Qu’est ce que la réalité ? Faut-il croire uniquement à ce que l’on voit ou ce que la science nous dit ?
Ce que nous voyons, nous le savons, peut nous jouer des tours. Nous ne pouvons voir qu’une infime partie du spectre électromagnétique. Certains animaux sont capables de percevoir des ondes se trouvant en dehors de notre champ de perception, comme les ultrasons, les infrarouges ou les ultraviolets. Mais en contre partie, leur champ visuel est moins développé que le nôtre. En toute logique, on pourrait imaginer que l’étendu de notre champ de perception est proportionnel à la capacité de traitement de notre cerveau, et à la sélection naturelle adéquat pour son évolution, c’est ce que suppose la science.

Notre champ de perception visuelle est proportionnel à la capacité de traitement de notre cerveau
Penser que ce que nous percevons est la réalité et uniquement cette réalité, est une erreur très facile à faire. Imaginons-nous dans la peau d’un Taureau. Il ne voit pas en couleur, et ne distingue pas nettement le contour des choses, sauf quand elles bougent et qu’elles sont lumineuses. Les abeilles ne voient pas le vert, quoi de plus pratique pour repérer en un coup d’œil, toutes les fleurs de la prairie.
Mais comme nous sommes des êtres intelligent, et que nous avons la capacité d’imagination, nous pouvons étendre notre compréhension de la réalité, même si nous ne la voyons pas physiquement. Depuis la fin du 19ème siècle, la science a construit des instruments capables de détecter des ondes électromagnétiques que nous ne pouvons ni voir, ni entendre, elles sont pourtant bien réelles et repoussent les limites de ce que nous considérons comme la réalité.

Chaque créature ne perçoit qu’une petite partie du spectre électromagnétique
Les limites structurelles de la science
Mais il faut bien comprendre qu’il n’existe pas un seul appareil pour détecter l’ensemble du spectre connu, mais une multitude, dédiées à une partie bien précise de l’analyse, et qui constitues les preuves indiscutables du modèle de la réalité officielle. En d’autres termes, il n’existe pas d’outil de mesure pour détecter des ondes dont nous ne soupçonnons pas l’existence. Ce qui revient à dire que nous ne pouvons pas prouver l’existence d’une onde n’appartenant pas au spectre électromagnétique connu.
Ce qui ne veut pas dire qu’ils n’en existent pas d’autres. La science officielle considère que ce qu’elle ne peut pas prouver, n’existe pas. Il y a comme un soupçon de cercle vicieux, dans ce type de raisonnement.
(Voir article : De la mémoire de l’eau à celle de l’univers)
Pire encore, la mécanique quantique a prouvée que l’observation d’une expérience avait un impact sur le résultat, le seul fait d’observer influence les données observées. Comment imaginer dans ce cas que la vision de la science est la bonne vision, tout du moins elle ne peut probablement expliquer qu’une petite partie de notre réalité.

La science officielle considère que ce qu’elle ne peut pas prouver, n’existe pas
Les sourciers et les radiesthésistes
Les sourciers utilisent un phénomène qui n’est pas reconnu par la science, et pourtant depuis la nuit des temps, leur don leurs permettent de trouver des sources en détectant les vibrations des ondes telluriques venant de la terre, qu’ils ressentent à travers leurs mains par l’intermédiaire d’un simple bâton en forme de « Y ». Les Radiesthésistes utilisent un pendule mais sont sensibles au même phénomène. Ces vibrations ne sont pas d’ordre électromagnétique, mais sont beaucoup plus subtiles et beaucoup moins faciles à détecter. C’est ce qu’on appel des phénomènes éthériques, des énergies subtiles, c’est-à-dire tout ce qui existe en dehors du domaine électromagnétique.
Par conséquent, la science ignore ces phénomènes et ne les reconnait pas, allant jusqu’à dire que les sourciers et les radiesthésistes sont des charlatans.

Ressentir les vibrations telluriques par les mains est possible
Certes, il existe vraisemblablement beaucoup plus de charlatans que de véritables experts dans le domaine. De plus, nous n’avons aucune preuve concrète de l’existence d’énergies vibratoires émises par l’environnement, que le corps vivant serait capable de ressentir, sachant que les instruments scientifiques les plus sensibles et les plus sophistiqués en sont incapables.

Pourtant, force est de constater qu’il n’est pas toujours nécessaire d’avoir une preuve scientifique pour être persuadé de l’existence de quelque chose. La science telle que nous la connaissons n’existe que depuis la fin du 18ème siècle, avant, seule une démonstration empirique, l’expérience d’une vie et sa propre intuition, suffisait au bien fondé des choses.
« Aucune théorie ne peut infirmer une expérience réussit et reproductible, mais une seule et simple expérience réussit et reproductible peut infirmer n’importe laquelle des théories » : E.W. Evans
Peut être faut-il beaucoup plus écouter notre intuition pour saisir toutes les subtilités des technologies de nos ancêtres.

Le pendule est un outil de détection vibratoire
Les ondes de formes, une autre réalité
D’après les radiesthésistes, mais aussi d’après les croyances chinoises et celtiques, toutes les choses matérielles émettent un rayonnement éthérique que l’on nomme « onde de forme ». Ce phénomène n’est pas magnétique, mais plutôt vibratoire.
Einstein disait que la réalité est une concentration d’ondes de forme et que la matière n’est que du son cristallisé.

La réalité est une concentration d’ondes de forme
(Voir article : Tout n’est qu’énergie et vibrations)
Chaque forme physique est ainsi englobée de sa forme éthérique, à une distance  plus où moins étendue, mais toujours au-delà de l’objet lui-même, entrant en relation avec d’autres ondes de formes. Ces champs éthériques sont invisibles à l’œil nu, mais invisibles également pour les appareils de mesures électromagnétiques, se qui les rends inexistant pour la science.
Pourtant, des appareils basés sur la détection de vibrations sonores, comme les Sonotests ou les Oscilloscopes, sont capables de repérer leurs présences. Notons que les pendules et les « Y » de sourciers sont des instruments à détections de vibrations.

La matière n’est que du son cristallisé
Le feng shui et ses courants d’énergies
Initialement, le feng shui venait d’une des techniques qui exploitait la connaissance des ondes de formes, pour le bien être des êtres vivants. Elle s’est enrichie au fil du temps de notion plus subjective en lien avec le I-Ching et plus fondamentalement avec la Géomancie (Basée sur le Yin/Yang), qui vise à construire une structure relationnelle entre les énergies universelles et leurs déclinaisons symboliques dans notre vie quotidienne. Même si les aspects symboliques sont assez complexes et plus confus à comprendre, la notion d’onde de forme est beaucoup plus accessible.
(Voir article : Feng shui : Une connaissance oubliée)
(Voir article : Le yi-jing, livre sacré des changements)

La Géomancie est basé sur le principe Le Yin et Yang
En effet, si on admet que les objets matériels émettent une vibration correspondante à la forme de ce même objet, on peut facilement imaginer qu’un angle aigu ou une pointe va constituer une concentration de vibration au-delà de l’objet. N’avez-vous jamais ressenti une légère gêne quand quelqu’un dirige vers vous un objet pointu ? L’effet d’une grosse poutre au-dessus d’un lit peut être aussi gênant.
La forme d’une pièce a donc son importance, ainsi que les objets qui la composent, pour en déterminer les formes vibratoires du lieu, qui vont finir par jouer sur notre bien être, d’une façon positive ou négative.
Le feng shui étudie également les courants d’énergies vibratoires qui traversent nos lieux de vie. En effet, il existe également des flux vibratoires éthérique qui circulent en fonction de l’ensemble des formes vibratoires du lieu. Par exemple, entre la porte et la fenêtre d’une chambre, il existe un flux naturel. Si votre lit est placé dans ce flux, vous dormirez certainement moins bien que s’il ne l’était pas.

Le feng shui étudie les courants d’énergies vibratoires d’un lieu de vie
Les énergies telluriques de notre planète
Enfin, il existe également d’autres flux naturels émis par l’ensemble de notre planète, une sorte de mélange entre ondes de forme et flux vibratoires, que l’on nomme courants telluriques.
(Voir article : Le mythe de Gaïa)
La terre est une boule qui émet elle aussi une onde forme gigantesque. Il faut savoir que l’intensité des ondes de forme peut être différente en fonction de la matière, et que les métaux ont une certaine influence naturelle.
Le manteau de notre planète est composé de métalloïdes en fusion, en majorité de Fer et de cuivre, mais aussi de Nickel, d’Or, etc… Chaque métal forme sa propre onde de forme constituant autant de quadrillages ou réseaux énergétiques tridimensionnels englobant toute la terre.
Le réseau Hartmann est constitué par l’onde de forme du Nickel et le réseau Curry par celle du Fer, pour les plus connus et les plus puissants. Ils sont indépendant les uns des autres et n’ont pas les mêmes espacements de grille. Le pas de grille du réseau Hartmann est de 2,5 mètres sur 2 mètres, alors que celui de Curry est de 5 mètres sur 5 et en diagonal, sans parler des autres réseaux, se qui sous entend qu’il n’existe que très peu d’espace sur Terre, qui ne serait pas traversé par un flux vibratoire. Certains flux sont positifs, d’autres négatifs, nous les traversons constamment sans nous en rendre compte, sachant qu’ils sont de toutes manières susceptibles d’influencer notre bien être.

Le manteau de notre planète est composée de métalloïdes en fusion
La technologie Mégalithique
Nos lointains ancêtres connaissaient bien les courants telluriques, comme le montre les vestiges de l’époque Mégalithique. En étudiant les sites sacrés de cette époque, Stéphane Cardinaux, un architecte et spécialiste en science éthérique, a mis en évidence grâce à des Sonotests très sensibles et d’autres techniques, des cartographies mettant en évidence l’influence des champs vibratoires de différents lieux sacrés. Il a fait des découvertes surprenantes, attestant de la maîtrise évidente de ces flux énergétiques par l’homme.
En effet, les résultats montrent que les menhirs et les dolmens étaient placés à des endroits stratégiques de ces courants, précisément à des points d’intersection des flux telluriques, mais pas seulement. Sur certains sites sacrés, les courants telluriques semblent contourner les Dolmens ou Cromlechs, comme si quelqu’un avait fait en sorte de déplacer ces flux pour qu’ils ne perturbent pas le lieu.

Les menhirs et les dolmens, probablement placés à des points d’intersection des flux telluriques
Mieux encore, de puissant flux, qui ne sont pas des courants telluriques, semblent connectés sur ses lieux, venant directement d’un autre site mégalithique ou naturel (Menhir, Rocher et même des sommets de montagnes), comme pour concentrer encore plus l’énergie sur le site, en véritable réseau pour activer les lieux sacrés en énergie vibratoire.
Il semblerait également que certains autres lieux, comme des sources, fontaines ou grottes est été transformés en lieux sacrés par cette technique.

Cromlech en pleine montagne
Les architectes de la géométrie sacrée
Les celtes ont certainement été les derniers à utiliser et à maitriser parfaitement cette technique. Cependant, beaucoup d’indices présupposent une tentative de maîtrise des sciences éthériques par les Chrétiens, à travers la géométrie sacrée des lieux de culte.
Nous savons que les sites mégalithiques ont souvent été investis par les sites Chrétiens, probablement pour assoir leur autorité sur les anciennes religions, mais plus encore pour s’emparer du pouvoir vibratoire des lieux, mis en place par nos très lointains ancêtres.
Effectivement, en effectuant les mêmes types de cartographies sur des églises ou lieux de cultes Chrétien, Stéphane Cardinaux à découvert que non seulement les courants telluriques étaient synchronisé avec les bâtiments, mais que ces réseaux avaient même été déviés pour épouser parfaitement les murs, les colonnes et la structure générale des édifices.
Cela suppose donc que nos ancêtres maîtrisaient cette technique au point d’être capable d’orienter et de déformer les courants telluriques naturels.
On peut supposer que cette concentration d’énergies vibratoires servait à solidifier la structure, mais également à connecter les adeptes sur les réseaux naturels de notre terre, une connexion vers le divin.

Eglise en synchronisation avec le réseau tellurique
L’effet Kirlian et les énergies du corps
Ce qui est valable pour les objets inanimés, l’est aussi pour les êtres animés du monde animal et végétal. En 1939, Semyon Kirlian découvre accidentellement qu’il peut photographier certaines énergies subtiles des corps vivants, ce que l’on nomme l’âme humaine.
Ces photos révèlent des activités énergétiques autour des formes vivantes, comme une aura. Il s’aperçoit que tous les objets ayant été beaucoup manipulés, comme des pièces de monnaies, mais aussi des objets d’une forte importance sentimentale, comme une croix ou un objet familial ancien, avaient eux aussi ce type de champ énergétique. Il semble même que la force de l’énergie soit proportionnelle à sa valeur émotionnelle, comme si les sentiments et émotions humaines étaient captés et amplifiés par les champs éthériques.

Photos de l’effet Kirlian
D’autres expériences ont été faites sur des plantes, qui semblent elles-mêmes avoir des émotions transmis par cet aura invisible. Le plus surprenant, est que lorsqu’on coupe la feuille d’un végétal en deux, le champ énergétique photographié semble reconstituer l’autre moitié de la forme, alors qu’elle n’existe plus physiquement.
Cela pourrait peut-être expliquer pourquoi certaines personnes, ayant perdu une jambe ou un bras, continues à ressentir leur membre, dans certaines conditions.
L’ensemble des énergies éthériques constituent en quelques sortes les échos de notre réalité.
Elles sont en relation directe avec la matière qui nous entoure, mais également en communication avec nos esprits par un langage subtile que nous découvriront peut être un jour.



Les champs éthériques forment les échos de notre réalité