Le
Texas a annoncé qu'un projet de loi lui permettant de créer sa propre
réserve d'or était en cours d'examen. Il s'agirait de rapatrier près d'1
milliard de dollars de lingots d'or, actuellement stockés à New-York.
« Lorsque la nouvelle a été connue, j'ai reçu énormément de mails et de coups de téléphone de gens venant d'un peu partout dans le monde, et me disant qu'ils voulaient absolument que leur or soit stocké chez nous... au Texas », a déclaré à la presse Giovanni Capriglione, le député républicain texan à l'intiative de la loi.
Grâce à ce texte, le Texas devrait pouvoir en effet construire sa propre réserve d'or, et envisagerait dans un premier temps de rapatrier les lingots du fonds d'investissement de l'Université du Texas, évalués tout de même à 1 milliard de dollars, et aujourd'hui conservés à New-York.
Le député Capriglione a également précisé que la création de cette réserve d'or en territoire texan permettrait à l'État d'économiser l'argent des contribuables. Le Texas paie environ 1 million de dollars en frais de location pour stocker son or dans la Big Apple.
Un mouvement similaire a lieu en ce moment en Europe, où des pays comme l'Autriche ou la Suisse viennent d'annoncer leurs intentions de faire revenir au pays leurs réserves d'or déposées principalement dans les banques londoniennes. L'hiver dernier, les Pays-Bas avaient eux rapatrié 122,5 tonnes d'or de New York à Amsterdam. En 2013, les Allemands avaient annoncé leur souhait de délester les banques new-yorkaises et parisiennes de près de 674 tonnes de lingots.
« Lorsque la nouvelle a été connue, j'ai reçu énormément de mails et de coups de téléphone de gens venant d'un peu partout dans le monde, et me disant qu'ils voulaient absolument que leur or soit stocké chez nous... au Texas », a déclaré à la presse Giovanni Capriglione, le député républicain texan à l'intiative de la loi.
Grâce à ce texte, le Texas devrait pouvoir en effet construire sa propre réserve d'or, et envisagerait dans un premier temps de rapatrier les lingots du fonds d'investissement de l'Université du Texas, évalués tout de même à 1 milliard de dollars, et aujourd'hui conservés à New-York.
Le député Capriglione a également précisé que la création de cette réserve d'or en territoire texan permettrait à l'État d'économiser l'argent des contribuables. Le Texas paie environ 1 million de dollars en frais de location pour stocker son or dans la Big Apple.
Un mouvement similaire a lieu en ce moment en Europe, où des pays comme l'Autriche ou la Suisse viennent d'annoncer leurs intentions de faire revenir au pays leurs réserves d'or déposées principalement dans les banques londoniennes. L'hiver dernier, les Pays-Bas avaient eux rapatrié 122,5 tonnes d'or de New York à Amsterdam. En 2013, les Allemands avaient annoncé leur souhait de délester les banques new-yorkaises et parisiennes de près de 674 tonnes de lingots.
Commentaire : Extrait d'un article de De Defensa à ce propos :
« C'est évidemment dans de telles conditions que nous considérons que la tentation de la sécession doit apparaître, et c'est pourquoi nous avons installé, au milieu des exemples du désordre aux USA, le cas du Texas rapatriant son stock d'or. Cette mesure contre une crise éventuelle venue de la Federal Reserve et portant sur le papier-monnaie, est aussi une des mesures qui rendrait, en cas de nécessité qui ne serait plus nécessairement un "en cas de malheur", l'acte de la sécession beaucoup plus envisageable. Le fait que ce soit le même homme (le gouverneur Abbott) qui avait annoncé, sous les quolibets de quelques ténors du Système à Washington, la mobilisation de la Garde Nationale du Texas pour surveiller les troupes fédérales pendant l'exercice JH15 de juillet-août prochain, que ce même homme ordonne le rapatriement de l'or texan au Texas, rend soudain ses initiatives beaucoup plus sérieuses. Le terme de la logique de ses initiatives se nomme : sécession... Comme dans le cas des craintes exprimées pour la Grèce "qu'un seul quitte l'euro" et le château de cartes (européen) s'effondre, on dira la crainte que dans le cas du Texas, "qu'un seul quitte l'Union" et l'autre château de cartes s'effondre. Ce n'est pas nécessairement "faire châteaux en Espagne". »
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