Il faut savoir enfin renoncer aux mensonges. Il faut oser regarder la vérité en face quand le voile qui la dissimule s’entrouvre. La regarder n’est pas innocent, car elle pousse à y croire. Y croire, pourquoi pas ? Tant que c’est sans y croire.
Nibiru est le nom que les Anounna donnent à leur planète vagabonde. Zecharia Sitchin a émis l’hypothèse que Nibiru serait une planète supplémentaire dans notre système solaire, une planète qui aurait échappé aux astronomes car elle décrit une orbite déconcertante.
Vue du dessous, elle est noire et lugubre, car elle cache la lumière du soleil.
Vue du dessus, elle est étincelle. Nibiru est une bulle tropicale de
lumière et de douceur qui se déplace à son gré dans toute la galaxie. Il
y a un océan dans la bulle transparente, un océan qui se meut dans
l’espace, avec une île centrale circulaire, entourée de lagons et de
lidos concentriques.On aura reconnu la description que Platon donne de l’Atlantide, croyez bien que le hasard n’a rien à voir là-dedans. Puisqu’il n’existe pas.
Ce que Platon ignorait, c’est que l’Atlantide n’était pas une île ordinaire, mais un vaisseau-mère flottant au milieu de l’Atlantique. On ne peut pas lui en vouloir, car si la chose est difficile à admettre aujourd’hui, elle était totalement inconcevable il y a vingt-cinq siècles.
Dans ce vaisseau gigantesque en forme de bulle transparente, il y a cette île qui reste toujours horizontale car elle flotte dans un océan. Quand le vaisseau-mère se pose sur l’océan, il y flotte, et le ciel de la bulle s’escamote, de sorte que nul ne peut faire la différence entre ce vaisseau-île et une île ordinaire.
A part, peut-être, sa parfaite circularité décrite par Platon, et qui n’a mis la puce à l’oreille d’aucun chercheur, alors qu’elle paraît assez peu naturelle.
Quand Nibiru doit reprendre de l’altitude, la bulle est refermée, et le colossal engin s’arrache à l’océan. La masse d’eau qu’il déplace en s’arrachant creuse un tsunami plus terrible et plus dévastateur encore que celui que causera un jour l’écroulement du Cumbre Vieja.
Les deux rives de l’Atlantique sont noyées sous une vague énorme, les dégâts matériels et humains sont considérables, beaucoup pensent que la fin du monde est venue. Ce traumatisme est à l’origine du mythe du déluge. La disparition de l’Atlantide est donc la cause et non la conséquence du déluge.
Pour les Hébreux, c’est la Jérusalem céleste, dont ils souhaitent le retour de tous leurs voeux. S’ils savaient, les malheureux, que le retour des dieux d’avant sera pire encore que la Shoah, ils changeraient de trottoir.
La Bible parle avec regret du « temps où les dieux vivaient parmi les hommes ». Ce temps perdu correspond aux époques où Nibiru s’est posée. Les regrets sont de trop. Ce n’était pas un pique-nique, souvenez-vous.
Les Anounna sont venus plus d’une fois, gageons qu’ils reviendront encore. Hélas, ils l’ont promis. Après tout, ils sont ici chez eux. Ils ont déjà posé leurs îles artificielles sur tous les océans du globe, pour développer, enseigner et exploiter l’ensemble des populations mondiales.
Dans l’océan Indien, leur île flottante fut nommée le Pays de Pount, que d’aucuns rebaptiseront plus tard la Lémurie. Dans l’océan Pacifique, leur vaisseau bulle fut appelé Mu, le fabuleux empire des Naacals.
A chaque fois, ils développent les pays riverains où subsistent encore aujourd’hui de nombreuses traces archéologiques. Ainsi les archéologues ne pouvaient pas comprendre l’origine de ces développements, ni la source de ce que j’ai appelé les civilisations orphelines.
Leur avant-dernière visite était sous le commandement d’Atlas, celui qui porte la voûte céleste sur le dos. Le départ mal géré a causé le déluge et déréglé l’assise de la terre, qui s’est inclinée de 27° sur le plan de l’écliptique, et qui a dévié son orbite autour du soleil : à dater du déluge et du départ du vaisseau-mère Atlantide, l’année a compté 5 jours de plus.
Une planète artificielle comme Nibiru
consomme de très grandes quantités d’énergie, surtout quand elle doit se
maintenir en orbite rapprochée. Elle a puisé cette énergie dans
l’atmosphère dès son arrivée, faisant chuter brutalement la température circumpolaire de 80°.
La suite, on l’imagine, ne fut pas aussi belle à voir que la planète Moebius.
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