espace - cela entraînerait une baisse des températures sur Terre. Un tel refroidissement pourrait notamment ralentir le réchauffement climatique, assurent les scientifiques qui participeront à l'étude. 
 
Cet intérêt du gouvernement américain à modifier le climat ne date pas d'hier, explique le bimestriel américain Mother Jones. L'agence américaine responsable de l'étude de l'océan et de l'atmosphère (NOOA) avait déjà mené deux précédentes recherches sur la géo-ingénierie ; la modification du climat avait, en outre, déjà été utilisée comme tactique militaire pendant la guerre du Vietnam (1954-1975), quand l'Armée de l'Air avait lancé un programme d'ensemencement des nuages. L'objectif à l'époque était de faire tomber de la pluie à un endroit précis afin de semer l’ennemi dans la boue. 
 
Le bimestriel rappelle également qu'entre 1962 et 1983, d'autres "soi-disant ingénieurs météorologiques" ont, eux aussi, tenté de contrôler des ouragans en utilisant de l'iodure d'argent, via le projet baptisé Projet Stormfury.
 
Toute action sur le climat risque d’avoir des conséquences inattendues ailleurs, allant à contre-courant des objectifs.  Béatrice Marticorena, du Laboratoire inter-universitaire des systèmes atmosphériques.
 
Sur la question de la faisabilité, d'aucuns arguent que la géo-ingénierie n'est pas chère et "fondamentalement réalisable", ainsi que l'explique, toujours dans Mother Jones, David Keith, un chercheur de Harvard promoteur du concept. Celui-ci, d'ailleurs, met en garde sur la question des acteurs solitaires susceptibles de vouloir manipuler le climat dans leur coin, et s'interroge : "Devons-nous être préoccupés par le fait que la Chine agisse unilatéralement ? N'est-ce que du bavardage ou bien le gouvernement américain devrait-il se préparer ?"
 
Car ce sujet n'intéresse pas seulement les États-Unis. Lors des Jeux Olympiques de 2008 par exemple, le "bureau du changement climatique" chinois avait essayé d'ensemencer des nuages dans la banlieue de Beijing, afin de faire tomber la pluie ailleurs que sur les stades olympiques, poursuit Mother Jones. 
 
Toucher au climat : un jeu dangereux    
Pour Béatrice Marticorena, du Laboratoire inter-universitaire des systèmes atmosphériques, la mode de la géo-ingénierie est synonyme de dommage collatéral. Elle explique à Libération que toute action sur le climat risque, en effet, d’avoir "des conséquences inattendues ailleurs, allant à contre-courant des objectifs. Ce ne peut donc pas être un substitut à l’action politique volontaire pour réduire les émissions de gaz à effet de serre", prévient la chercheuse. 
 
Le site Presse Citron rappelle, pour sa part, que "réduire la température d’un degré, aurait pour conséquence d’assécher le Sahel qui ne recevrait plus une seule goutte de pluie."
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